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47. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »

Ils sont les premiers à confesser, que l’or est une creature de la terre, qu’avoir des richesses c’est avoir des ennemis, et que les biens du monde ne sont pas aymables pour l’amour d’eux, mais seulement à cause de leur usage ; Qu’au reste ils ne l’ayment, et ne le desirent que pour cela.

48. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Plaisir sans fatigue, telle est l’impression qui en reste. […]  — Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit et publia ses cinq livres. […] Cet accident n’empêche pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de Pithou. […] ” Il n’en reste plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’explique cette réunion de la copie de Pithou sous la même reliure que le manuscrit. […] Le reste remplit la troisième page.

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