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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 161 » p. 126
Mf 77 Mj 83. Un choucas affamé s’était perché sur un figuier ; mais voyant que les figues étaient encore vertes, il attendai
ent encore vertes, il attendait qu’elles fussent mûres. Un renard, le voyant s’éterniser là, lui en demanda la raison. Quand i
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277
aux ?
 Venez faire aux citez éclater leurs merveilles.
 Aussi-bien en voyant les bois,
 Sans cesse il vous souvient que Terée
cruel outrage
 Qui fait, reprit sa sœur, que je ne vous suis pas.
 En voyant les hommes, helas !
 Il m’en souvient bien davant
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — IX. Le Cerf se voyant dans l’eau » p. 74
IX. Le Cerf se voyant dans l’eau Dans le crystal d’une fontaine Un C
ns les eaux. Quelle proportion de mes pieds à ma teste ! Disoit-il en voyant leur ombre avec douleur : Des taillis les plus ha
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 271 » p. 191
é société, sortirent pour chasser. Un lion se trouva sur leur chemin. Voyant le danger suspendu sur eux, le renard s’approcha
er, le renard amena l’âne dans un piège où il le fit tomber. Le lion, voyant que l’âne ne pouvait s’échapper, saisit d’abord l
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 273 » p. 263
. Pa 192 Mb 167. Un âne et un mulet cheminaient ensemble. Or l’âne, voyant que leurs charges à tous deux étaient égales, s’i
la mit sur le mulet. Quand ils eurent fait encore un bout de chemin, voyant l’âne encore plus épuisé, il lui retira une autre
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
le nombre. Au Chien dont parle Esope il faut les renvoyer. Ce Chien voyant sa proye en l’eau representée, La quitta pour l’i
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIV. Le Lion devenu vieux. » p. 481
estropié.
 Il attend son destin sans faire aucunes plaintes ; 
Quand voyant l’Asne mesme à son antre accourir,
 Ah c’est trop
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. Le Lion voyant la Chevre penduë au Buisson sur un haut Rocher, l
nt quel est le Conseiller, apres avoir trouvé quel est le conseil. Le voyant donc armé d’ongles crochus, d’un poil furieusemen
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 227 » p. 346
δηλοῖ τὸ ἐν ταῖς συμφοραῖς οὐδὲ γαστρίζεσθαι. Cod. Mb 105. Un loup voyant un très gros chien attaché par un collier lui dem
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — X. Le Chameau, et les Bastons flotans. » p. 195177
e nous voicy tombez sur ce sujet : On avoit mis des gens au guet, Qui voyant sur les eaux de loin certain objet, Ne pûrent s’e
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 158 » p. 86
remarqué qu’elle se plaisait en ce lieu, la prit à la glu. Alors, se voyant près d’être tuée, elle dit : « Malheureuse que je
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 182 » p. 253
πείροντες ἀτόποις. Cod. Ma 145. Un chien habitué à avaler des œufs, voyant un coquillage, ouvrit la gueule et, refermant vio
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
e commune voix ils le condamnerent à mourir. Durant ces choses, Esope voyant qu’il n’y avoit point de subtilité qui fust capab
pour son allegement, c’estoit de se plaindre dans la prison : Ce que voyant un de ses amis, qu’on appelloit Damas, il luy dem
ux cris et aux plainctes. A ce bruict la femme accourut à luy ; Et le voyant ainsi lamenter : “Quoy”, luy dit-elle, “tu pleure
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 220 » p. 260
des lieux déserts, à l’heure où le soleil penchait sur son déclin. En voyant son ombre allongée, il dit : « Moi, craindre le l
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 290 » p. 197
son. Les rats du logis, toujours dévorés par l’un et par l’autre, les voyant combattre, sortirent tranquillement de leurs trou
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
it bien-tost. Alors les Loups et les Chiens l’estans allé visiter, et voyant son fils à travers la fente de la porte ; « Comme
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — III. Le petit Poisson et le Pescheur » p. 18
r un Pescheur au bord d’une riviere. Tout fait nombre, dit l’homme en voyant son butin ; Voilà commencement de chere et de fes
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. Esope se voyant sans enfans, s’advisa d’adopter un gentil homme,
le pauvre Esope fut amené tout crasseux, et plain d’ordure. Le Roy le voyant en si piteux estat, en fut si touché de compassio
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
urs l’amitié de celuy qui entreprend de nous exhorter, à cause que se voyant si peu digne de creance envers nous, il se rebutt
ope a fort judicieusement remarqué en la personne de l’Arondelle, qui voyant que les autres Oyseaux mesprisoient les profitabl
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 198 » p. 144
r lui-même, ouvrit la porte. Le lion parti, la femme du laboureur, le voyant gémir, lui dit : « Tu n’as que ce que tu mérites 
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
me flate, Cela n’est pas bien mal-aisé. Dans cette admirable pensée, Voyant son Maistre en joye, il s’en vient lourdement, Le
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
à la table, avec des souliers tous sales et tous crottez. Xanthus le voyant d’abord ; « Qui est celuy-cy ? », dit-il : « C’es
iller tout nud, il le traita rudement à grands coups de foüet. Ce que voyant l’homme sans soucy ; « Pour moy », disoit-il, « j
sler avecque la tienne ». Xanthus oyant ainsi parler ce bon homme, et voyant qu’il n’y avoit point de malice en son fait, s’en
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 39 » p. 14
nge lui montrant les tombeaux répondit : « Comment ne pas pleurer, en voyant les cippes funéraires des affranchis et des escla
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 123 » pp. 221-221
Le serpent monta jusqu’à lui, en rampant, une rose à la bouche. En le voyant Zeus dit : « De tous les autres j’accepte des pré
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
apporta tout aussitost, se tenant debout devant la compagnie. Ce que voyant Xanthus, « quoy ? » luy dit-il, « ne donnes-tu po
cuisoient, Xanthus qui ne cherchoit qu’un pretexte pour le battre, le voyant empesché à quelque chose du mesnage, luy déroba s
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 120 » p. 107
il lâcha un escarbot sous ses yeux. Alors, incapable de se tenir, en voyant l’escarbot voltiger autour de sa litière, le rena
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
FABLE XVII. Du Milan malade. Le Milan se voyant malade en son lict, s’avisa de dire à sa Mere, « 
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
e Colombe branchée fortuitement sur un arbre, qui panchoit sur l’eau, voyant la pauvre Fourmy en danger de mort, rompit incont
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 165 » p. 131
le fil s’étant enroulé aux branches, l’oiseau ne put s’envoler et, se voyant sur le point de mourir, il dit : « Je suis bien m
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152
4 Ca 100. Un brigand, ayant assassiné un homme sur une route, et se voyant poursuivi par ceux qui se trouvaient là, abandonn
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 98 » p. 247
, embarrassé. Un homme qui avait l’habitude de faire passer l’eau, le voyant perplexe, s’approcha, le prit sur ses épaules, et
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
eur dit-il, « hommes Delphiens. Il y avoit une fois un Liévre, qui se voyant tenu de prés par une Aigle, et ne sçachant où se
r si peu, qu’ils ne laissoient pas pour cela de le mener au supplice. Voyant donc qu’il ne les pouvoit fléchir en façon quelco
manqua pas ; Et ce fut alors que ceste pauvre fille toute dolente se voyant prise par force ; “Helas !” dit-elle à son pere,
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 91 » pp. 56-56
isit en justice, et ses accusateurs la firent condamner à mort. En la voyant emmener du tribunal, un quidam lui dit : « Hé ! l
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 147 » pp. 117-117
Pe 14 Pf 59 Pg 77 Ph 61 Ma 82 Me 81 Mf 71 Mj 76 Cd 65. Le chameau, voyant le taureau se prévaloir de ses cornes, l’envia et
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 214 » pp. 146-146
ns tous les sens, cherchant celui qui l’avait affronté. Un renard, le voyant faire, le gourmanda d’avoir peur, lui lion, d’une
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
ir sur table, Esope ayant vuidé les pieds dans le plat, et Xanthus en voyant cinq. « Qu’est cecy », dit-il, « en voy-la plus q
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 27 » pp. 26-26
n fuyant dans les mailles du filet. Un des habitants du voisinage, le voyant faire, lui reprocha de troubler la rivière et de
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 184 » pp. 254-254
her était occupé, et prit la fuite. Le boucher s’étant retourné et le voyant fuir, s’écria : « Toi, sache bien que, partout où
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 236 » pp. 72-72
en son absence, avait dérobé miel et rayons. À son retour, l’éleveur, voyant les ruches vides, s’arrêta à les examiner. Mais l
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 259 » pp. 177-177
s, cheminant sur le bord de la mer, arrivèrent sur une hauteur. De là voyant flotter au loin des broussailles, ils les prirent
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
tte chasse, il en tua plusieurs avecque le temps. Les Rats cependant, voyant qu’il ne se passoit guere jour qu’il n’y eust que
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
miere chose que fist l’Estranger, fût de soufler sa boüillie : Ce que voyant le Satyre, il en voulut derechef sçavoir le sujet
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 164 » pp. 129-129
un cri. Alors, ne connaissant pas sa voix, ils le chassèrent. Et lui, voyant la bonne chère des pigeons lui échapper, revint c
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 257 » pp. 67-67
ejoints par ceux qui avaient perdu la hache, et celui qui l’avait, se voyant poursuivi, dit à son compagnon de route : « Nous
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
nstant, il prit aussi une Cigale, qu’il voulut tuer de mesme ; ce que voyant la Cigale, “ô homme”, luy dit-elle, “ne me donne
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
rien, dit l’Aragne, aux cases qui me plaise.
 L’autre tout au rebours voyant les Palais pleins
 De ces gens nommez Medecins,

47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
Cc 1 Cd 3 Cf 3 Ch 3. Une aigle poursuivait un lièvre. Ce lièvre, se voyant dénué de tout secours, recourut au seul être que
un escarbot ; il le supplia de le sauver. L’escarbot le rassura, et, voyant approcher l’aigle, il la conjura de ne pas lui ra
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
rté. L’aigle ne se montra pas ingrat envers son bienfaiteur ; mais le voyant assis au pied d’un mur qui menaçait ruine, il vol
49 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 291 » pp. 196-196
e moment où le serpent dormait, le saisit à la gorge et le tua. En le voyant étendu mort, il dit : « Hé ! camarade, ce n’est p
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
istresse avec Xanthus. Chapitre XIII. Quelques jours apres, Xanthus voyant qu’il ne pouvoit fléchir sa femme, ny faire sa pa
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 31 » pp. 19-19
Mj 8 Ml 7 Mm 7. Un renard, franchissant une clôture, glissa, et se voyant sur le point de tomber, saisit une ronce pour s’a
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
chercher un autre. Elles rencontrèrent alors un puits profond. En le voyant , l’une dit à l’autre : « Amie, descendons ensembl
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
pirant voir ce qui était arrivé. Un des gens qui se trouvaient là, le voyant courir, lui cria : « Hé ! l’ami, toi qui te piqua
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 252 » pp. 172-172
ne chauve-souris, étant tombée à terre, fut prise par une belette. Se voyant sur le point d’être tuée, elle demanda la vie. La
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 317 » pp. 208-208
mangèrent aussi par mégarde le manteau. Le berger, étant descendu, et voyant le méfait, s’écria : « Méchantes bêtes, vous donn
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
essamment ». A ces paroles furent semblables celles de cét autre, qui voyant qu’une personne suspecte de desservir la Patrie,
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
tost arrivé en sa maison, que deux enfants qui estoient à la mammelle voyant Esope, en eurent peur aussi-tost, et se mirent à
voyant Esope, en eurent peur aussi-tost, et se mirent à crier. Ce que voyant Esope ; « Et bien », dit-il à son nouveau Maistre
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
ux de la maison, qui l’amadoüoient et le caressoient de mesme. Ce que voyant l’Asne, il en souspira profondement, touché du so
rresses ». Cette resolution prise, il arriva quelque temps apres, que voyant son Maistre de retour en la maison, il voulut voi
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. Vne Nourrice voyant pleurer son Enfant, le menaça de le faire manger
r au bois à jeun, pource qu’à la fin l’Enfant s’endormit. La Louve le voyant donc de retour, luy demanda où estoit la proye. «
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 32 » pp. 15-15
οὺς αἰτιῶνται. Codd. Pa 23 Pb 15 Pc 2 Pg 11 Ca 5. Un renard affamé, voyant des grappes de raisin pendre à une treille, voulu
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 202 » pp. 141-141
que c’était quelque gros animal. Il attendit quelque temps, puis, la voyant sortir de l’étang, il s’approcha et l’écrasa, en
62 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 248 » pp. 66-66
47 Mb 37. Deux jeunes garçons achetaient de la viande au même étal. Voyant le boucher occupé d’un autre côté, l’un d’eux dér
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
sommes tous-jours interessez, et que par cette raison notre esprit ne voyant pas les choses toutes pures, mais par les yeux du
64 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
esperance : Pas un seul ne fut épargné. L’Aigle estant de retour, et voyant ce ménage, Remplit le Ciel de cris, et pour combl
65 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 8 » pp. 4-4
et, comme il manquait de nourriture, il fondit sur lui et le lia. Se voyant près de mourir, le rossignol le pria de le laisse
66 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 66 » pp. 44-44
yèrent des députés à Zeus, pour le prier de leur donner un roi. Zeus, voyant leur simplicité, lança un morceau de bois dans le
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
et s’en nourrit. L’hiver passé, il revint dans l’île. Son camarade le voyant gras et en bon corps, lui rappela sa promesse et
68 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
, s’était endormi de fatigue ; mais il ne tarda pas à s’éveiller, et, voyant la mer, il lui reprocha de séduire les hommes par
69 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
ême au milieu des ennemis, où le cheval criblé de coups s’abattit. En voyant cela, l’âne changea d’avis et plaignit le cheval.
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 312 » pp. 207-207
Mn 31. Un berger qui paissait un troupeau sur le bord de la mer, en voyant le calme des flots, se mit en tête de naviguer po
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
museau, et les dents, puis il s’échappa bien viste. Le pauvre Loup se voyant ainsi trompé, et s’en prenant à soy-mesme ; « Cel
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
arma en mesme temps d’une massuë, pour en assommer son Ennemy, qui le voyant venir de loin. « Mal heureux que je suis ! », s’e
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
De la Mouche. Vne Mouche tomba dans une marmite pleine de chair, et voyant que le broüet l’estouffoit ; « Voila que c’est »,
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
llant des choses illegitimes. De pareille nature sont encore ceux qui voyant leurs Amis malades à l’extremité, n’osent toutesf
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
tout à mesme temps, et se presenta devant la femme de Xanthus, qui le voyant si difforme ; « Malheureux », dit-elle à son mary
se tournant vers Esope, se mit à le reprendre, de ce qu’en chemin le voyant pisser, il luy avoit dit de si bons mots pour rir
76 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 80 » pp. 52-52
t pas de relâche, il en vint à ses bœufs de labour. Alors les chiens, voyant ce qui se passait, se dirent entre eux : « Il fau
77 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 92 » pp. 300-300
f 48 Ch 49 Ma 163 Md 47 Mh 42 Mi 82 Mk 45 Ml 53 Mm 59. Une génisse, voyant un bœuf au travail, le plaignait de sa peine. Mai
78 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 222 » pp. 155-155
ς οὐδὲ δικαία ἀπολογία ἰσχύει. Codd. Pa 150 Pb 152 Ma 103. Un loup, voyant un agneau qui buvait à une rivière, voulut allégu
79 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 261 » pp. 178-178
s. Il la ramassa, s’imaginant que c’était de l’argent, la secoua, et, voyant ce qu’elle renfermait, le mangea ; puis, prenant
80 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 13 » pp. 79-79
t, les attrapant l’un après l’autre, il les mangeait. Or les rats, se voyant toujours pris, s’enfonçaient dans leurs trous. Ne
81 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 210 » pp. 149-149
eur de l’âne », répliqua t-il. Cette fable montre qu’on s’instruit en voyant le malheur de son prochain. Chambry 210.2 A
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
ois pas ma fortune pour celle de toutes les autres bestes ». Le Chien voyant l’extrême desir qu’avoit le Loup de changer de co
le plusieurs discours fort plaisants. Mais comme il fût jour, le Loup voyant le col du Chien tout pelé, s’advisa de luy en dem
83 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 239 » pp. 165-165
Ca 115. Les rats et les belettes étaient en guerre. Or les rats, se voyant toujours battus, se réunirent en assemblée, et, s
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 274 » pp. 179-179
à un corroyeur. Il tomba ainsi sur un maître pire que les autres. En voyant quel métier faisait ce maître, il dit en soupiran
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
l’Aigle ayant laissé cheoir sa proye, la coquille se rompit : ce que voyant la Corneille, elle en desroba le poisson, et ains
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ter au Ciel. L’Aigle l’y esleva donc, et luy demanda recompense. Mais voyant qu’elle n’avoit point dequoy payer, elle luy enfo
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
en esmouvoit en façon quelconque, et n’y vouloit pas entendre. Ce que voyant le Preteur, « Asseurément », luy dit-il, « si tu
nt, il arriva que les loups firent la guerre aux brebis. Mais depuis, voyant qu’elles avoient de leur costé quantité de chiens
88 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 282 » pp. 187-187
186 Pb 183 Pg 118 Mb 160 Ca 140. Un âne, qui paissait dans un pré, voyant un loup s’avancer vers lui, fit semblant de boite
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
mmes de son temps, qui s’ayda le plus adroittement de cette ruze. Car voyant les Villes de la Grece en division, pour l’Empire
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. Le Chevreau voyant d’une senestre passer le Loup, se mocquoit de luy
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
t venir repaistre ; mais le Chien se leva pour l’en empescher. Ce que voyant le Bœuf ; « malheur t’advienne », luy dit-il, « p
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
le Roy Silurus recommanda tres-expressément à ses Enfans, lors que se voyant à l’article de la mort, il les asseura que le vra
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. Le Liévre voyant un jour la Tortuë, qui se traisnoit à pas lents,
94 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 103 » pp. 74-74
il aperçut son ombre dans l’eau. Il se sentit fier de ses cornes, en voyant leur grandeur et leur diversité ; mais il était m
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 201 » pp. 147-147
e vertige, ils s’abattirent à demi morts. Un renard, qui passait, les voyant énervés, et le faon gisant au milieu, l’enleva et
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
s neantmoins ne servit qu’à les rendre importunes ; De maniere que se voyant sollicité de plus en plus, il fût contrainct de l
97 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 192 » pp. 138-138
ore que nous. » Cette fable montre que les malheureux se consolent en voyant des gens plus malheureux qu’eux. Chambry 192.
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. Le Chien voyant qu’un Larron luy donnoit du pain, pour le faire t
99 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
arde au geste, mais s’en rapportèrent aux paroles ; et le renard, les voyant s’éloigner, sortit et s’en alla sans mot dire. Co
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
et se jetta dedans pour la chercher. Mais comme il eust bien foüillé, voyant qu’il avoit perdu son temps, il remonta en haut,
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