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62. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Il commence ainsi : « “Primo namque de his ad ortum sermo prorumpit quæ leviore discretu ab umano (sic) genere distant, daturus operam de singulis quæ terra fovet mortalium nutrix aut quondam fovisse fertur. […] Après avoir écrit la première qu’il avait adressée à Particulon, Phèdre s’arrête, et, dans un premier épilogue qui commence par ce vers : Supersunt mihi quæ scribam, sed parco sciens, il lui déclare, que, quoique la matière soit encore fort abondante, il ne veut pas, dans la crainte de l’importuner, écrire davantage. […] Mais un examen plus attentif ne m’a pas permis de persister longtemps dans cette première idée ; car le manuscrit ne laisse pas même place aux conjectures : la fin de la deuxième partie du quatrième livre s’y trouve nettement indiquée par un épilogue intitulé Poeta ad Particulonem, qui commence par ce vers : Adhuc supersunt multa quæ possim loqui. […] : Ideo quum forte meretrix ridet validius, Incumbens lecto, sequitur lectus, omnia Et quæ tangebat, magno flentem incommodo. […] Servitus obnoxia, Quia quæ volebat non audebat dicere, Affectus proprios in fabellas transtulit, Calumniamque fictis elusit jocis.

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