/ 27
20. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

S’il en est ainsi, j’aurai du moins la consolation d’avoir bien commencé ce que je n’aurai pu finir. […] Pour tout concilier, il suppose que le troisième livre commencé sous Tibère ne fut achevé que pendant le règne de son successeur. […] Puis il fait commencer le cinquième livre par la pièce de vers Æsopi nomen, etc. […] Le manuscrit m’attendait, ouvert à la page où commençaient les fables de Phèdre. […] La déclaration, par laquelle elle commence, annonce bien une certaine bonne foi ; mais il ne s’en inquiète pas.

/ 27