Dans les lacqs de la Chevre un Cerf se trouva pris.
Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis.
Ne pouvant arriver jusqu’à elle, il l’engagea à descendre ; car elle pourrait, disait-il, tomber par mégarde ; d’ailleurs le pré où il se trouvait était meilleur ; car le gazon y était tout fleuri.
Un de ceux qui se trouvaient là lui dit : « Hé, l’ami, s’il est si bienfaisant, pourquoi le vends-tu, au lieu de tirer parti de ses secours ?
Un taureau poursuivi par un lion se réfugia dans un antre où se trouvaient des chèvres sauvages.
Il se va confiner Aux lieux les plus cachez qu’il peut s’imaginer, N’osant plus des miroirs éprouver l’avanture : Mais un canal formé par une source pure Se trouve en ces lieux écartez.
Le Ciel permit qu’un saule se trouva Dont le branchage, aprés Dieu, le sauva.
Tandis qu’il parlait ainsi, comme il y avait beaucoup de fourmis à l’endroit où il se trouvait, il arriva qu’une d’elles le mordit, et lui, pour avoir été mordu par une seule, les écrasa toutes.
Un lion se trouva sur leur chemin.
Il se trouva que sur tous essayée, A pas un d’eux elle ne convenoit.
Un homme le frappa d’une flèche, et le trait s’enfonça dans sa chair, et la coche avec ses plumes se trouva devant ses yeux.
Un noyer qui se trouvait au bord d’une route et que les passants frappaient à coups de pierres, se disait en soupirant : « Malheureux que je suis de m’attirer tous les ans des insultes et des douleurs !
Un brigand, ayant assassiné un homme sur une route, et se voyant poursuivi par ceux qui se trouvaient là, abandonna sa victime ensanglantée et s’enfuit.
Mais, quand elles eurent exécuté ce dessein, il se trouva qu’elles avaient aggravé leur malheur ; car la maîtresse, à qui le coq n’indiquait plus l’heure, les faisait lever de plus grand matin pour les faire travailler.
Une biche poursuivie par des chasseurs arriva à l’entrée d’un antre où se trouvait un lion.
La rage alors se trouve à son faîte montée.
Ce seroit une entreprise indigne de ce magnagnime Oyseau, de songer à la destruction d’un si foible ennemy ; et d’ailleurs, quand il en auroit premedité la vengeance, le haut poinct de prosperité où il se trouve maintenant, luy fait pardonner aisément à ceux qui l’ont offensé, pour gagner en mesme jour une double victoire, et contre son Ennemy, et contre soy mesme. […] Elle la condamne seulement à ne se trouver plus avec les autres Oyseaux, et à ne paroistre jamais en plein jour, comme si elle eust raisonné de ceste sorte. « Si la faute que tu as faite provient de haine contre moy, ô infidelle et chetive Chauve-souris, n’attends pas que je te fasse l’honneur de m’en vanger.