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14. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Quelle que soit celle des deux formes latines qu’on adopte, il y a un point qui est incontestable, c’est que l’origine de chacune est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος. […] Cet empereur, on le sait, aimait les belles-lettres, et il se plaisait à donner des noms grecs à ses affranchis et même à ses esclaves. […] Mais l’hypothèse de Gude ne me paraît pas trouver ici sa place : Phèdre, étant originaire d’un pays de langue grecque, n’avait pas besoin, pour porter son nom grec, qu’Auguste le lui eût donné. […] Quelques-uns servent aussi de ce que les Grecs appelaient διαστολή. […] Le texte grec est accompagné, en interligne, de la traduction latine écrite en lettres de moindre grosseur.

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