Que ne nous contentons-nous du bien qu’il faut pour arriver jusques à la frontiere, et que ne mettons-nous ordre à nous fournir d’une monnoye qui s’y debite, c’est à dire, de bonnes œuvres ?
Que ne nous contentons-nous du bien qu’il faut pour arriver jusques à la frontiere, et que ne mettons-nous ordre à nous fournir d’une monnoye qui s’y debite, c’est à dire, de bonnes œuvres ?