C’est à eux qu’il fait allusion, quand il dit qu’il est né plus près de la Grèce, et il ajoute que son pays plus voisin du foyer des lettres a vu naître Linus et Orphée. […] Et maintenant, qu’on me permette, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajouter une dernière observation. […] J’ajoute que, si l’on admettait cette supposition invraisemblable, on devrait encore nécessairement reporter à l’époque de Tibère la composition du troisième livre. […] C’était un protecteur généreux, un ami des lettres : “Sermone illo philosophico, ajoute-t-il, ex tuo materiam sumpsimus. […] Cet argument est bien simple ; mais il me semble si concluant que je n’en ajoute pas d’autre.