/ 7
6. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Quelle que soit celle des deux formes latines qu’on adopte, il y a un point qui est incontestable, c’est que l’origine de chacune est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος. […] Il porte écrites de la main de Rigault les variantes du manuscrit avec les initiales V C, c’est-à-dire vetus codex, en avant de chacune d’elles. […] 118 Je pourrais donner l’analyse de chacune de ces conversations ; mais je m’aperçois que je me suis déjà trop occupé de la querelle de Cassitto et de Jannelli, et je ne m’y arrête pas davantage. […] J’ai en ma possession un exemplaire de chacune d’elles. […] Chambry. » La troisième édition, en 228 pages sans compter la dédicace à M. le baron de Pommereul et la préface qui en occupent 23, comprend la traduction en vers italiens des trente-deux fables nouvelles, leur texte latin en regard, la traduction française en prose ajoutée au bas, et les notes latines de Jannelli rejetées à la suite de chacune d’elles.

/ 7