Un sun veisin la li tua.
» Elle répondit : « C’est notre façon de vivre ; ne ma tue pas ; car je ne puis pas faire grand mal. » L’homme se mit à rire et lui dit : « Tu vas mourir tout de suite, et de ma propre main ; car quel que soit le mal, petit ou grand, il faut absolument l’empêcher de se produire. » Cette fable montre qu’il ne faut pas avoir pitié d’un méchant, quel qu’il soit, fort ou faible.
Oh là tu, che dal ciel chiamato m’hai In tuo soccorso, hor da’ principio tosto Ad aiutarti per te stesso, et opra Quanto è in te di valor per tragger fuori Di questo loto il già fermato carro : Stimola i buoi ; metti le spalle sotto Le gravi sponde, et sollevando alquanto Le lente ruote invita al moto il plaustro : Ch’allhor, se da persona di valore Facendo sforzo a la tua debil possa Mi chiamerai in soccorso al tuo bisogno, Sarò presente ; e col divin potere In te raddoppierò l’humane forze.
Ogni opra tua col tuo poter misura.
Io, che con forze estreme Sostener soglio ogni importante offesa, Sarò minor di te, putrida e vile, Che non hai pianta a tua viltà simile ?
Et lui, sur le point d’être immolé par eux, les pria de le relâcher, alléguant qu’il était utile aux hommes, en les éveillant la nuit pour leurs travaux. « Raison de plus pour te tuer, s’écrièrent-ils ; car, en éveillant les hommes, tu nous empêches de voler. » Cette fable fait voir que ce qui contrarie le plus les méchants est ce qui rend service aux gens de bien.
Quand il s’aperçut du désastre, il gémit et dit : « Je l’ai bien mérité ; pourquoi ai-je sauvé, petits, des animaux qu’il faudrait tuer, même adultes ?
Tandis qu’à le tuer mon Villageois s’appreste, La Fourmy le picque au talon.
Perché fin che qui dentro ognihor ti stai Pascendo a voglia tua l’ingorda gola, Sempre starai nella medesma pena, E in continuo pericol de la vita.
Réchauffé, le serpent reprit son naturel, frappa et tua son bienfaiteur, qui, se sentant mourir, s’écria : « Je l’ai bien mérité, ayant eu pitié d’un méchant. » Cette fable montre que la perversité ne change pas, quelque bonté qu’on lui témoigne.