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4. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Le frontispice est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre | traduites en vers italiens  | par M.  […] Je pourrais traduire ce distique ; mais le lecteur français veut être respecté. […] Cela m’est arrivé à moi-même à l’égard d’une fable de Phèdre : ne me rappelant plus que je l’avais déjà traduite, j’en ai fait une seconde traduction ; mais la seconde n’était pas identique à la première. […] Suivant lui, l’absence dans Avianus de toute fable pareille à celle que Perotti prétendait avoir traduite en vers ïambiques, démontrait sa mauvaise foi évidente194. […] Il a fait une déclaration dont la fausseté saute aux yeux, et l’on ne comprend pas au premier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’Avianus et traduit en vers ïambiques une fable qu’en réalité il avait empruntée à Phèdre.

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