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8. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »

Par mesme moyen la jeune, qui n’estoit pas moins soigneuse de son costé de ce qui la regardoit, luy tiroit aussi les blancs ; De sorte qu’à force de continuër, elles luy arracherent si bien le poil, qu’il en devint chauve, et fut mocqué de tout le monde.

9. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Je suis même porté à croire que c’était un feuillet blanc, et voici pourquoi. […] Les quatre derniers feuillets du cahier sont restés blancs. […] Les pages blanches, qui se trouvent tant à la suite de l’index qu’à la fin du manuscrit lui-même, en sont la preuve convaincante. S’il était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’existerait pas. […] Il est probable aussi que les trente-quatre pages, laissées en blanc à la fin, n’existeraient pas davantage.

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