Il me promit que, si le manuscrit existait, il serait à onze heures à ma disposition sur une des tables de la salle de travail.
Comme ils se furent tous mis à table, un de ces Sophistes attaquant Esope ; « Estranger », luy dit-il, « je t’advise que je suis icy envoyé de la part de mon Dieu, pour te demander l’esclaircissement d’une question dont je suis en doute », Esope l’ayant escouté sans s’esmouvoir ; « Tu ments », luy dit-il, « car Dieu sçachant tout, n’a pas besoing de s’enquerir, ny d’apprendre quelque chose d’un homme.