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42. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »

De plus, elle compte aussi les delices de sa sobrieté : elle allegue la pureté de ses fontaines, et le goust naturel de ses grains, par où il semble qu’elle nous apprend, que la vraye volupté ne consiste pas dans le trop, mais dans le mediocre ; Et que ceux-là sont bien plus heureux qui sçavent en tout temps se garantir des excés, que ces autres qui en peuvent tousjours faire.

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