Leurs noms sont connus ; il est inutile de les rappeler. […] C’est le plus bel exemplaire que je connaisse. […] Le Peletier ne fit pas connaître l’opinion du savant attendu. […] Si je l’avais connu, je ne l’aurais point passé sous silence. […] “Non, lui dis-je, c’est bien Phèdre, je le connois parfaitement.”
MONSEIGNEUR, Je devrois craindre sans doute, de choquer la bien-seance ; et par la hardiesse que je prends d’aborder vostre Personne, sans avoir l’honneur d’en estre connu ; pour le peu d’apparence qu’il y a, qu’au lieu de quelque Histoire serieuse, je vienne vous presenter un Livre de Fables.
Il a également bien connu le jeune Torquato Tasso, qu’il a probablement encouragé à se mettre sur la voie du poème héroïque. En plus de ses Cento Favole Morali, il est l’auteur de plusieurs ouvrages en prose et en vers, en latin et en italien : nous nous bornons à citer des poèmes héroïques, le San Giorgio, L’Aspromonte, le Boemondo, que nous ne connaissons que partiellement, un Encomium picturae en hexamètres, un Genius sive De Furore Poetico, plusieurs autres carmina à caractère encomiastique, des traductions de Virgile et d’Ovide.