elle maison pour luy ! L’on y tournoit à peine. Pleust au Ciel que de
vrais
amis Telle qu’elle est, dit-il, elle pût estre pl
ui ne sont pas les miens me quittent, eux qui ont abandonné même leur
vrai
propriétaire, avec qui la nature les a fait naîtr
s remuaient, les chasseurs s’étant retournés et pensant, ce qui était
vrai
, qu’il y avait une bête cachée dessous, tuèrent l
e. L’une fait fuïr les gens, et l’autre a mille attraits. Aux soûpirs
vrais
ou faux celle-là s’abandonne : C’est toujours mes
leurs pieds, en les suppliant, et leur ai juré que tu n’étais pas un
vrai
médecin, et qu’on t’avait incriminé sans motif. »
cha et la rassura, en lui promettant, si elle lui tenait trois propos
vrais
, de la laisser aller. Alors la brebis commença pa
rer la santé, et il se leva de son lit. Mais, comme il n’avait pas de
vrais
bœufs, il en modela cent avec du suif, et les con
nne au loup à l’instant même. » Le loup pensant que la vieille disait
vrai
, s’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fu
ait mourir d’autres, et plus on l’estime digne de vivre, comme si les
vrais
effects du courage ne consistoient qu’à imiter la
des assistants prenant la parole lui dit : « Mais, mon ami, si c’est
vrai
, tu n’as pas besoin de témoins ; voici Rhodes ici
lle en contenait qu’on pouvait considérer comme n’étant pas dans leur
vrai
milieu. Pour ne parler que des fables du moine qu
ater enixa est jugo. C’est sur le mont Piérus qu’il était né. Il est
vrai
que plusieurs critiques, parmi lesquels il faut r
Époque de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait connaître le
vrai
nom du fabuliste, le lieu de sa naissance et sa n
oir dans sa déclaration une précaution habile. Il n’en est pas moins
vrai
qu’il fut persécuté par Séjan. C’est, puisqu’il l
, je n’hésite plus à confesser que, pour donner au vers de Phèdre son
vrai
sens, il faut le traduire ainsi : « Adoptant cert
on reste convaincu qu’il ne nous est pas entièrement parvenu. Il est
vrai
que ce deuxième livre n’est pas le seul qui soit
sait que l’époque de Claude fut pour les affranchis le temps de leur
vraie
puissance. Phèdre, depuis longtemps, n’avait plus
t delectet varietas, Bonas in partes, Lector, accipias velim. Il est
vrai
que, dans le prologue du livre III, il prétend, c
, la deuxième partie du livre IV et le livre V ne renferment que deux
vraies
fables, on peut dire que, dans l’œuvre de Phèdre,
ns contemporains ou postérieurs ne se sont pas occupés de lui. Il est
vrai
que ses fables avaient acquis assez de notoriété
érence pour le manuscrit, auquel on a ensuite donné son nom. Cela est
vrai
; mais ce manuscrit ne contenait qu’un fragment,
mérite, et les deux cents exemplaires ont plus que suffi. Tant il est
vrai
que les œuvres de pure érudition n’intéressent qu
icit, d’abord parce que la division en cinq livres (confirmée, il est
vrai
, par le manuscrit de Reims) est une correction de
livre V, ils ont laissé subsister le mot quartum. Quel était donc le
vrai
chemin ? Il était facile à trouver : il suffisait
anuscrit de Reims, je crois qu’on doit accepter cette hypothèse comme
vraie
, et il faut avouer qu’elle ne fait pas courir de
dressé à M. de Foncemagne démontre que son assertion est parfaitement
vraie
. L’indifférence du copiste avait été plus loin en
commune en ligne collatérale. Laquelle de ces deux hypothèses est la
vraie
? Je ne puis le dire ; mais j’incline vers la pre
. Mais la conclusion à laquelle il arrive me servira d’excuse. Il est
vrai
qu’elle est toute gratuite, qu’il n’y a aucun rap
it de Daniel embrassait à peine le tiers du premier livre. Cela était
vrai
; mais Adry, habitué à tout éplucher, n’accepta p
ennent pas la fable xvi, Ovis, Cervus et Lupus. Il n’en est pas moins
vrai
que de graves critiques ont été jusqu’à présenter
i vir summus, qu’il produit sa nouvelle assertion. Ce dernier, il est
vrai
, dans son Excursus sur la fable xvi 145, avait éc
fisse connaître exactement les fables du manuscrit de Daniel. Il est
vrai
qu’ainsi que je l’ai dit, elles ont été déjà édit
nt. Mais le très petit nombre des manuscrits de Phèdre, contenant son
vrai
texte, lui donne une importance relative, qui jus
t fait usage pour noter les variantes du manuscrit de Perotti. Il est
vrai
que Philippe avait relevé ces variantes dans l’éd
la fin de la préface, et c’est ce qu’il me paraît avoir fait. Il est
vrai
que dans la fable ii du Livre III intitulée Panth
bles anciennes, elles ne peuvent être sorties que de sa plume. Il est
vrai
que, si l’on entend comme la plupart des traducte
actes, et qu’au contraire le manuscrit condamne celles qu’il proclame
vraies
et sincères ; Qu’enfin, après examen très attenti
us tard ; car l’examen que j’en pourrais faire ici ne serait pas à sa
vraie
place. Je continue la nomenclature des éditions p
de ses fables la conclusion qui en découle ; le plus souvent, il est
vrai
, il la déduit, mais la rend systématiquement obsc
rut, également à Zurich, en 1832, et qui lui permit de substituer les
vraies
leçons aux hypothèses quelquefois fausses de Jann
ommise et qui était devenue la cause de la sienne. Il déclare, il est
vrai
, qu’il pourrait fournir bien d’autres arguments ;
, qui sert de point d’appui à l’accusation dirigée contre lui. Il est
vrai
que, dans cette dédicace par lui composée à l’épo
son œuvre, qu’il les a tirés d’Ésope, ce qui n’était qu’indirectement
vrai
, mais aussi de Phèdre et d’Avianus, ce qui était
bscur qu’il pût être, l’existence d’un fabuliste contemporain. Il est
vrai
que Christ est un peu gêné par les témoignages de
nt mention. Avien en a fait, dit M. Christ, un Fabuliste Grec. Il est
vrai
qu’il le cite après Gabrias ou Babrias. De même o
icité, et dont cependant aucun ouvrage ancien ne fait mention. Il est
vrai
que Sénèque ne se borne pas à garder le silence e
a dû précéder la copie et Perotti n’a vécu qu’au xve siècle. Il est
vrai
que Christ suppose que ce qu’on appelle les manus
aturellement porté à en adopter la langue et la prosodie. Si cela est
vrai
, comment alors ses fables grecques nous sont-elle
ésitation que je réponds négativement. Phèdre était Macédonien, c’est
vrai
; mais c’est encore enfant qu’il était arrivé à R
iques qui ne peuvent avoir été conçues que par le même auteur. Il est
vrai
qu’après avoir, dans les fables anciennes, fait l
ire, que l’origine antique en est incontestable. Elles ont dû, il est
vrai
, n’être pas ignorées des auteurs qui furent les c
manuscrit, avait soumis à Heyne un texte profondément altéré. Il est
vrai
que ses leçons étaient imprimées en lettres itali
icta vindicate ; castigate impios, n’est pas sur ses pieds. Cela est
vrai
; il est d’un demi-pied trop long ; mais, tout en
xxvii, Servus et Dominus, il la proclame « inintelligible ». Cela est
vrai
; mais il oublie qu’elle était une des plus illis
obligé de substituer ses hypothèses au texte détruit, et que, si les
vraies
leçons en étaient connues, elle n’aurait peut-êtr
tout autre, n’aurait pas produit le même effet. Il n’en est pas moins
vrai
que, pendant quinze ans, l’opinion d’Adry s’impos
confesser que j’ai peut-être tenu un langage trop absolu. Car il est
vrai
que sa dédicace à son neveu est en vers ïambiques
écrire dans le même rythme les vers qui émanent de lui. Il est encore
vrai
qu’il a mis en tête de la fable ancienne : Muli e
constat 274, et, à l’appui de sa thèse, il cite, en altérant, il est
vrai
, le second, ces deux vers bien connus d’Horace :
ans la vie, s’instruit à chaque pas qu’il y fait, et cela est surtout
vrai
du travailleur. Beaucoup des notions qu’il possèd
dit, aucun feuillet ne manque, n’en contient pas davantage. » Il est
vrai
que Dressler a eu tort d’en faire un sixième livr
ble qu’il n’a jamais cru que Phèdre en eût écrit plus de cinq. Il est
vrai
aussi qu’aucun feuillet ne manque au manuscrit de
te phrase qu’il s’était empressé de signaler, la considérant comme la
vraie
leçon : Vulpis hunc vidit, deinde sic cœpit loqu
plus grossières, a beaucoup nui à sa valeur philologique. Il est bien
vrai
que ses fautes ont été corrigées au xie siècle p
e latine, et que le correcteur n’a pas pris la peine de recourir à la
vraie
source que d’ailleurs il ne connaissait peut-être
e formulait, il mettait instinctivement les savants sur la voie de la
vraie
solution. Mais personne n’y entra. Porté par la n
filio de Civitate salutem. Æsopus quidam homo græcus, etc.315. Il est
vrai
que cette collection n’est qu’une imitation du Ro
. Nilant qui écrivait au commencement du xviiie ne lui avait, il est
vrai
, attribué que cinq cents ans à peine : Est enim
parfaite intégrité, les leçons substituées différeront assez peu des
vraies
, pour qu’on puisse se croire devant un spécimen à
l, suivi de plus près le modèle primitif ; mais il n’en est pas moins
vrai
que, dans cet exemple, la similitude est encore q
vres, sinon de ce fabuliste, au moins de divers auteurs grecs. Il est
vrai
que, dans la dédicace à Tiberinus, on lit cette p
fonds. Je dois maintenant, pour faire apparaître les choses sous leur
vrai
jour, avouer que l’identité entre les deux textes
des trois collections, d’en apercevoir la fausseté et de découvrir la
vraie
solution. Éditeur des Fabulæ antiquæ, Nilant dev
st pourtant le plus ancien, n’est pas antérieur au xe siècle. Il est
vrai
que la collection contenue dans ce manuscrit n’es
lesquels elles manquaient pouvaient, malgré cette lacune, contenir le
vrai
texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma premièr
uvé ce qui n’était pas perdu ; et, quant à l’âge du manuscrit, il est
vrai
que le catalogue imprimé l’avait à tort attribué
u plusieurs dans les grandes bibliothèques de l’Allemagne, qui est la
vraie
terre classique des éditions incunables de Romulu
. Dans chacune d’elles les caractères des fables en vers sont, il est
vrai
, plus gros que ceux des fables en prose ; mais la
dans un angle de laquelle on lit : 1531. Mais il n’en est pas moins
vrai
que le volume a bien été imprimé en 1555, ainsi q
auxquelles je les ai rattachées tout à l’heure, il n’en est pas moins
vrai
que quelques-unes d’entre elles paraissent être e
s, celle dont s’était servi l’Anonyme de Névelet. Voilà quel était le
vrai
problème. La solution n’en était pas très aisée,
Lat. 8º 87, c’est au Romulus de Vienne qu’elles sont ajoutées. Il est
vrai
que, lorsque des manuscrits on passe aux vieilles
ent par ce motif que c’étaient les plus nombreux. Le doute quant à la
vraie
origine ne pouvant, à mes yeux, subsister qu’entr
nyme de Névelet à des conjectures erronées. Je crois avoir trouvé son
vrai
nom dans un manuscrit dont il sera bientôt questi
araît sur le savant à qui il a recouru : c’est maître Romulus. Il est
vrai
que, dans le manuscrit, il était appelé Romalius
rche de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa ; le
vrai
nom lui parut être celui de Bernard. Il appuyait
nergie de le refaire. En cela il a manqué de la qualité principale du
vrai
philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marc
laissé subsister des doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est
vrai
que les ouvrages connus du célèbre Hildebert perm
viens moi-même d’analyser, ne purent mettre fin à mes doutes. Il est
vrai
que la versification de l’épigramme sur l’Hermaph
ritable auteur. Je fus, je le crois du moins, mis par ce texte sur la
vraie
piste. Convaincu que cette fois j’étais en présen
es, conservé à la bibliothèque de Wolfenbüttel, il n’en est pas moins
vrai
que ce manuscrit, qui appartient au xiiie siècle
te, elle ne serait pas très probante ; mais elle n’est pas absolument
vraie
: en effet, dans les fables xxi, xxviii, et xxxvi
récite Plaist à oïr et si proufite. En développant le sentiment des
vraies
beautés littéraires, le mouvement de la Renaissan
duquel il est dû, en avaient fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un
vrai
livre de luxe. On me permettra donc de m’y arrête
ance ; ce n’est pas un simple manuscrit ; c’est un autographe. Il est
vrai
qu’en tête du manuscrit, à côté des divers numéro
dditions latines et françaises n’est pas le même que le traducteur du
vrai
texte de Walther. Maintenant quel est l’auteur de
on défunt époux, on y trouve, avant le distique final qui contient la
vraie
affabulation, le suivant que j’ai déjà signalé da
ges, dont le premier est le Novus Avianus de Vienne, le deuxième, les
vraies
fables d’Avianus, et le cinquième, celles de Walt
de Walther. On n’y trouve que les 60 premières, accompagnées, il est
vrai
, de ces gloses naïves qui ont été imprimées dans
e en livres précieux et notamment en incunables. Elle possède, il est
vrai
, peu de manuscrits ; mais ils sont d’une grande v
se trouve une sorte de préface ou commentaire en prose, qui donne le
vrai
nom de l’auteur. En voici le texte : « Incipit Es
uvent que partiellement, occupent les feuillets 159 a à 172 b. Il est
vrai
que ces feuillets portent les nos 189 à 202. Mais
s un manuscrit de l’abbaye de Saint-Victor, elles furent pour lui une
vraie
nouveauté, et c’est à ce titre qu’il publia dans
n des fables. Tout se tient dans la vie des peuples. Cette maxime,
vraie
pour leur histoire, est également applicable à le
erai, non comme une imitation, mais comme une copie un peu altérée du
vrai
texte ; et, partant de là, je donnerai seulement
leçons du Romulus primitif, laisse apercevoir nettement que c’est du
vrai
texte du Romulus de Vienne issu du Romulus primit
préoccupe, c’est d’adopter celle qui, aujourd’hui, me semble la plus
vraie
. § 2. — Manuscrit de Vienne 901. Le man
s des manuscrits plus anciens et sans doute plus purs, elles sont les
vraies
et que, par suite, en bien des endroits, les deux
mprend que quarante-neuf fables ; car on ne peut considérer comme une
vraie
fable la dernière pièce intitulée : La Statue d’
pparence de raison selon moi, imputée au roi Henri Beau-Clerc. Il est
vrai
que, dans la plupart des manuscrits qui nous ont
c’est-à-dire toutes sauf une. Je dis toutes sauf une ; car, s’il est
vrai
que la cinquantième de ce Romulus, intitulée : L
un nombre total de 137 fables. Il est possible que ce nombre soit le
vrai
; mais je ne le crois pas. Le premier élément à f
vre II de Phèdre, mais ayant trait à la statue d’Ésope, n’est pas une
vraie
fable et ne doit pas entrer en compte. C’est donc
s d’alors n’usurpaient pas des titres comme ceux de nos jours. Il est
vrai
qu’il avait épousé Marguerite de Flandres ; mais
Marie ; mais ou ne le trouve dans aucun historien ; il y eut, il est
vrai
, des prétentions mal fondées et qui furent sans s
y verra une note qui lui assigne la date de 1204. Cette date, il est
vrai
, ne peut être qu’hypothétique ; mais, en la suppo
en découle, c’est que la solution que j’ai déjà adoptée est la seule
vraie
: quand on considère que le texte latin, tout en
ction du texte du Romulus anglo-latin. Mais ce serait tirer d’un fait
vrai
une déduction fausse. Rien n’empêche en effet que
rdre détruit dans son modèle. 3º Dans quelques endroits, rares il est
vrai
, le scribe du manuscrit 1107, qui sans doute igno
ion sur une version anglaise, il s’inscrit en faux, timidement il est
vrai
, contre cette affirmation formelle547, et cherche
lui fournir, a été traduite dans le Dérivé en vers rythmiques. Il est
vrai
que, dans la fable xxiii du Livre II de ce Dérivé