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2. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149

Dans les lacqs de la Chevre un Cerf se trouva pris.

3. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352

Sur un Tapis de Turquie
 Le couvert se trouva mis.

4. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 221 » p. 157

Ne pouvant arriver jusqu’à elle, il l’engagea à descendre ; car elle pourrait, disait-il, tomber par mégarde ; d’ailleurs le pré où il se trouvait était meilleur ; car le gazon y était tout fleuri.

5. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 2 » p. 99

Un de ceux qui se trouvaient là lui dit : « Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, au lieu de tirer parti de ses secours ?

6. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 332 » pp. 217-217

Un taureau poursuivi par un lion se réfugia dans un antre où se trouvaient des chèvres sauvages.

7. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 

Il se va confiner
 Aux lieux les plus cachez qu’il peut s’imaginer,
 N’osant plus des miroirs éprouver l’avanture :
 Mais un canal formé par une source pure
 Se trouve en ces lieux écartez.


8. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211

Le Ciel permit qu’un saule se trouva
 Dont le branchage, aprés Dieu, le sauva.


9. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 48 » p. 306

Tandis qu’il parlait ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’endroit où il se trouvait, il arriva qu’une d’elles le mordit, et lui, pour avoir été mordu par une seule, les écrasa toutes.

10. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 271 » p. 191

Un lion se trouva sur leur chemin.

11. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81

Il se trouva que sur tous essayée, A pas un d’eux elle ne convenoit.

12. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 7 » pp. 276-276

Un homme le frappa d’une flèche, et le trait s’enfonça dans sa chair, et la coche avec ses plumes se trouva devant ses yeux.

13. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 153 » pp. 250-250

Un noyer qui se trouvait au bord d’une route et que les passants frappaient à coups de pierres, se disait en soupirant : « Malheureux que je suis de m’attirer tous les ans des insultes et des douleurs ! 

14. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152

Un brigand, ayant assassiné un homme sur une route, et se voyant poursuivi par ceux qui se trouvaient là, abandonna sa victime ensanglantée et s’enfuit.

15. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 89 » pp. 55-55

Mais, quand elles eurent exécuté ce dessein, il se trouva qu’elles avaient aggravé leur malheur ; car la maîtresse, à qui le coq n’indiquait plus l’heure, les faisait lever de plus grand matin pour les faire travailler.

16. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 105 » pp. 76-76

Une biche poursuivie par des chasseurs arriva à l’entrée d’un antre où se trouvait un lion.

17. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255

La rage alors se trouve à son faîte montée.

18. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »

Ce seroit une entreprise indigne de ce magnagnime Oyseau, de songer à la destruction d’un si foible ennemy ; et d’ailleurs, quand il en auroit premedité la vengeance, le haut poinct de prosperité où il se trouve maintenant, luy fait pardonner aisément à ceux qui l’ont offensé, pour gagner en mesme jour une double victoire, et contre son Ennemy, et contre soy mesme. […] Elle la condamne seulement à ne se trouver plus avec les autres Oyseaux, et à ne paroistre jamais en plein jour, comme si elle eust raisonné de ceste sorte. « Si la faute que tu as faite provient de haine contre moy, ô infidelle et chetive Chauve-souris, n’attends pas que je te fasse l’honneur de m’en vanger.

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