Il n’y a nul homme, quel qu’il soit, qui ne se rende tres-suffisant en certaines choses particulieres, l’un aux lettres, l’autre au jeu ; l’un en la conduitte des Empires, l’autre aux affaires privées, et quelques-uns mesmes sont suffisants en l’art de prouver leur insuffisance. […] Pour le regard des loüanges que les Oiseaux mesme donnent à Dieu, cela doit estre reçeu avec explication, plustost qu’au pied de la lettre.