Alors un des assistants prenant la parole lui dit : « Mais, mon ami, si c’est vrai, tu n’as pas besoin de témoins ; voici Rhodes ici même : fais le saut. » Cette fable montre que lorsqu’on peut prouver une chose par des faits, tout ce qu’on en peut dire est superflu.
Il n’en est pas moins vrai qu’il fut persécuté par Séjan. […] Cela est vrai ; mais ce manuscrit ne contenait qu’un fragment, à peine huit fables du premier livre. […] Quel était donc le vrai chemin ? […] Laquelle de ces deux hypothèses est la vraie ? […] Il est vrai qu’ainsi que je l’ai dit, elles ont été déjà éditées en 1831 par le cardinal Angelo Maï.