Ahi di natura ugual disugual sorte, Che non so qual destin da cielo piove : Costui si pasce, e riso avien ch’apporte Al padron, cui tal danno appar che giove : Io fin lontan perseguitato a morte Vengo, se ’l guardo pur pensando altrove : Tal il favore ottien da molti spesso, Che in altri appar minore un fallo stesso.
mon amy », dit-il, « je meurs de douleur et d’angoisse. Puis qu’il faut donc que je sois ta proye, ou celle des Vautours et des Corbeaux, fay-moy du moins un plaisir, tandis que je suis en vie ; arrache-moy une espine que j’ay au pied, afin que j’en meure plus doucement ».
Le Vautour de ceste Fable imite la cruauté de certains hommes dénaturez, qui sous l’apparence d’une courtoisie empruntée, rendent de pernicieux offices aux Innocents, et font mourir quelquesfois ceux qui se fieroient en eux de leur propre vie. […] Car si c’est une démonstration de peur, que de faire mourir son Ennemy quand on a dequoy luy nuire, à cause qu’on tesmoigne par là de le craindre, en le laissant vivre ; à plus forte raison devons-nous imputer à poltronnerie l’action de ceux qui surprennent leurs Ennemis, sous le masque de leurs carresses, puis qu’on peut conclurre par là, qu’ils en apprehendent le courroux. […] » Or ce ne sont pas seulement les baisers que ces courages malins employent à leurs infames entreprises ; Leur brutalité va quelquesfois jusques là, qu’ils prennent l’occasion de faire mourir leur partie dans les amoureux accouplements.
IL Lupo devorato havea un agnello ; Et per la fretta, del mangiar c’havea, Un osso rotto con l’acuta punta Gli restò in gola attraversato in modo, Che sentiva di morte estrema pena.
GIÀ dentro un’olla, che di carne piena Era d’alesso nel tepido humore Bolliva al foco, nell’humor fervente Entrò la Mosca da la gola tratta Del grasso cibo, che nuotar vedea : Del qual dapoi, c’hebbe satiato a pieno L’ingorda brama, e ’l temerario ardire, Venne sì gonfia del mangiato pasto, E di quella bevanda a lei soave, Che non potea levarsene, e cadendo Anzi più in mezo del liquor profondo De la vicina morte in mano andava ; Onde vedendo non poter fuggire L’odiato fin de la penosa vita, Cominciò confortarsi in cotal guisa.
Or un jour cet âne mourut de fatigue ; ils le dépouillèrent, firent de sa peau des tambourins, et ils s’en servirent.
L’oiseau prest à mourir, se plaint en son ramage.
Il cercar varia sorte è talhor morte.
Pria che morte ti colga esci del vitio.
L’ASINO già nel suo presepio infermo Giaceva giunto assai vicino a morte, E di ciò sparsa era la fama intorno.