A demeurer chez soy l’une et l’autre s’obstine ; Pour secourir les siens dedans l’occasion : L’Oyseau Royal en cas de mine, La Laye en cas d’irruption.
Entur lui se vunt deduiant li suriz petiz en juant ; l’une curut — ne s’en garda – sur le leün, si l’esveilla.
L’une d’ elles s’étant attardée à quelque friande pâture, le chevrier lui lança une pierre, et visa si juste qu’il lui cassa une corne.
Mais les choucas ne le reconnaissant plus à cause de sa couleur, le rejetèrent de leur société, de sorte que pour avoir voulu les deux provendes, il n’eut ni l’une ni l’autre.
L’une et l’autre trouva de la sorte son compte, Et fit trés-sagement de changer de logis.
L’une fait fuïr les gens, et l’autre a mille attraits.
Li vileins li ad dit aprés qu’il ne deit tenir sun esgart, kar il nel vit fors de l’une part ; pur ceo l’aveit demi preisié qu’il n’en veeit fors la meité ; ne pot mie d’un oil veeir quei li chevals deveit valeir.
Un grison avait deux maîtresses, l’une jeune et l’autre vieille. […] Il arriva ainsi qu’épilé tour à tour par l’une et l’autre, il devint chauve.
En le voyant, l’une dit à l’autre : « Amie, descendons ensemble dans ce puits. — Mais, répondit l’autre, si l’eau de ce puits vient à se dessécher aussi, comment remonterons-nous ?
Un homme qui avait deux filles avait donné en mariage l’une à un jardinier, l’autre à un potier.
Mais de quelque source que naisse ceste imprudence, soit de l’une de ces causes soit de toutes ensemble, c’est tousjours un dangereux effect parmy les hommes, et qui ne leur laisse pour tout remede que ces paroles, ô que si je l’eusse pensé !
L’une se vantoit d’estre noble, et de voler comme les Oiseaux ; de frequenter chez les Roys, d’estre toûjours en festin, et de n’avoir rien à faire ; au lieu que l’autre estoit de basse naissance, ne faisoit que ramper à terre, ne se nourrissoit que de quelques chetifs grains qu’elle rongeoit, ne beuvoit rien que de l’eau, et se tenoit tout le jour cachée dans les Cavernes. […] Voylà la fin de leurs disputes, qui nous fait voir clairement combien les raisons de l’une sont preferables à celles de l’autre.
L’une est, de l’incorruptibilité quant aux presents, et l’autre de la sage conjecture que nous devons faire de ceux qui sont amis, ou ennemis, loyaux, ou trompeurs, naïfs, ou artificieux.
L’enfant met pied à terre, et puis le vieillard monte ; Quand trois filles passant, l’une dit : C’est grand’ honte, Qu’il faille voir ainsi clocher ce jeune fils ; Tandis que ce nigaut, comme un Evesque assis, Fait le veau sur son Asne, et pense estre bien sage.