C’est pourquoy l’Ours de ceste Fable, au lieu de dire à l’oreille du Voyageur, ne t’accompagne plus d’un tel Amy, eût eu plus de raison de luy donner ce conseil ; ne t’accompagne de personne sous l’esperance d’en estre aymé. […] Il est donc necessaire d’accompagner dans la misere celuy de qui l’on se dit estre Amy, ou de confesser librement que l’on ne l’est pas.
je ne te félicite plus ; car je vois que c’est au prix de grands maux que tu jouis de ton abondance. » C’est ainsi qu’il n’y a rien d’enviable dans les avantages qu’accompagnent les dangers et les souffrances.
Non sans accompagner pour plus grand ornement De son chant gracieux cette action hardie.