En le cherchant, j’ai vu qu’il existait plusieurs manuscrits ; j’ai fini par découvrir qu’on en avait connu cinq. […] S’il en est ainsi, j’aurai du moins la consolation d’avoir bien commencé ce que je n’aurai pu finir. […] Mais où finissait le quatrième livre et où commençait le cinquième ? […] Pour éviter cette méprise, il avait, à la fin de la dernière fable du livre V, ajouté cette observation : « Ici finit le cinquième livre ; et ces autres fables qui suivent ne sont pas dans notre manuscrit. […] La victoire a fini par rester aux partisans de l’authenticité, de sorte que le débat n’offre plus qu’un intérêt purement historique.