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1. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Quand il vit que, pour satisfaire son ambition, la maison de Lorraine ne craignait pas d’appeler l’Espagne à son aide, il entra dans la lutte, pour soutenir celui des prétendants qui représentait l’indépendance nationale. […] Les deux exemplaires de la Bibliothèque nationale portent sur le Catalogue imprimé de 1750, l’un la cote Y 6561, et l’autre la cote Y 6562. […] C’est là une explication ; mais la Bibliothèque nationale heureusement n’a pas encore été incendiée ; ce qui en restait s’y trouverait encore, et elle n’en possède rien. […] J’avais une dernière ressource : c’était d’aller à la Bibliothèque nationale. […] Le manuscrit de Phèdre, que j’avais sous les yeux, était relié avec deux autres d’âge et d’écriture très différents, et le tout formait un petit volume in-8º, qui, marqué à deux endroits de l’estampille rouge de la Bibliothèque nationale, avait évidemment été apporté à Paris dans les beaux jours de la République, rapporté à Rome après la chute du premier Empire, et réintégré sous le nº 1616 dans le fonds de la reine Christine.

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