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15. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »

Ce fût elle qui mit le poignard dans la main de Polymnestor, pour tuër l’innocent Polydore, que Priam luy avoit remis, affin de le conserver ; et de faire revivre en luy les esperances de Troye, en cas que toute la race demeurast accablée de la fureur des Grecs.

16. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Homere nous a voulu persuader cela fort subtilement dans son Poëme, où il donne tous-jours l’advantage à Ulysse sur tous les autres Heros des Grecs, qui neantmoins estoient en partie plus Vaillants, mais tous ensemble moins ingenieux que luy.

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