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19. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32

Etant arrivé au bord du Nil, il rencontra un loup ; il eut peur et monta sur un arbre de la rive, ou il se cacha.

20. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 171 » pp. 125-125

Donc ayant vu passer des voyageurs, elle alla se percher sur un arbre et là poussa de grands cris.

21. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — L’ingratitude de Xanthus. Chapitre XIX. »

Esope sortit doncques du logis, et apperçeut fortuitement deux Corneilles, qui s’estoient branchées sur un arbre ; ce qu’il fist sçavoir incontinent à son Maistre.

22. (1180) Fables « Marie de France, n° 53. L’ermite » p. 664

Ne voilez mes Adam blamer, si le fruit de l’arbre manga que nostre sire li devea : li deables li cunseilla, que par sa femme l’enginna e li pramist si grant honur que per sereit al Creatur. » Pur ceo ne deit nul encuper autrui fesance ne blamer ne mettre fame sur sun preme ; chescun reprenge sei me[is]mes.

23. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 328 » pp. 224-224

Un sanglier, posté près d’un arbre, aiguisait ses défenses.

24. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »

Alors Esope les ayant premierement fait asseoir à l’ombre d’un arbre, leur donna dequoy manger sobrement : puis il leur servit de guide, et les remit dans le chemin, qu’ils luy demandoient.

25. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »

L’un monta promptement sur un arbre, pour éviter le danger, et l’autre se jetta par terre, pource qu’il se vid sans esperance de se pouvoir sauver à la fuitte. […] Apres qu’il s’en fût allé, et que celuy qui estoit monté sur l’arbre en fût décendu, il voulut railler son Compagnon, et l’enquist de ce que l’Ours luy avoit dit à l’oreille : Mais ce pauvre homme ayant un juste sujet de le tancer ; « Il m’a conseillé », luy respondit-il, » de ne me mettre jamais en chemin avec un tel Amy ».

26. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150

Des chasseurs en effet le prirent et l’attachèrent à un arbre avec une corde.

27. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 

J’ay passé plus avant ; les Arbres et les Plantes Sont devenus chez moy creatures parlantes.

28. (1180) Fables « Marie de France, n° 46. Les oiseaux et leur roi » p. 652

La mesenge vola tut dreit dici a l’arbre u il esteit ; mut s’esteit pres de li asise, si l’esgarda par grant quointise.

29. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1

Et alors l’aigle prenant son essor s’établit sur un arbre très élevé et y fit sa couvée, tandis que le renard, se glissant dans le buisson qui était au pied de l’arbre, y déposa ses petits.

30. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »

» A ces mots Zenas s’estant un peu remis. « Ce que je viens icy », respondit-il, « c’est pour vous dire, Seigneur, qu’il est advenu une merveilleuse chose en vostre maison des champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, « quelque arbre a t’il porté du fruict avant le temps, ou bien y a-t’il quelque beste qui ait conçeu contre nature ?  […] Est-ce un homme que tu me monstres, ou quelque tronc d’arbre ?

31. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89

À la deuxième fois, le dieu vit une corneille perchée sur un arbre, qui tantôt levait les yeux en haut, tantôt se penchait vers le sol, et il le lui annonça.

32. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »

Le Corbeau ayant trouvé quelque proye, s’en resjouyssoit, et faisoit un merveilleux bruict sur un arbre, lors que le Renard, qui luy vit faire toutes ces mines, estant accouru à luy ; « Bien te soit, dit-il, Monsieur le Corbeau : J’ay souvent ouy dire d’estranges choses de toy, mais à ce que je vois maintenant, elles sont bien fausses. Voila pourquoy, comme j’ay passé par icy, t’ayant veu fortuitement perché sur cét arbre, je me suis advisé de m’en approcher, pour rejetter ceste calomnie.

33. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 138 » pp. 115-115

Ayant aperçu une grive sur un arbre élevé, il se mit en tête de l’attraper.

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