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3. (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818

Je n’en veux pour exemple que les phrases redondantes, par lesquelles, dans le premier épilogue du livre IV, il prie Particulon de ne pas lui faire attendre la récompense promise et due à sa brièveté. […] La fausseté de son hypothèse aurait dû lui être démontrée par ce vers du même épilogue : Brevitati nostræ præmium ut reddas peto. […] Dans l’épilogue qu’il adresse bien à Particulon, et non pas à un juge, Phèdre réclame la récompense promise à sa brièveté, et l’on me concédera, je l’espère, qu’il n’est pas naturel que cette récompense doive consister dans une bonne décision judiciaire. […] Il s’excuse de manquer à la parole donnée dans l’épilogue qui précède. […] À partir de cet épilogue les deux manuscrits de Pithou et de Reims ne contenaient plus que cinq fables.

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