A toute peine il regagna les bords, Et n’eut ny l’ombre ny le corps.
Heureux si ce travail est la derniere peine Que son époux me causera !
Li cerfs l’oï, si s’en ala ; a grant peine lur eschapa. […] Quant li cerf fu a curt mandé e pur oscire aresuné, a grant peine s’en eschapa.
Travaillez, prenez de la peine.
Mais ce qu’il y avoit de pire en luy, c’estoit sa parole lente, sa voix casse, et la peine qu’il avoit à se faire entendre.
Un Rat qui la voyoit en peine, Luy dit : Vous aviez lors la panse un peu moins pleine.
Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de couroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute beste portant des cornes à son front.
Son hoste n’eut pas la peine De le semondre deux fois ; D’abord avec son haleine Il se réchauffe les doigts.
dit-elle, qu’ils creusent tant qu’ils voudront : ils me le paieront de leurs soupirs et de leurs larmes. » La fable convient à ceux qui empruntent facilement et s’acquittent avec peine.
Le Cerf se voyant dans l’eau Dans le crystal d’une fontaine Un Cerf se mirant autrefois, Loüoit la beauté de son bois, Et ne pouvoit qu’avecque peine Souffrir ses jambes de fuseaux, Dont il voyoit l’objet se perdre dans les eaux.
« Fiens », funt il, « fors de l’estable treire. » Dist li vileins : « Vus le femastes e la meisun [en] encumbrastes. » Li buf dient : « Ceo est veritez. » Dunc s’est li vilein purpensez, si lur respunt que hors le traient : bien est dreiz que la peine en aient.
» Nous pourrions appliquer cette fable à un homme efféminé qui s’impatiente des moindres peines, alors que nous-mêmes, nous supportons facilement des maux plus grands.