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61. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »

Mais d’autant qu’Esope ne pouvoit s’accommoder d’aucun habit, pour estre contre-faict en tout son corps, il s’advisa de le couvrir d’un meschant sac.

62. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »

Ils n’addressent pas leurs desirs à un corps moins noble que le leur. […] Car il est presque tous-jours vray, que tels Fantosmes ne se font point voir à nous, qu’il n’en arrive ou la découverte d’un corps mort, ou celle de quelque thresor caché.

63. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

« Son corps, dit Adry78, fut transporté à Troyes, où ses compatriotes lui rendirent des honneurs sans exemple. […] Quant au corps de la fable, il commence toujours avec la ligne, et sa première lettre, qui est, comme nous l’avons dit, une majuscule, est toujours à la marge. […] Pithou, au contraire, rien n’annonce une fin ; il y en avait même un feuillet déchiré à la fin, et il y en avait d’autres dans le corps de l’ouvrage. […] Adry, qu’il y ait des lacunes dans le corps de l’ouvrage. […] Malheureusement ce ne fut pas la seule, et ce n’est pas tout à fait à tort que Burmann l’a accusé d’avoir dénaturé le corps même des fables182.

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