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2. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

(Ces poèmes, qui remplissent les 67 premières pages, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le même auteur, pages 68 à 85.) […] (C’est un petit poème en vers italiens, contenu dans six pages.) […] Ces papiers mêmes forment, dans leur longueur, la page écrite. […] C’est une édition in-8º de 23 pages, sans l’épître et sans l’index. […] Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir : les pages 1 à 42 au texte latin, les pages 43 à 78 à des notes extraites de celles de Jannelli et de Cassitto, et les pages 79 à 80, à la table des matières.

3. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »

D’où vient la longue suitte des Pages et des Gentils-hommes ?

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