Une mouette ayant avalé un poisson, son gosier éclata et elle resta étendue morte sur le rivage.
Le dieu de la guerre, étant resté pour le dernier tirage, ne trouva plus que la Violence.
Or un jour on lui présenta un louveteau ; il le palpa et resta indécis. « Je ne sais pas, dit-il, si c’est le petit d’un loup, d’un renard ou d’un autre animal du même genre ; mais ce que je sais bien, c’est qu’il n’est pas fait pour aller avec un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se reconnaît souvent à leur extérieur.
Mais, comme il ne restait plus que le cordonnier et qu’il y avait encore beaucoup de poison, il prit tout le mortier et le versa sur lui.
qu’aurais-tu fait, si tu étais resté ici aussi longtemps que nous, toi qui, tombé ici pour un moment, pousses de pareils soupirs ?
Après y être resté longtemps, comme il allait partir, il demanda au taureau s’il désirait qu’enfin il s’en allât.
On dit que les animaux furent façonnés d’abord, et que Dieu leur accorda, à l’un la force, à l’autre la vitesse, à l’autre des ailes ; mais que l’homme resta nu et dit : « Moi seul, tu m’as laissé sans faveur. » Zeus répondit : « Tu ne prends pas garde au présent que je t’ai fait, et pourtant tu as obtenu le plus grand ; car tu as reçu la raison, puissante chez les dieux et chez les hommes, plus puissante que les puissants, plus rapide que les plus rapides. » Et alors reconnaissant le présent de Dieu, l’homme s’en alla, adorant et rendant grâce.
Mais le vent, ayant soufflé, enleva la peau, et l’âne resta nu.
Or un jour que le troupeau était resté à l’étable, le berger vit son chien qui s’approchait des brebis et les caressait. « Hé !
Che s’altro nuovo stuol di mosche viene, Affamate a la prima havranno a trarmi Quel poco, che mi resta entro a le vene ; Onde potrei più in fretta a morte andarmi : Tal che meglio è restar quel poco in vita Di spatio, che dal ciel sento lasciarmi.
Le héros alors jeta sa massue, et resta là, en proie à l’étonnement.
Aussitôt qu’il paraissait, personne ne restait plus en repos ; l’un allait aux prés ou aux bois, se plaisant à cueillir des fleurs, des lis et des roses, à les faire tourner devant ses yeux et à les mettre dans ses cheveux ; l’autre s’embarquait, et, à l’occasion, traversait la mer pour aller voir d’autres hommes ; personne ne prenait plus souci des vents ni des averses épaisses. « Moi, ajoutait-il, je ressemble à un chef et à un monarque absolu.
La faim détruisit tout : il ne resta personne De la gent Marcassine et de la gent Aiglonne, Qui n’allast de vie à trépas ; Grand renfort pour Messieurs les Chats.
Tant qu’il resta silencieux, les pigeons, le prenant pour un des leurs, l’admirent parmi eux ; mais à un moment il s’oublia et poussa un cri.
Così talhor avien, che l’huomo iniquo, Ch’a far altrui si move a torto offesa, A la vita, o a l’honor tramando inganno, Primo nel fil del proprio laccio cade, E da la forte man giusta di Dio Colto con egual sorte insieme resta.
Ayant remarqué qu’il remuait continuellement les oreilles : « Qu’as-tu, lui demanda-t-il » et pourquoi donc ton oreille ne saurait-elle rester tant soit peu sans bouger ?
Un chevreau, étant resté en arrière du troupeau, était poursuivi par un loup.
Elle répondit que rien ne leur manquait et qu’elle n’avait qu’un vœu à former, c’est que le temps restât clair et le soleil brillant, pour sécher la poterie. – « Si toi, reprit le père, tu demandes le beau temps, et ta sœur, le mauvais, avec laquelle de vous formerai-je des vœux ?
De telle nature sont ceux qui plaident, ou qui persecutent les Orphelins, qui tourmentent les femmes veufves, qui dépoüillent les pauvres du peu de bien qui leur est resté, qui se joüent des maladies et des affligez ; et bref, tous ces courages dénaturez, qui se rendent malfaisants à ceux pour qui la fortune n’a point de caresses ny de bon traictement.
Così talhora l’huom, che da l’amore Di sé medesmo fatto in tutto cieco Stima le cose sue più, che non deve, Resta schernito quando più si crede Esser per quelle rispettato al mondo : E duolsi a torto del giudicio altrui, Che drittamente a sé contrario vede.
Momos, jaloux de leurs ouvrages, commença par dire que Zeus avait fait une bévue en ne mettant pas les yeux du taureau sur ses cornes, afin qu’il vît où il frappait, et Prométhée aussi en ne suspendant pas dehors le cœur de l’homme, afin que la méchanceté ne restât pas cachée et que chacun laissât voir ce qu’il a dans l’esprit.