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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
elle maison pour luy ! L’on y tournoit à peine. Pleust au Ciel que de vrais amis Telle qu’elle est, dit-il, elle pût estre pl
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 344 » p. 375
ui ne sont pas les miens me quittent, eux qui ont abandonné même leur vrai propriétaire, avec qui la nature les a fait naîtr
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 104 » pp. 77-77
s remuaient, les chasseurs s’étant retournés et pensant, ce qui était vrai , qu’il y avait une bête cachée dessous, tuèrent l
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
e. L’une fait fuïr les gens, et l’autre a mille attraits. Aux soûpirs vrais ou faux celle-là s’abandonne : C’est toujours mes
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
leurs pieds, en les suppliant, et leur ai juré que tu n’étais pas un vrai médecin, et qu’on t’avait incriminé sans motif. »
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
cha et la rassura, en lui promettant, si elle lui tenait trois propos vrais , de la laisser aller. Alors la brebis commença pa
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 55 » pp. 28-28
rer la santé, et il se leva de son lit. Mais, comme il n’avait pas de vrais bœufs, il en modela cent avec du suif, et les con
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
nne au loup à l’instant même. » Le loup pensant que la vieille disait vrai , s’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fu
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
ait mourir d’autres, et plus on l’estime digne de vivre, comme si les vrais effects du courage ne consistoient qu’à imiter la
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 51 » pp. 33-31
des assistants prenant la parole lui dit : « Mais, mon ami, si c’est vrai , tu n’as pas besoin de témoins ; voici Rhodes ici
11 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
lle en contenait qu’on pouvait considérer comme n’étant pas dans leur vrai milieu. Pour ne parler que des fables du moine qu
ater enixa est jugo. C’est sur le mont Piérus qu’il était né. Il est vrai que plusieurs critiques, parmi lesquels il faut r
Époque de l’arrivée de Phèdre à Rome. — Après avoir fait connaître le vrai nom du fabuliste, le lieu de sa naissance et sa n
oir dans sa déclaration une précaution habile. Il n’en est pas moins vrai qu’il fut persécuté par Séjan. C’est, puisqu’il l
, je n’hésite plus à confesser que, pour donner au vers de Phèdre son vrai sens, il faut le traduire ainsi : « Adoptant cert
on reste convaincu qu’il ne nous est pas entièrement parvenu. Il est vrai que ce deuxième livre n’est pas le seul qui soit
sait que l’époque de Claude fut pour les affranchis le temps de leur vraie puissance. Phèdre, depuis longtemps, n’avait plus
t delectet varietas, Bonas in partes, Lector, accipias velim. Il est vrai que, dans le prologue du livre III, il prétend, c
, la deuxième partie du livre IV et le livre V ne renferment que deux vraies fables, on peut dire que, dans l’œuvre de Phèdre,
ns contemporains ou postérieurs ne se sont pas occupés de lui. Il est vrai que ses fables avaient acquis assez de notoriété
érence pour le manuscrit, auquel on a ensuite donné son nom. Cela est vrai  ; mais ce manuscrit ne contenait qu’un fragment,
mérite, et les deux cents exemplaires ont plus que suffi. Tant il est vrai que les œuvres de pure érudition n’intéressent qu
icit, d’abord parce que la division en cinq livres (confirmée, il est vrai , par le manuscrit de Reims) est une correction de
livre V, ils ont laissé subsister le mot quartum. Quel était donc le vrai chemin ? Il était facile à trouver : il suffisait
anuscrit de Reims, je crois qu’on doit accepter cette hypothèse comme vraie , et il faut avouer qu’elle ne fait pas courir de
dressé à M. de Foncemagne démontre que son assertion est parfaitement vraie . L’indifférence du copiste avait été plus loin en
commune en ligne collatérale. Laquelle de ces deux hypothèses est la vraie  ? Je ne puis le dire ; mais j’incline vers la pre
. Mais la conclusion à laquelle il arrive me servira d’excuse. Il est vrai qu’elle est toute gratuite, qu’il n’y a aucun rap
it de Daniel embrassait à peine le tiers du premier livre. Cela était vrai  ; mais Adry, habitué à tout éplucher, n’accepta p
ennent pas la fable xvi, Ovis, Cervus et Lupus. Il n’en est pas moins vrai que de graves critiques ont été jusqu’à présenter
i vir summus, qu’il produit sa nouvelle assertion. Ce dernier, il est vrai , dans son Excursus sur la fable xvi 145, avait éc
fisse connaître exactement les fables du manuscrit de Daniel. Il est vrai qu’ainsi que je l’ai dit, elles ont été déjà édit
nt. Mais le très petit nombre des manuscrits de Phèdre, contenant son vrai texte, lui donne une importance relative, qui jus
t fait usage pour noter les variantes du manuscrit de Perotti. Il est vrai que Philippe avait relevé ces variantes dans l’éd
la fin de la préface, et c’est ce qu’il me paraît avoir fait. Il est vrai que dans la fable ii du Livre III intitulée Panth
bles anciennes, elles ne peuvent être sorties que de sa plume. Il est vrai que, si l’on entend comme la plupart des traducte
actes, et qu’au contraire le manuscrit condamne celles qu’il proclame vraies et sincères ; Qu’enfin, après examen très attenti
us tard ; car l’examen que j’en pourrais faire ici ne serait pas à sa vraie place. Je continue la nomenclature des éditions p
de ses fables la conclusion qui en découle ; le plus souvent, il est vrai , il la déduit, mais la rend systématiquement obsc
rut, également à Zurich, en 1832, et qui lui permit de substituer les vraies leçons aux hypothèses quelquefois fausses de Jann
ommise et qui était devenue la cause de la sienne. Il déclare, il est vrai , qu’il pourrait fournir bien d’autres arguments ;
, qui sert de point d’appui à l’accusation dirigée contre lui. Il est vrai que, dans cette dédicace par lui composée à l’épo
son œuvre, qu’il les a tirés d’Ésope, ce qui n’était qu’indirectement vrai , mais aussi de Phèdre et d’Avianus, ce qui était
bscur qu’il pût être, l’existence d’un fabuliste contemporain. Il est vrai que Christ est un peu gêné par les témoignages de
nt mention. Avien en a fait, dit M. Christ, un Fabuliste Grec. Il est vrai qu’il le cite après Gabrias ou Babrias. De même o
icité, et dont cependant aucun ouvrage ancien ne fait mention. Il est vrai que Sénèque ne se borne pas à garder le silence e
a dû précéder la copie et Perotti n’a vécu qu’au xve  siècle. Il est vrai que Christ suppose que ce qu’on appelle les manus
aturellement porté à en adopter la langue et la prosodie. Si cela est vrai , comment alors ses fables grecques nous sont-elle
ésitation que je réponds négativement. Phèdre était Macédonien, c’est vrai  ; mais c’est encore enfant qu’il était arrivé à R
iques qui ne peuvent avoir été conçues que par le même auteur. Il est vrai qu’après avoir, dans les fables anciennes, fait l
ire, que l’origine antique en est incontestable. Elles ont dû, il est vrai , n’être pas ignorées des auteurs qui furent les c
manuscrit, avait soumis à Heyne un texte profondément altéré. Il est vrai que ses leçons étaient imprimées en lettres itali
icta vindicate ; castigate impios, n’est pas sur ses pieds. Cela est vrai  ; il est d’un demi-pied trop long ; mais, tout en
xxvii, Servus et Dominus, il la proclame « inintelligible ». Cela est vrai  ; mais il oublie qu’elle était une des plus illis
obligé de substituer ses hypothèses au texte détruit, et que, si les vraies leçons en étaient connues, elle n’aurait peut-êtr
tout autre, n’aurait pas produit le même effet. Il n’en est pas moins vrai que, pendant quinze ans, l’opinion d’Adry s’impos
confesser que j’ai peut-être tenu un langage trop absolu. Car il est vrai que sa dédicace à son neveu est en vers ïambiques
écrire dans le même rythme les vers qui émanent de lui. Il est encore vrai qu’il a mis en tête de la fable ancienne : Muli e
constat 274, et, à l’appui de sa thèse, il cite, en altérant, il est vrai , le second, ces deux vers bien connus d’Horace :
ans la vie, s’instruit à chaque pas qu’il y fait, et cela est surtout vrai du travailleur. Beaucoup des notions qu’il possèd
dit, aucun feuillet ne manque, n’en contient pas davantage. » Il est vrai que Dressler a eu tort d’en faire un sixième livr
ble qu’il n’a jamais cru que Phèdre en eût écrit plus de cinq. Il est vrai aussi qu’aucun feuillet ne manque au manuscrit de
te phrase qu’il s’était empressé de signaler, la considérant comme la vraie leçon : Vulpis hunc vidit, deinde sic cœpit loqu
plus grossières, a beaucoup nui à sa valeur philologique. Il est bien vrai que ses fautes ont été corrigées au xie  siècle p
e latine, et que le correcteur n’a pas pris la peine de recourir à la vraie source que d’ailleurs il ne connaissait peut-être
e formulait, il mettait instinctivement les savants sur la voie de la vraie solution. Mais personne n’y entra. Porté par la n
filio de Civitate salutem. Æsopus quidam homo græcus, etc.315. Il est vrai que cette collection n’est qu’une imitation du Ro
. Nilant qui écrivait au commencement du xviiie ne lui avait, il est vrai , attribué que cinq cents ans à peine : Est enim
parfaite intégrité, les leçons substituées différeront assez peu des vraies , pour qu’on puisse se croire devant un spécimen à
l, suivi de plus près le modèle primitif ; mais il n’en est pas moins vrai que, dans cet exemple, la similitude est encore q
vres, sinon de ce fabuliste, au moins de divers auteurs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberinus, on lit cette p
fonds. Je dois maintenant, pour faire apparaître les choses sous leur vrai jour, avouer que l’identité entre les deux textes
des trois collections, d’en apercevoir la fausseté et de découvrir la vraie solution. Éditeur des Fabulæ antiquæ, Nilant dev
st pourtant le plus ancien, n’est pas antérieur au xe  siècle. Il est vrai que la collection contenue dans ce manuscrit n’es
lesquels elles manquaient pouvaient, malgré cette lacune, contenir le vrai texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma premièr
uvé ce qui n’était pas perdu ; et, quant à l’âge du manuscrit, il est vrai que le catalogue imprimé l’avait à tort attribué
u plusieurs dans les grandes bibliothèques de l’Allemagne, qui est la vraie terre classique des éditions incunables de Romulu
. Dans chacune d’elles les caractères des fables en vers sont, il est vrai , plus gros que ceux des fables en prose ; mais la
dans un angle de laquelle on lit : 1531. Mais il n’en est pas moins vrai que le volume a bien été imprimé en 1555, ainsi q
auxquelles je les ai rattachées tout à l’heure, il n’en est pas moins vrai que quelques-unes d’entre elles paraissent être e
s, celle dont s’était servi l’Anonyme de Névelet. Voilà quel était le vrai problème. La solution n’en était pas très aisée,
Lat. 8º 87, c’est au Romulus de Vienne qu’elles sont ajoutées. Il est vrai que, lorsque des manuscrits on passe aux vieilles
ent par ce motif que c’étaient les plus nombreux. Le doute quant à la vraie origine ne pouvant, à mes yeux, subsister qu’entr
nyme de Névelet à des conjectures erronées. Je crois avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont il sera bientôt questi
araît sur le savant à qui il a recouru : c’est maître Romulus. Il est vrai que, dans le manuscrit, il était appelé Romalius 
rche de son nom n’en fut pas moins poursuivie, Barth s’en occupa ; le vrai nom lui parut être celui de Bernard. Il appuyait
nergie de le refaire. En cela il a manqué de la qualité principale du vrai philologue, qui doit, sans lassitude, savoir marc
laissé subsister des doutes, celui-ci fut facilement accepté. Il est vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert perm
viens moi-même d’analyser, ne purent mettre fin à mes doutes. Il est vrai que la versification de l’épigramme sur l’Hermaph
ritable auteur. Je fus, je le crois du moins, mis par ce texte sur la vraie piste. Convaincu que cette fois j’étais en présen
es, conservé à la bibliothèque de Wolfenbüttel, il n’en est pas moins vrai que ce manuscrit, qui appartient au xiiie  siècle
te, elle ne serait pas très probante ; mais elle n’est pas absolument vraie  : en effet, dans les fables xxi, xxviii, et xxxvi
récite Plaist à oïr et si proufite. En développant le sentiment des vraies beautés littéraires, le mouvement de la Renaissan
duquel il est dû, en avaient fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un vrai livre de luxe. On me permettra donc de m’y arrête
ance ; ce n’est pas un simple manuscrit ; c’est un autographe. Il est vrai qu’en tête du manuscrit, à côté des divers numéro
dditions latines et françaises n’est pas le même que le traducteur du vrai texte de Walther. Maintenant quel est l’auteur de
on défunt époux, on y trouve, avant le distique final qui contient la vraie affabulation, le suivant que j’ai déjà signalé da
ges, dont le premier est le Novus Avianus de Vienne, le deuxième, les vraies fables d’Avianus, et le cinquième, celles de Walt
de Walther. On n’y trouve que les 60 premières, accompagnées, il est vrai , de ces gloses naïves qui ont été imprimées dans
e en livres précieux et notamment en incunables. Elle possède, il est vrai , peu de manuscrits ; mais ils sont d’une grande v
se trouve une sorte de préface ou commentaire en prose, qui donne le vrai nom de l’auteur. En voici le texte : « Incipit Es
uvent que partiellement, occupent les feuillets 159 a à 172 b. Il est vrai que ces feuillets portent les nos 189 à 202. Mais
s un manuscrit de l’abbaye de Saint-Victor, elles furent pour lui une vraie nouveauté, et c’est à ce titre qu’il publia dans
n des fables. Tout se tient dans la vie des peuples. Cette maxime, vraie pour leur histoire, est également applicable à le
erai, non comme une imitation, mais comme une copie un peu altérée du vrai texte ; et, partant de là, je donnerai seulement
leçons du Romulus primitif, laisse apercevoir nettement que c’est du vrai texte du Romulus de Vienne issu du Romulus primit
préoccupe, c’est d’adopter celle qui, aujourd’hui, me semble la plus vraie . § 2. — Manuscrit de Vienne 901.     Le man
s des manuscrits plus anciens et sans doute plus purs, elles sont les vraies et que, par suite, en bien des endroits, les deux
mprend que quarante-neuf fables ; car on ne peut considérer comme une vraie fable la dernière pièce intitulée : La Statue d’
pparence de raison selon moi, imputée au roi Henri Beau-Clerc. Il est vrai que, dans la plupart des manuscrits qui nous ont
c’est-à-dire toutes sauf une. Je dis toutes sauf une ; car, s’il est vrai que la cinquantième de ce Romulus, intitulée : L
un nombre total de 137 fables. Il est possible que ce nombre soit le vrai  ; mais je ne le crois pas. Le premier élément à f
vre II de Phèdre, mais ayant trait à la statue d’Ésope, n’est pas une vraie fable et ne doit pas entrer en compte. C’est donc
s d’alors n’usurpaient pas des titres comme ceux de nos jours. Il est vrai qu’il avait épousé Marguerite de Flandres ; mais
Marie ; mais ou ne le trouve dans aucun historien ; il y eut, il est vrai , des prétentions mal fondées et qui furent sans s
y verra une note qui lui assigne la date de 1204. Cette date, il est vrai , ne peut être qu’hypothétique ; mais, en la suppo
en découle, c’est que la solution que j’ai déjà adoptée est la seule vraie  : quand on considère que le texte latin, tout en
ction du texte du Romulus anglo-latin. Mais ce serait tirer d’un fait vrai une déduction fausse. Rien n’empêche en effet que
rdre détruit dans son modèle. 3º Dans quelques endroits, rares il est vrai , le scribe du manuscrit 1107, qui sans doute igno
ion sur une version anglaise, il s’inscrit en faux, timidement il est vrai , contre cette affirmation formelle547, et cherche
lui fournir, a été traduite dans le Dérivé en vers rythmiques. Il est vrai que, dans la fable xxiii du Livre II de ce Dérivé
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