Je vous envoie le texte de notre Phèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste. […] Néanmoins les deux copistes le conservent ; ce qui, soit dit en passant, démontre leur égale ignorance. […] S’il était dû à la plume d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’existerait pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle, la seconde partie du manuscrit à la suite de la première. […] La première chose, en effet, qu’il y déclare, c’est qu’il n’est que copiste.