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1. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

« La reliure est en carton recouvert d’un parchemin tout uni. Le manuscrit est écrit sur un parchemin d’une épaisseur moyenne. […] On aura ôté, en reliant, ce lambeau de parchemin, qui très probablement était déchiré d’assez près pour n’offrir qu’une partie de la marge sans aucune lettre. […] Il est vraisemblable que, si l’un des deux copistes, pour économiser le parchemin, a eu l’idée de ne pas s’inquiéter des vers, l’autre n’a pas eu la même préoccupation. […] Seulement, comme dans tous les manuscrits de la même époque, de nombreuses abréviations y attestent l’économie de parchemin et surtout de travail, à laquelle visaient toujours les copistes.

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