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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. »
Esope instruit Ennus, et luy donne des preceptes pour vivre en homme de bien. Chapitre XXVII. Ennus estant
il vaut beaucoup mieux mourir, et laisser du bien à ses ennemis, que vivre , et avoir besoin de ses amis. Saluë volontiers ce
adviendront. Rejette un mauvais conseil, et n’ensuy point la façon de vivre des méchants ». Voila quelles furent les instruct
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 97. Le loup et la colombe » p. 689
mut le peot hum sovent veer qu’il n’en sunt gueres amendé ; tuz jurs vivent en poverté.
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
Elle gemit en vain, sa plainte au vent se perd. Il falut pour cet an vivre en mere affligée. L’an suivant elle mit son nid e
çut l’inadvertance, Elle menaça Jupiter D’abandonner sa Cour, d’aller vivre au desert : Avec mainte autre extravagance. Le pa
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 219 » p. 153
; mais un vieux bélier s’écria : « Comment pourrais-je vous croire et vivre avec vous, alors que, même sous la garde des chie
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 9 » pp. 277-277
irondelle engageait le rossignol à loger sous le toit des hommes et à vivre avec eux, comme elle-même. Le rossignol répondit 
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 196 » p. 334
l’État, et que tous les jugements sont équitables, les humbles aussi vivent en tranquillité.
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 324 » p. 369
ujours aussi jeune. » Il vaut mieux durer en se contentant de peu que vivre dans le luxe quelque temps, pour subir ensuite un
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 6. Le mariage du soleil » p. 314
ement e cumpainë a sun talent, nule riens nel purra suffrir, desuz li vivre ne garir. » La Destinee respundi : « Veir avez di
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
rti de son intelligence, quand vint l’hiver, se bâtit une maison et y vécut . Or un jour le froid étant devenu violent et la p
de froid vint aussi, et, en cédant une partie du temps qu’il avait à vivre , il obtint un abri. Voici ce qui en est résulté :
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
ser. Comment, disoit-il en son ame, Ce Chien, parce qu’il est mignon, Vivra de pair à compagnon Avec Monsieur, avec Madame, E
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
la neige étendu, Transi, gelé, perclus, immobile rendu, N’ayant pas à vivre un quart d’heure. Le Villageois le prend, l’empor
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 63 » pp. 288-288
morts, et non les vivants ! » Cette fable démasque les convoiteux qui vivent dans l’hypocrisie et la vaine gloire. Chambry
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 358 » p. 272
iquant à tort et à travers ? » Elle répondit : « C’est notre façon de vivre  ; ne ma tue pas ; car je ne puis pas faire grand
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
ir, qu’il arrive difficilement que celuy qui n’a fait autre chose que vivre mal, ait l’avantage de bien mourir, il ne faut pa
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 71 » pp. 372-372
vant isolés, il les dévora l’un après l’autre. Si tu désires vraiment vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis, mais aie con
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 126 » pp. 106-106
ter partout sa maison sur son dos. C’est ainsi que beaucoup préfèrent vivre simplement chez eux que de manger richement à la
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 165 » p. 131
lin, le donna à son enfant. Mais le choucas, ne pouvant se résigner à vivre avec les hommes, profita d’un instant de liberté
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
regardez pas. Qui fait l’Oyseau ? c’est le plumage. Je suis Souris ; vivent les Rats. Jupiter confonde les Chats. Par cette a
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
es siecles passez, nous sçavons considerer leurs mœurs, leur façon de vivre , et leurs habitudes. Le grand Caton estoit yvrong
à son occasion. Telle espece d’orgueil est fort ordinaire à ceux qui vivent familierement auprés de la personne des Princes,
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
nous devons encore faire de la distinction quant à nos pratiques, et vivre tout autrement avecque les grands qu’avec les pet
personnes. Comme par exemple, il n’y a point de doute que nous devons vivre tout autrement avec les Vieux, qu’avecque les Jeu
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
uy de ne hanter jamais qu’avec nos semblables, principalement si nous vivons en une estime loüable, et qui soit nette de tout
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 26. Le loup et le chien » p. 346
e choiserai, meuz voil estre lus a delivre que en ch[a]eine richement vivre , quant uncore puis estre a chois. Va a la vile, j
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
u Chat ; c’est sur nous qu’il fonde sa cuisine. Garde-toy tant que tu vivras De juger des gens sur la mine.
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
beaucoup mieux estre pauvre avec asseurance, qu’en avoir de reste, et vivre dans ce chagrin ». Discours sur la dixiesme Fab
de s’incommoder pour les querelles des particuliers ; Ces miseres où vivent les gens de la Cour, ne sont-elles pas capables d
part des Gentils-hommes sont enchantez jusques là dans ceste façon de vivre , que la seule pensée de la quitter leur est insup
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
 ; qu’une demeure arrestée luy plaisoit autant qu’à elle une façon de vivre inconstante, et mal asseurée ; que les grains de
Mouche plaide la cause des gents de Cour, et de ces Ambitieux, qui ne vivent que pour l’orgueil, ou pour le luxe, et songent t
ier d’escornifler, que sa paresse la reduit à la mercy d’autruy, et à vivre , comme l’on dit, du jour à la journée, sans donne
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 56 » pp. 29-29
er avec lui, lui remontrant qu’ils en seraient plus intimes et qu’ils vivraient à moins de frais, n’ayant qu’une seule demeure. M
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 333 » pp. 294-294
poules. » Il vaut mieux être illustre sous un vêtement pauvre que de vivre sans gloire, en se panadant dans la richesse.
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 176 » pp. 92-92
ut blâmer, mais notre maître qui m’a appris, non à travailler, mais à vivre du travail d’autrui. » C’est ainsi que les enfant
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
es frères ? Car nous ne différons en rien, sauf de pensée. Nous, nous vivons dans la liberté ; vous, soumis et asservis aux ho
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 301 » pp. 265-265
perdrix, allait la tuer. Elle le supplia en ces termes : « Laisse-moi vivre  ; à ma place je te ferai prendre beaucoup de perd
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
travailler pour luy les membres se lassant,
 Chacun d’eux resolut de vivre en Gentil-homme,
 Sans rien faire, alleguant l’ex
32 (1180) Fables « Marie de France, n° 95. La méchante femme et son mari » p. 682
a vie. Issi avient : plusurs estrivent vers lur seignurs, tant cum il vivent ne saver ne veulent ne sentir quels maus lur [en
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
ux ou trois mesnages s’assemblent en mesme lieu, et en mesme façon de vivre , il faut que ce soit, pource qu’ils se fient les
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
ains : Car pour moy, dans ce peril extrême
 Je sçauray m’éloigner, ou vivre en quelque coin.
 Voyez-vous cette main qui par l
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
mme. Celui-ci lui rogna les ailes et le lâcha dans sa basse-cour pour vivre avec la volaille. Alors l’oiseau baissait la tête
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
s enfans, dit-il, je vais où sont nos peres ; Adieu, promettez-moy de vivre comme freres ; Que j’obtienne de vous cette grace
37 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 346 » pp. 415-415
choires, aussitôt tu t’éveilles. » Les gens endormis et paresseux qui vivent du travail d’autrui se reconnaîtront en cette fab
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 66 » pp. 44-44
Ma 30 Me 31 Mf 29. Les grenouilles, fâchées de l’anarchie où elles vivaient , envoyèrent des députés à Zeus, pour le prier de
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
répondit-il, mais à la nature du lieu : il est possible d’y trouver à vivre , mais impossible d’en emporter quoi que ce soit. 
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
er à une vie molle et faineante, de ne refuser rien à ses sens, et de vivre pour la seule satisfaction de son corps, sans tro
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
t qu’elle estoit de ce genre d’animaux que la nature avoit destinez à vivre comme elle ; Surquoy le priant tres-instamment de
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
s trament contre nous, viennent de nostre seule prosperité : Ceux qui vivent dans une mediocre fortune n’attirent point contr’
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
e, mais au prix du danger et de mille craintes. Moi, pauvret, je vais vivre en grignotant de l’orge et du blé, mais sans crai
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
t d’estre tousjours officieux, tousjours bien-faisant, voire mesme de vivre en la personne que l’on cherit ? Que cela suffise
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 86 » pp. 53-53
dd. Pa 53 Pb 53 Pc 24 Pe 27 Pg 31 Mb 25. Les enfants d’un laboureur vivaient en désaccord. Il avait beau les exhorter : ses pa
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
a mille fois devant les yeux l’extrême impertinence de ceste façon de vivre , qui ne nous sçauroit apporter, non pas mesme tem
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
der en aucune chose. Mais qu’arrive-t’il de ceste imprudente façon de vivre  ? Rien autre, certes, que ce que nous represente
48 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 192 » pp. 138-138
n d’autres animaux ? Il valait donc mieux périr une bonne fois que de vivre dans la terreur. Cette résolution prise, ils s’él
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
nuire, à cause qu’on tesmoigne par là de le craindre, en le laissant vivre  ; à plus forte raison devons-nous imputer à poltr
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
é que nous luy tesmoignerions à pardonner une offense, l’obligeroit à vivre plus fidelement avecque nous, et à n’y retomber j
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
rehension qu’il se donne de leurs brocards. Au reste leurs amis mesme vivent avec eux, comme s’ils devoient un jour estre leur
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
plus un homme en a fait mourir d’autres, et plus on l’estime digne de vivre , comme si les vrais effects du courage ne consist
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
portements du Sage, eu égard à soy-mesme, et pareillement la façon de vivre , en tant qu’elle se rapporte à d’autres personnes
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
quoy, certes, les animaux ont de l’avantage par dessus nous ; Car ils vivent dés le commencement du monde dans les mesmes regl
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
a fortune, qui ne laissent pas d’avoir l’ame extrémement bonne, et de vivre dans une parfaitte observation des Loix. Mais qui
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
leur, à sçavoir de celle qui se fonde sur l’opinion : car il faudroit vivre en un siecle plus modeste que celuy-cy, ou dans u
rt difficile de se bien porter en les faisant, et mesme impossible de vivre long-temps. Mais pour ne faire ressembler mon dis
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ecessaire ? Quand ils ont assemblé des thresors par leurs voyages, en vivent -ils en paix ? dorment-ils plus à leur aise ? et o
ses despenses ? D’où vient que les Avares ne croyent pas avoir dequoy vivre , que lors qu’ils ont amassé des richesses excessi
ne luy ferons point tort de le laisser moins riche, puis qu’il pourra vivre en ceste condition, et demeurer homme de bien : c
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
L’esperance n’est-elle point de soy capable de consoler, et de faire vivre  ? La joye n’a-t’elle pas de merveilleux charmes ?
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
ue chose qu’on se figure ; La Morale, qui tasche d’imiter la façon de vivre des Creatures raisonnables : La Meslée, qui compr
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
de moindre qualité, mais qui ont assez d’ambition, pour souhaitter de vivre dans une Histoire, il n’est pas incompatible qu’i
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
par des Ambassadeurs envoyez exprés, que si elles vouloient desormais vivre en paix, et oster tout soupçon de guerre, qu’elle
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
ocres et les communs. Supposons neantmoins qu’elle vive tant que nous vivons  ; C’est asseurément une tres-petite chose qui dur
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
dangereuse action que puissent faire les offencez. Quant au moyen de vivre satisfait en son ame, et ne s’abandonner point à
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ance des Animaux en la generation de leurs petits, en leur maniere de vivre , en la violente ardeur qu’ils ont pour la propaga
65 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, lui qui ne s’occupait que de littérature, s’il n’avait pas lui-même vécu dans le palais impérial d’Auguste ? Remarquons en
ses. 6º Causes qui ont fait de Phèdre un fabuliste. — Tant qu’Auguste vécut , Phèdre, malgré son goût pour les lettres, s’abst
auraient été dirigées42. Burmann, tout en reconnaissant que Phèdre a vécu sous le règne de Tibère, croit pouvoir induire du
ent aux termes du prologue, l’incertitude n’est pas possible : Tibère vivait encore. Lorsqu’en effet Phèdre se plaint d’avoir
impérissable, et voilà pourquoi Phèdre, suivant sa propre expression, vivra autant que la littérature latine : Latinis dum m
diplomaticiens, attribuer à Phèdre l’Aululaire. Il était Grec ; il a vécu sous Tibère ; et, comme il est mort âgé, il a pu
fabulistes qui ont écrit depuis le siècle d’Auguste jusqu’au temps où vivait Perotti, aucun autre que Phèdre ne peut être l’au
arum novarum. Elle avait pour objet de déterminer l’époque à laquelle vécut Pétrone, afin d’en tirer un argument propre à éta
ssolvuntur , à réfuter les opinions suivant lesquelles Pétrone aurait vécu à une autre époque. Voici maintenant quel intérêt
qu’il faut leur assigner. Il explique alors que Phèdre, quoiqu’il eût vécu sous Tibère, n’écrivit que pendant les règnes de
u qu’il s’en rapproche, et même, autant qu’ils le conjecturent, qu’il vécut sous Tibère, et, qui plus est, après la condamnat
serait injuste ; car le modèle a dû précéder la copie et Perotti n’a vécu qu’au xve  siècle. Il est vrai que Christ suppose
uteur qui se respecte ; cette imitation du style de Térence qui avait vécu deux siècles avant Phèdre, et dont la langue ne s
eu important, pour qu’on ait pu longtemps s’en souvenir ; Phèdre, qui vivait sous Auguste, peut seul l’avoir connu246. 3º La f
pas à son temple que Néron fit impitoyablement détruire. Juvénal, qui vivait sous Domitien et sous Trajan, fait l’allusion sui
Histoire littéraire de la France284 admettent au contraire qu’il à pu vivre jusqu’en 1031. Aucune de ces dates n’est exacte :
moins épaisses ? Pas davantage. On avait bien pu affirmer qu’il avait vécu avant le xiiie  siècle. En effet Vincent de Beauv
il l’avait copié en 1662, il s’ensuivait que Romulus ne pouvait avoir vécu après le xiie  siècle. Mais c’était tout. Suivant
enté par eux dans leur Biographie universelle. Dire que Romulus avait vécu au xiie  siècle, c’était commettre une erreur man
e  siècle, ne pouvait tomber dans l’erreur qui avait consisté à faire vivre Romulus au xiie . Convaincu qu’il a existé un fab
omposa l’Aesopus latin, sa suprême puérilité me semble indiquer qu’il vécut au temps des Mérovingiens. À l’égard de Romulus,
e bien des lignes pour comprendre que le glossateur, qui probablement vivait dans le nord de l’Italie, s’était fait l’interprè
crut pouvoir les attribuer à Nicolas Jenson, homme lettré, qui avait vécu au xiiie  siècle et qui avait écrit la vie de Pom
e de la Cathédrale, montre que, dans le siècle même dans lequel avait vécu le poétique archevêque de Tours, l’épigramme de l
e Palerme et primat du royaume, et son élève le considéra, tant qu’il vécut , non seulement comme un précepteur, mais encore c
ournit des renseignements utiles sur le copiste et sur le temps où il vivait  : comment l’acteur a compilé ces livres avecques
e le conquist oultremer512. À l’égard de l’époque, à laquelle elle a vécu , les avis sont partagés. Legrand d’Aussy suppose
abaille. Remarquons enfin que Marie, lorsqu’elle écrivait ses fables, vivait depuis longtemps à la cour des rois d’Angleterre
éterminer Marie à se rendre dans ce pays et dans quelles conditions y vécut -elle ? Voici sur ces points l’hypothèse formulée
ependant il s’est trouvé des auteurs qui l’on fait naître ou du moins vivre en Normandie, en Allemagne, en Angleterre. Suivan
aleus) publié à Bâle de 1557 à 1559, avec Lilio Gregorio Gyraldi, qui vécut de la fin du xve  siècle au milieu du xvie et qu
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