Mais, si tu veux bien écouter un vieillard, je te conseille de venir aussi et d’attendre sa mort près de lui. » Ainsi parla le renard, et le cœur du cerf se gonfla de vanité à ces discours, et il vint à l’antre sans se douter de ce qui allait arriver.
Discours sur la cent et uniesme Fable.
II, p. 94, not. col. 2), s’il paraît s’attribuer un discours barbare, ce n’est pas sans doute parce qu’il était lui-même barbare, ou parce qu’il tombait dans de fréquents barbarismes, puisqu’il écrit en latin, et qu’il s’exprime en bons termes.”