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2. (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 175. De pvero discere nolente » p. 

Le texte de 1495 présente ici le terme « litterium ».

3. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 54 » p. 37

Or un jour on lui présenta un louveteau ; il le palpa et resta indécis. « Je ne sais pas, dit-il, si c’est le petit d’un loup, d’un renard ou d’un autre animal du même genre ; mais ce que je sais bien, c’est qu’il n’est pas fait pour aller avec un troupeau de moutons. » C’est ainsi que le naturel des méchants se reconnaît souvent à leur extérieur.

4. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274

Le dieu leur dit de se présenter aux hommes, non pas tous ensemble, mais l’un après l’autre.

5. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 286 » p. 265

Un hôte se présenta un peu tard chez un oiseleur.

6. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5

Un acheteur se présenta et demanda si la truie était féconde. « Oui, elle est féconde, répondit-il, elle l’est même extraordinairement : aux Mystères elle enfante des femelles, et aux Panathénées des mâles. » Comme l’acheteur était surpris de ce qu’il entendait, le créancier ajouta : « Cesse de t’étonner ; car cette truie te donnera aussi des chevreaux aux Dionysies. » Cette fable montre que beaucoup de gens n’hésitent pas, quand leur intérêt personnel est en jeu, à jurer même des choses impossibles.

7. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 164 » pp. 129-129

Un choucas, ayant aperçu dans un pigeonnier des pigeons bien nourris, blanchit son plumage et se présenta pour avoir part à leur provende.

8. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317

Ils allaient aussi t’inscrire ; mais je me suis jeté à leurs pieds, en les suppliant, et leur ai juré que tu n’étais pas un vrai médecin, et qu’on t’avait incriminé sans motif. » La fable présente met au pilori les médecins dont toute la science et le talent consistent en belles paroles.

9. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 50 » pp. 36-36

Il voulait, si le dieu répondait « inanimé », faire voir le moineau vivant ; s’il disait « vivant », présenter le moineau, après l’avoir étranglé.

10. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 350 » pp. 39-39

Alors elle se rendit chez les hommes et se présenta en suppliante.

11. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 199 » pp. 140-140

Dès lors le laboureur n’eut plus que mépris pour lui, et, lorsqu’il se présenta, il le mit à la porte à coups de bâton.

12. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105

Peu après le bœuf aussi se présenta : lui non plus ne pouvait soutenir le mauvais temps.

13. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 76 » pp. 50-50

La chatte, oubliant sa condition présente, se leva du lit et poursuivit la souris pour la croquer.

14. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 319 » pp. 210-210

Mais à la fin il arriva que les loups se présentèrent réellement.

15. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 197 » pp. 142-142

Or beaucoup avaient déjà péri, quand le renard, ayant deviné son artifice, se présenta, et s’arrêtant à distance de la caverne, s’informa comment il allait. « Mal », dit le lion, qui lui demanda pourquoi il n’entrait pas. « Moi, dit le renard, je serais entré, si je ne voyais beaucoup de traces d’animaux qui entrent, mais d’animal qui sorte, aucune. » Ainsi les hommes judicieux prévoient à certains indices les dangers, et les évitent.

16. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 163 » pp. 101-101

Le choucas, avec sa parure bigarrée, se présenta lui aussi.

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