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1. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Ainsi cette seule copie renferme tout le travail de son édition. […] Il suspendit sa publication et pria son élève de lui adresser une copie du manuscrit. […] Sur quoi est basée la croyance à l’existence de cette copie ? […] Il me semble que, si Philippe avait eu sous les yeux la copie de d’Orville ou une copie de cette dernière, y trouvant nécessairement les fables nouvelles, il y aurait fait quelque allusion. […] Il dut donc faire de son recueil lentement formé une première copie pour son neveu ; mais ce n’est pas celle que possède la bibliothèque napolitaine ; c’est une seconde copie qu’il avait dû faire pour Veltrius.

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