/ 34
24. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »

En effect, jamais les Turcs n’eussent pû venir à bout de l’Empire Grec, sans la division d’Andronic Paleologue avecque son fils ; et jamais la Maison d’Austriche ne se fust renduë si forte, sans la parfaicte intelligence de tous ceux qui en portent le nom, tant en la haute et basse Allemagne, qu’en Espagne mesme.

25. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »

Herode tout de mesme donna plus de preuves de sa ferocité dans le lict de la mort, qu’il n’en avoit donné auparavant, jusques à faire égorger son propre fils Antipater, et à commander serieusement, qu’à son heure derniere l’on fist un massacre general, pour obliger tous ceux de la Ville à pleurer, en les interessant par leur propre perte.

26. (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 81 » pp. 51-51

Chambry 81 Chambry 81.1 Γεωργὸς καὶ ὄφις <τὸν παῖδα αὐτοῦ ἀποκτείνας> – Le laboureur et le serpent qui lui avait tué son fils.

27. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »

« Amy, pourquoy t’en es-tu venu trahir le Fils de l’Homme avec un baiser ? 

28. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »

Quant à leurs Successeurs qui furent les Othomans, ils prirent pié dans l’Europe par les divisions d’Andronic avecque son Fils, et n’envahirent toute la Grece, la Sclavonie, la Moldavie, la Valachie, et le Peloponese, qu’à la faveur des seditions, et des maudites rancunes de leurs Princes.

29. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »

Or comme en l’ancienne decision des inimitiez, on ne faisoit point de duels, que pour des causes tres justes, à sçavoir pour l’honneur d’une Femme, d’une Maistresse, d’un Pere, d’une Sœur, d’un Fils, et pour le sien propre.

30. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »

Alexandre le Grand n’en fût-il pas un, lors qu’il suborna des Prestres Afriquains, pour se faire declarer fils de Jupiter Ammon, par les responses d’un faux Oracle ?

31. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »

Premierement, qu’un fils peu caressé de son pere, s’évertuë à devenir homme de bien, affin de surmonter l’aversion naturelle qu’on a contre luy, par un effort de merite extraordinaire.

32. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Le parti catholique, qui était le plus fort, repoussa du barreau troyen le fils de celui qui en avait été l’oracle. […] Il mourut le 17 septembre 1614, laissant un fils, Alexandre Petau, qui hérita de ses fonctions au Parlement et de son goût pour les antiquités. Sa bibliothèque passa à son fils Alexandre Petau, et après le décès de ce dernier elle fut mise en vente. […] Il ne s’aperçoit pas qu’il confond ainsi le père avec le fils. […] En 1649, Isaac Vossius, son fils, était devenu bibliothécaire de la reine et avait été chargé par elle de lui enseigner la littérature grecque.

33. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »

Car il n’est pas incompatible que le Pere ayant acquis des biens, le Fils n’en acquiere aussi.

34. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Il nous declare encore plus expressément l’importance du bon conseil, lors qu’estant question de terminer quelque haute affaire, ou de sortir d’un grand peril, il le fait tous-jours accompagner luy et son fils Telemaque, de la Déesse Minerve, qui preside à la Prudence.

/ 34