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21. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »

» « Seigneur », respondit Esope, « ce que j’en ay fait a esté pour vanger le Roy Lycerus ; Car tu dois sçavoir que ce mauvais chat est la seule cause d’une perte qu’il a faite la nuict passée pour luy avoir tué son coq, qui étoit vaillant et aguerry au possible, joinct que par son chant il luy marquoit ordinairement les heures de la nuict ».

22. (1570) Cento favole morali « Présentation »

[1668] —La Fontaine, Jean de, Fables choisies et mises vers (livres I à VI) : « Le Coq et le Renard », II, 15 (Verdizzotti, nº 30) ; « Le Loup devenu berger », III, 3 (Verdizzotti, nº 42) ; « L’Aigle et le Hibou », V, 18 (Verdizzotti, nº 4) ; « Jupiter et le Métayer », VI, 4 (Verdizzotti, nº 99) ; « Le Cochet, le Chat et le Souriceau », VI, 5 (Verdizzotti, nº 21).

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