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2. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »

Alors les Loups et les Chiens l’estans allé visiter, et voyant son fils à travers la fente de la porte ; « Comment se porte ton Père ? 

3. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 198 » p. 144

Celui-ci, voulant le prendre, ferma la porte de la cour. […] Alors le laboureur, prenant peur pour lui-même, ouvrit la porte.

4. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246

La celeriere du Royaume
 De Satan, reprit-elle ; et je porte à manger
 A ceux qu’enclost la tombe noire.
 Le Mary repart sans songer ;
 Tu ne leur portes point à boire ?

5. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158

La Bique allant remplir sa traînante mammelle, Et paistre l’herbe nouvelle, Ferma sa porte au loquet ; Non sans dire à son Biquet ; Gardez-vous sur votre vie D’ouvrir, que l’on ne vous die Pour enseigne et mot du guet, Foin du Loup et de sa race. […] Messer Loup attendoit chape-chute à la porte. […] Le Seigneur du Village à sa porte les mit ; Et ce dicton Picard à l’entour fut écrit : Biaux chires leups n’écoutez mie Mere tenchent chen fieux qui crie.

6. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »

Mais apres qu’elle s’en fust allée, le Loup qui l’avoit ouye de loing, s’en vint heurter à la porte, et contre-faisant la voix de la Chévre, commanda qu’on luy ouvrit. […] Sa Mere luy défend d’ouvrir la porte, si ce n’est à elle mesme ; Et voylà qu’un moment apres leur perfide ennemy s’en vient pour deçevoir le Chévreau, et luy persuader d’une voix feinte qu’il ouvre, et que c’est veritablement la Chévre qui est à sa porte.

7. (1180) Fables « Marie de France, n° 82. La vipère et le champ » p. 93

Li chans li dist : « Reguarde tei, tu n’en portes n[i]ent de mei ! 

8. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 88 » p. 246

Quand elle jugea qu’il avait cuvé son vin, elle revint et frappa à la porte du cimetière : « Qui frappe à la porte ? 

9. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IX. Le Geay paré des plumes du Paon. » p. 101472

Quelqu’un le reconnut ; il se vit bafoüé, Berné, sifflé, moqué, joüé ; Et par Messieurs les Paons plumé d’étrange sorte : Mesme vers ses pareils s’estant refugié Il fut par eux mis à la porte.

10. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »

Comme il y fût arrivé, il apperçeut qu’il y avoit quantité de gens, et devant la porte une pierre, à laquelle s’aheurtoient tous ceux qui entroient, et qui sortoient. […] Car à l’entrée de la porte j’ay trouvé ceste mesme pierre, et ce disant il la luy monstra, contre laquelle choppoient tous ceux qui passoient par là.

11. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352

A la porte de la salle 
Ils entendirent du bruit.


12. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91

Dans cette admirable pensée, Voyant son Maistre en joye, il s’en vient lourdement, Leve une corne toute usée ; La luy porte au menton fort amoureusement.

13. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 187 » pp. 332-332

Ce n’est point à cause de ta vertu que tu portes cette sonnette, mais bien pour dénoncer ta méchanceté cachée. » Les manières glorieuses des fanfarons laissent voir visiblement leur méchanceté secrète.

14. (1180) Fables « Marie de France, n° 12. L’aigle et la corneille » p. 259

Li aigles ad mut grant desirer de la welke qu’il tient manger ; haut la porte, cheïr la leit.

15. (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165

La nation des Belettes, Non plus que celle des Chats, Ne veut aucun bien aux Rats ; Et sans les portes étretes De leurs habitations, L’animal à longue eschine En feroit je m’imagine, De grandes destructions.

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