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4. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Car du reste ils sont écrits à la suite des derniers mots de la fable précédente, et, par conséquent, ne commencent la ligne que si la dernière ligne de la fable précédente est entièrement remplie. […] Pithou en fait la remarque, et il indique ces lacunes par des lignes ponctuées.” […] Ainsi, ces lignes ponctuées n’indiquent nullement des lacunes observées dans le manuscrit, où tout se suit aussi bien que dans le manuscrit de Reims. […] En un mot, pour employer une image qui rende ma pensée, ou bien ils descendent l’un de l’autre en ligne directe, ou bien ils descendent d’une souche commune en ligne collatérale. […] Daniel, chaque vers occupe seul la ligne où il est écrit.

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