Moi, au contraire, je déchire impitoyablement sa chair et je bois son sang à pleine bouche. » Le bœuf répondit : « J’ai de la reconnaissance à la race des hommes ; car ils m’aiment et me chérissent, et me frottent souvent le front et les épaules.
L’échange en estant fait aux formes ordinaires, Et reglé par des Commissaires, Au bout de quelque temps que Messieurs les Louvats Se virent Loups parfaits et friands de tuerie ; Ils vous prennent le temps que dans la Bergerie Messieurs les Bergers n’estoient pas ; Estranglent la moitié des Agneaux les plus gras ; Les emportent aux dens, dans les bois se retirent.
Le ton dont il parla fit retentir les bois, Et découvrit tout le mystere.
Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont miserables, Cancres, haires, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim.
Aussitôt qu’il paraissait, personne ne restait plus en repos ; l’un allait aux prés ou aux bois, se plaisant à cueillir des fleurs, des lis et des roses, à les faire tourner devant ses yeux et à les mettre dans ses cheveux ; l’autre s’embarquait, et, à l’occasion, traversait la mer pour aller voir d’autres hommes ; personne ne prenait plus souci des vents ni des averses épaisses. « Moi, ajoutait-il, je ressemble à un chef et à un monarque absolu.
La suriz vient al cri tut dreit, mes ne saveit ki ceo esteit quë ja el bois aveit esveillé.
Mais, ô trop foible, et trop imprudent jeune homme, si de hazard tu eusses esté du conseil de Priam, et qu’Agamemnon et Menelas t’eussent courtoisement requis de promettre l’entrée en ses murailles au Cheval de bois, remply d’une multitude de gents de guerre, en suitte dequoy ils se fussent rendus maistres de la Ville, comme ils firent, la leur aurois-tu civilement et gracieusement accordée ? […] peux-tu mettre en doute que les Vicieux ne te soient autant ennemis que les Grecs l’estoient aux Troyens ; et que leur conversation ne te soit aussi fatale, que l’entrée du Cheval de bois le fût à Troye la grande ?
Son hoste la menoit tantost fendre du bois, Tantost fouïr, hoüer.
Dui humme erent al bois alé, mes il esteient esguaré la u li singe converserent : utre lur volenté alerent la u il erent assemblé : nel firent mie de lur gré.
Un berger, ayant conduit ses moutons dans un bois de chênes, aperçut un gros chêne chargé de glands ; il étendit son manteau par dessous, puis monta dessus et secoua les fruits.
C’est, dit-il, afin de m’aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guéres.
Mut le peot l’um de loinz oïr kar tut le bois fet retentir.
Des bûcherons fendaient un pin, et ils le fendaient facilement grâce aux coins qu’ils avaient faits de son bois.
Ce second deüil fut tel que l’echo de ces bois N’en dormit de plus de six mois.