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32. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Dans la pièce de vers, qui en est le prologue, il lui avoue qu’il s’est tout bas reproché sa détermination, et qu’il ne peut davantage résister au désir de composer de nouvelles fables. […] Enfin, un peu plus bas, a été tracé ce singulier vers, qui semble être, sinon de la même main, au moins de la même époque : Sepe comesta, bovis caro plus placet, auget amorem.

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