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42. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

On ne tarde pas, en procédant ainsi, à s’apercevoir que ces variantes se réduisent à peu de chose. […] Il ne s’aperçoit pas qu’il confond ainsi le père avec le fils. […] Mais il commit l’erreur inverse, et, n’y jetant qu’un coup d’œil superficiel, il n’aperçut que sept fables. […] Le temps n’avait pas calmé son dépit, et, pour avoir attendu, Cassitto s’aperçut qu’il n’avait rien perdu. […] Si cependant il avait pris la peine de réfléchir, il aurait tout de suite aperçu que l’archevêque de Siponte se trompait.

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