Pour verifier donc le second enseignement que ceste Fable nous donne, à sçavoir, que la precipitation des moyens empesche la fin d’une affaire, il ne faut que prendre garde à la contenance de ceux qui marchent trop viste parmy les ruës, qui sont les seuls que l’on voit broncher ordinairement. […] Mais nous sommes si hastez d’arriver à la fin, à cause de la grosseur de ce Volume, que possible ce ne fera point une faute d’user icy de la promptitude que nous blasmons en autruy.
Ore sai jeo bien, pres est ma fins ; mandez, sire, tuz mes cusins, si departiruns nostre aveir !
A la fin la chose alla si avant, qu’il tomba entre les mains de la Justice : On luy fit donc son procez, et sa déposition ouye, il fut condamné à la mort. […] Car si les Meres faisoient conçevoir de bonne heure une horreur du Vice à leurs Enfants, il est hors de doute qu’on ne les verroit jamais reduits à ceste honteuse fin.
Da questo ogn’huom, ch’è savio, esempio prenda A fuggir l’amicitia di coloro, Che di cor doppio, e di sermon bilingue Soglion mostrarsi a chi seco conversa : Che, essendo di natura empi e malvagi, Sono vuoti d’amor, di fede scarsi ; Né conto fanno de l’amore altrui, Ma sprezzano egualmente il buono e ’l rio : Et a l’occasion sembrano amici Per trar talhor d’altrui profitto alcuno ; E poi ne lascian la memoria al vento ; E ne rendono in cambio ingiuria e biasmo, Quando del lor bisogno al fin son giunti.
Mais c’est ton âme qui faiblit à ce seul objet. » Le lion déplorait donc son sort et s’accusait de lâcheté ; à la fin il voulut en finir avec la vie.
A la fin les escoliers ennuyez d’une mesme viande tant de fois servie. « Quoy ?
Tal suole spesso l’huom prudente e saggio Giunger con la destrezza al fin, ch’ei brama, Assai più presto, e con minore affanno, Che colui, che con impeto si move In discoperta forza a le sue voglie.
Così fa spesso l’huom d’ingegno e forza Dotato in concorrenza di colui, Che molto inferior di ciò si vede, Quando opra tenta, onde l’honore importi ; Che confidato nella sua virtute Pigro dorme a l’oprar continuo e lungo, Sperando in breve spatio avanzar tutte Le fatiche de l’altro, e ’l tempo corso : Né s’accorge, ch’un sol continuo moto, Benché debole sia, giunge al suo fine Più tosto assai, ch’un più gagliardo e lieve, Che pigro giaccia, che la confidenza A la sciocchezza è figlia, e a l’otio madre ; Onde ne nasce l’infelice prole Biasmo, e vergogna, e danno in ogni tempo.
A la fin le mesme Dieu luy en fit voir une emmanchée de bois, que le Charpentier recognût pour celle qu’il avoit perduë. […] Il faut attendre la fin avant qu’en juger ; Car elle nous monstre bien souvent que ces mesmes richesses qu’ils ont acquises injustement, et si fort aymées, les font hayr d’un chacun, et les immolent quelquesfois à la vengeance publique.
Ne descouvre point ton secret à ta femme, et sçache qu’elle espiera sans fin l’occasion de te pouvoir maistriser.
Et elle lui dit : « Entre la meule à tourner et les fardeaux à porter, ta vie est un tourment sans fin, » et elle lui conseillait de simuler l’épilepsie, et de se laisser tomber dans un trou pour avoir du repos.
» C’est au début qu’il faut examiner la fin et dès lors assurer son salut.
A la fin un de ses amis l’estant allé voir, pour apprendre s’il ne se trouvoit pas mieux que de coustume, « Ah !
Disant ces mots, il fait connoissance avec elle ; Auprés de luy la fait asseoir ; Prend une main, un bras, leve un coin du mouchoir ; Toutes sotises dont la Belle Se défend avec grand respect ; Tant qu’au pere à la fin cela devient suspect.
Il eust à peine achevé de parler ainsi, qu’ils le precipiterent du haut d’un rocher, et voylà quelle fust la fin de sa vie. […] Depuis, les principaux d’entre les Grecs, et les plus sçavans hommes de ce temps-là, estans advertis de la fin tragique d’Esope, s’en allerent tous en Delphes, où s’estans enquis de ceux qui avoient esté les autheurs de sa mort, ils en firent la vengeance eux-mesmes.
Cependant Hermippus ne pouvant souffrir le Roy dans une peine, dont il cognoissoit la cause, le fût trouver aussi tost, et luy dit qu’Esope vivoit encore, et qu’il ne l’avoit point voulu tuer, pour ce qu’il se doutoit bien qu’à la fin le Roy mesme en pouroit estre fâché.
A la fin comme elle vid qu’il commençoit à meurir, elle leur donna conseil de s’en aller piller les bleds ; ce qu’ils ne voulurent faire, non plus que le reste.