Dans la suite, étant tombée une seconde fois, elle fut prise par une autre belette, et la pria de ne point la manger.
Les moutons, mangeant les glands, mangèrent aussi par mégarde le manteau.
» ; Et là dessus, il se mit à boire : Mais durant le disner, comme on luy eust apporté d’une certaine viande, qu’il trouva fort à son goust, et dont il mangea de bon appetit ; Xanthus voulut faire accroire à son Cuisinier, qu’il l’avoit mal apprestée à cause dequoy l’ayant fait dépoüiller tout nud, il le traita rudement à grands coups de foüet. […] A la fin, lon n’eust pas si tost mis le gasteau sur la table, que ce Vilain hoste, le tournant de tous costez, commença d’en manger, comme si ç’eust esté du pain, et comme s’il n’en eust jamais gousté de semblable.
Quand il forgeait, le chien dormait ; mais quand il se mettait à manger, le chien venait se mettre à ses côtés.
Il arriva ainsi que les autres oiseaux furent pris et mangés par les hommes, et que seule, l’hirondelle, leur protégée, nicha même sans crainte dans leurs maisons.
Il vient, l’on festine, l’on mange.
Mercy de moy, luy dit la Mere, Tu mangeras mon fils ?
Mut aveie grant desirer de manger de ta char, que est saine, si n’iés mie chargié de laine. » — « Ore m’avez », fet li bucs, « trové ; si vus requer par charité que aucune merci e pardun facez cest vostre cumpainun. » Li lus li dist, quant il l’oï : « Tu n’averas ja de mei merci, kar ne te puis terme doner que jeo te veie vif aler. » — « Jeo ne quer terme », dist li bucs, « fors tant que jeo die pur vus une messë, autre pur mei, sur cel tertre ke jo la vei.
Alors le loup reprit : « Quelle que soit ta facilité à te justifier, je ne t’en mangerai pas moins. » Cette fable montre qu’auprès des gens décidés à faire le mal la plus juste défense reste sans effet.
Et tout d’abord ils allèrent sur la terre manger du blé ; ensuite ils s’approchèrent du bord de l’étang.
Il la ramassa, s’imaginant que c’était de l’argent, la secoua, et, voyant ce qu’elle renfermait, le mangea ; puis, prenant les coquilles des amandes et les noyaux des dattes, il les plaça sur un autel en disant : « Je suis quitte, ô Hermès, de mon vœu ; car j’ai partagé avec toi le dehors et le dedans de ce que j’ai trouvé. » Cette fable s’applique à l’avare qui, par cupidité, ruse même avec les dieux.
Une cigale qui avait faim leur demanda de quoi manger.
Cependant soyez gais, voilà dequoy manger.
La reine vient par sa priere, amdeus s’asient sur la piere ; mut [i] troverent a manger sanz cuntredit e sanz danger.