/ 15
15. (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »

Car nous ne voyons aucuns animaux inventer des Arts, ny mesme comprendre ceux qui sont des-jà inventez, autrement que par je ne sçay quelle memoire, et par une confuse cognoissance ; ny changer de biais en ce qu’ils font, quand on leur change la circonstance, ny adjouster à ce qui est proposé par autruy ; Ce qui neantmoins est une des plus foibles marques de nostre esprit, témoing ce dire des Anciens, On adjouste aisément aux choses inventées.

/ 15