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50. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »

Le Paysan s’arma en mesme temps d’une massuë, pour en assommer son Ennemy, qui le voyant venir de loin. « Mal heureux que je suis !  […] Certes, il n’y a point de Vertu dans le monde qui soit si grande, que de rendre le bien pour le mal.

51. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »

De pareille nature sont encore ceux qui voyant leurs Amis malades à l’extremité, n’osent toutesfois leur parler de confession, pource, disent-ils, que la peur redouble l’accez du mal, et que c’est les hazarder que de leur nommer le nom d’un Prestre. […] Bannissons donc loing de nous ceste chetive coustume de complaire mal à propos.

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