IX. Le Rat de
Ville
, et le Rat des Champs. Autrefois le Rat de vil
IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. Autrefois le Rat de
ville
Invita le Rat des champs, D’une façon fort civil
rain.
A la porte de la salle
Ils entendirent du bruit.
Le Rat de
ville
détale,
Son camarade le suit.
Le bruit cesse,
des Oyseaux ; « Que fais-tu là ? », luy demanda-t’il. « Je bastis une
Ville
», luy respondit l’Oyseleur ; et en mesme temps s
ains ; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjours de semblables
villes
, tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ». Discour
cque franchise, plustost comme freres, que comme Citoyens d’une mesme
Ville
? D’ailleurs, selon la maxime des Philosophes, un
l’Oyseleur, qu’il n’auroit guere de Citoyens, s’il faisoit bastir une
Ville
pleine de pieges.
FABLE X. Du Rat de
Ville
et de celuy de Village. Un jour que le Rat de V
X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. Un jour que le Rat de
Ville
s’estoit allé promener aux champs, le Rat de Vill
idement un si grand hoste. Mais quelque bonne chere que fit le Rat de
Ville
, il se refrognoit neantmoins, et se plaignoit de
noit de la pauvreté des villages, loüant au contraire l’abondance des
villes
. Or pour faire espreuver en effet à son compagnon
l s’estoit vanté de parole, il le ramena quant et soy tout droit à la
Ville
, où il luy fit un magnifique banquet de tout ce q
es, le Valet qui les avoit ainsi effrayez, s’estant retiré, le Rat de
Ville
se remit à manger, et appella son compagnon, qui
ter impatiemment le temps qu’il demeura dans ceste cave, où le Rat de
ville
luy avoit apresté à manger ? Cela fait bien voir
de loin, lui demanda ce qu’il faisait. Il répondit qu’il fondait une
ville
, puis il s’éloigna et se cacha. L’alouette, se fi
L’oiseleur étant accouru, elle lui dit : « Hé ! l’homme, si c’est une
ville
comme celle-ci que tu fondes, tu n’y trouveras pa
abitants. » Cette fable montre que si l’on déserte les maisons et les
villes
, c’est surtout quand les maîtres y sont incommode
ris d’inquiétude, il partit pour la campagne. Arrivé aux portes de la
ville
, il aperçut un boiteux qui sortait et lui demanda
de question : « Après combien de temps reviens-tu d’habitude dans les
villes
? – Au bout de quarante ans, parfois même de tren
le reste de ses jours. Or apres qu’il eust bien voyagé par toutes les
villes
de Grece, et donné de merveilleuses preuves de so
ille. De ceste mesme façon, lors que j’estois bien esloigné de vostre
ville
, je vous admirois comme des personnes qui me semb
t d’abord qu’il ne se portast à mesdire d’eux, passant par les autres
Villes
: Ce qui fut cause qu’ils conspirerent meschammen
re un flacon d’or dans le fameux Temple d’Apollon, qui estoit en leur
Ville
, et de le mettre secrettement dans la male ou la
. Le jour suivant, apres que le Maistre d’Esope fut de retour en la
Ville
, et qu’il l’eust laissé aux champs pour faire la
Jupiter l’Hospitalier, de leur monstrer par où il falloit aller à la
Ville
. Alors Esope les ayant premierement fait asseoir
. Chapitre XXIII. Il advint en ce temps-là une chose estrange en la
ville
de Samos, où comme on celebroit publicquement une
rtain lieu, et prierent Xanthus, pource qu’il estoit le premier de la
ville
, et avec cela Philosophe, de leur expliquer ce qu
oire, et ne faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de
Ville
, ou, suivant le conseil de son serviteur, il se m
e ces paroles ; « Esope », s’escrierent-ils, « si tu peux assister la
Ville
de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’
ô Xanthus, affranchy Esope : obey aux Samiens, et fay ce bien à leur
Ville
! » Mais luy ne s’en esmouvoit en façon quelconqu
i Esope fût declaré affranchy par un cry public qu’un trompette de la
ville
fit en ces termes. « Le Philosophe Xanthus donne
l de l’aider quelque peu : Autrement il mourroit devant qu’estre à la
ville
. La priere, dit-il, n’en est pas incivile : Moiti
l. « La Vérité », répondit-elle. « Et pour quel motif as-tu quitté la
ville
et habites-tu le désert ? » Elle répondit : « Par
Autrefois Progné l’hirondelle
De sa demeure s’écarta ;
Et loin des
Villes
s’emporta Dans un Bois où chantoit la pauvre Phil
r le lieu où tu veux qu’on fasse les bastimens ». Le Roy sortit de la
ville
en mesme temps, et le mena dans une large campagn
qui l’ayants empoigné, l’allerent foüettant publiquement par toute la
Ville
. Alors les Egyptiens bien estonnez, et bien fâche
pour sa prudence : de maniere qu’un peu apres, ayant fait venir de la
ville
d’Eliopolis un bon nombre d’hommes sçavants, fort
à dire, « un grand Temple, dans lequel est un pilier contenant douze
Villes
chacune desquelles est soustenuë de trente poutre
endroient raison. Le Temple c’est le Monde, le pilier c’est l’An, les
villes
sont les Mois, les poutres les jours des Mois, et
goinfrerie : Dans un autre celuy de la coquetterie ; La maison de la
Ville
, et les meubles exquis, Les Eunuques, et les Coëf
chacune prit son inclination ; Le tout à l’estimation. Ce fut dans la
ville
d’Athenes, Que cette rencontre arriva. Petits et
qu’un ennemi aux aguets ; et comme il avait besoin de se rendre à la
ville
, il laissa ses moutons près du loup et partit. Le
ayant mis une statue de dieu sur le dos d’un âne, le conduisait à la
ville
. Comme les passants se prosternaient devant la st
antost l’un en Theatre affronte l’Acheron : Et l’autre affiche par la
Ville
Qu’il est un Passe-Ciceron. Un des derniers se va
derniere l’on fist un massacre general, pour obliger tous ceux de la
Ville
à pleurer, en les interessant par leur propre per
blesse, mais aussi furent ils mis à une entiere destruction, quand la
ville
de Grenade fust saccagée ; tesmoin encore la fin
ce Barbier dont Plutarque raconte l’histoire, qui estant tenu dans la
Ville
d’Athenes pour un homme extrémement causeur et pe
esté entierement défaite. Ce qu’il courut annoncer à la haste dans la
ville
, avec aussi peu de jugement, que s’il eût apporté
ta par mégarde dans leur barque. Ils le prirent et l’emportèrent à la
ville
, où ils le vendirent. Ainsi souvent ce que l’art
urs corps, furent prises. Il en est ainsi chez les hommes : quand une
ville
est en proie à la guerre, les pauvres se déplacen
Marie de France, n° 9 La souris des
villes
et la souris des bois Ci dit de une suriz vilai
si je fais cela, je serai fatalement mordu par tous les chiens de la
ville
. » Pareillement, si vous flattez la méchanceté de
que dans les actions, fut de condition servile, et natif d’Ammorion,
ville
de Phrygie, que l’on surnommoit la grande. Ce qui
auses : on paroist éloquent : on traicte les mariages : on bastit les
villes
: on pourvoit à la seureté des hommes : Et pour l
e e ’l Gallo un gran viaggio insieme Presero a far per varii boschi e
ville
Passando per dar fine al lor camino : Ma non giun
tello ; O che felice nova Ho da contarti. Non molto lontano Da queste
ville
gli animali tutti Convenuti si son pur dianzi ins
éridique, lui vola ses bœufs à la campagne, puis vint le trouver à la
ville
, sous la figure d’un mortel, et descendit chez lu
Cassandre, qui ayant predit aux Troyens l’entiere destruction de leur
Ville
, s’ils ne faisoient rendre Heleine à Menelas, eus
45.1 Μῦς ἀρουραῖος καὶ μῦς ἀστικός — Le rat des champs et le rat de
ville
. Μῦς ἀρουραῖος τὸν ἐν οἴκῳ ἐφίλει. Ὁ δὲ τοῦ ο
temps, qui s’ayda le plus adroittement de cette ruze. Car voyant les
Villes
de la Grece en division, pour l’Empire et la libe
son propre frere, demeura jusqu’à l’âge de quarante-cinq ans hors la
ville
de Corinthe, à vacquer incessamment à l’Estude, e
sque toute divisée, et que chacun d’eux eust attiré une portion de la
Ville
au party où il estoit le plus enclin ; Tesmoin en
qui ayant vescu jusqu’à soixante ans sans sortir des fauxbourgs de sa
ville
, reçeut un commandement de l’Empereur Charles V.
tion des voyages, puis qu’il avoit passé tant d’années dans une seule
Ville
, mais à une certaine humeur libertine, qui estant
qu’on nous en ait fait les dispensateurs, comme des forteresses, des
villes
, et des possessions destinées au service de Dieu
onna moyen à Hippomene de l’espouser ; Elle qui a tant fait perdre de
Villes
imprenables, et tant fait changer de Maistres aux
, qui luy sembla le plus aymable, et le mieux conditionné de toute la
Ville
, auquel il donna une entiere esperance de ses bie
ents de guerre, en suitte dequoy ils se fussent rendus maistres de la
Ville
, comme ils firent, la leur aurois-tu civilement e
is hors de charge ». Ceste resolution prise, il s’en alla droict à la
Ville
trouver son Maistre. Comme il l’eust abordé, il s
de douleur, et l’emporta dans une forest, à quelques mille hors de la
Ville
. Il arriva depuis, que passant en ceste mesme for
imprudence, quand par ses horribles cruautez il faillist à rendre sa
Ville
deserte de gents de bien, et la peupla presque to
bon droict le tiltre de Pere des Lettres, et à bon droict aussi sept
Villes
fameuses débatirent entr’elles apres sa mort, l’h
qui devenu vieil aux champs, pria ceux de son logis de le mener à la
Ville
, à quoy sa curiosité le portoit pour n’y avoir ja
st derechef vendu. Chapitre VII. Quand le marchand fut arrivé en la
ville
d’Ephese, il y vendit plusieurs autres Esclaves,
i voyageants ensemble par toute la Grece, arriverent de hazard en une
Ville
, où ils furent contraints de se separer, à cause
s batailles à Atabaliba, et pillé le Temple de Cusco, avec toutes les
Villes
qui estoient en ces Royaumes. Pour se contenter e
ère, qui était un des avocats les plus distingués du barreau de cette
ville
, avait tenu à ce que son éducation fût bien comme
le quitta, vint à Troyes, et demanda son inscription au barreau de sa
ville
natale. Mais la lutte était ouvertement engagée e
s-signé certifie auoir baillé à Jean Oudot, Imprimeur du Roy en ceste
ville
, Phædri Augusti liberti fabularum Aesopiarum libr
troyen, très initié à tout ce qui touche l’histoire littéraire de sa
ville
natale, m’a exprimé l’idée que ces notes étaient
vint se fixer à Berne, et fit cadeau de toute cette bibliothèque à la
ville
de Berne, qui l’obtint en 1632. Les Gravisette n’
assurance de ma considération distinguée. « Le bibliothécaire de la
ville
de Berne, « Charles-Louis de Steiger. »
se, je passai par Berne, et, m’étant rendu à la bibliothèque de cette
ville
, j’y trouvai M. de Steiger, qui, avec une extrême
aux obsèques de Pierre Pithou, et le luminaire était aux armes de la
ville
. » Après sa mort, les apologistes ne lui ont pas
un silence qu’ils lui gardèrent fidèlement81. » Avocat à Orléans, sa
ville
natale, Daniel avait été appelé par le cardinal O
e Pierre Pithou converti, l’absolution pontificale. Arrivé dans cette
ville
en 1590, il y remplissait auprès du Père Aquaviva
Loire était Floriacum, en français Fleury. L’abbaye fondée dans cette
ville
par les Bénédictins, pour se distinguer des autre
ce qu’il a été. Il était né à Orléans, en 1568, c’est-à-dire dans la
ville
et dans le temps où le manuscrit qui devait plus
ection qui me souriait le plus. Le 11 octobre 1869, je partis pour la
ville
éternelle. Le jour même de mon arrivée, je me ren
croire qu’il ne devait pas être originaire d’Arezzo et que la petite
ville
d’Eu pouvait revendiquer l’honneur de lui avoir d
par ce dernier sont aujourd’hui conservés dans la bibliothèque de la
ville
de Berne et comment, par suite, la plupart des ma
lle, complètement désintéressée, et par le temps où il écrivait et la
ville
qu’il habitait, par son opulence et l’éclat de sa
crire, il ne découvre pas d’autres exemples à citer que l’Éloge de la
ville
de Gênes, la Description de la vie champêtre, et
froid. iv a, 19. 12. L’Âne et le Sanglier. i, 29. 13. Le Rat de
Ville
et le Rat des Champs. 14. L’Aigle et le Renard
des, au monastère de Saint-Cibard établi dans la première de ces deux
villes
, puis devint moine de l’abbaye de Saint-Martial é
-folio de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette
ville
par Pierre Vander Aa, fait mention d’un manuscrit
ssant en revue les livres de la bibliothèque de l’Université de cette
ville
, le savant Jacob Gronovius, au commencement du si
laircir ce que son devancier avait laissé dans l’ombre. De toutes les
villes
du nom de Wissembourg il était certain que celle
olution, avaient pu être transportés dans une des bibliothèques de la
ville
. Supposant que ces bibliothèques plus ou moins im
oins imaginaires avaient des conservateurs, il écrivit au maire de la
ville
pour le prier de lui faire faire par eux une copi
répondit « qu’il ne s’était point retrouvé dans la bibliothèque de la
ville
, ni dans celles des autres établissements publics
r aucun manuscrit, et dans le riche dépôt de notre bibliothèque de la
ville
de Strasbourg je ne connais aucun volume qui répo
r de mettre ces recueils à votre disposition. « La bibliothèque de la
ville
est ouverte au public les lundi, mercredi, jeudi
ver la dissertation de Tross à la mairie du XVIe arrondissement de la
ville
de Paris. Mais, quand je demandai au maire l’auto
i, 16. I, 14. Le Chauve et la Mouche. iv b, 4. II, 1. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. II, 2. L’Aigle et le Ren
c. Dans le manuscrit du xiiie siècle qui, dans la bibliothèque de la
ville
du Mans, porte la cote 84, c’est encore la même p
à Athènes traduit en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cette
ville
où il se trouvait encore, sa traduction à son fil
iv a, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Rat de
ville
et le Rat des Champs. I, 13. L’Aigle et le Ren
froid. iv a, 19. 9. L’Âne et le Sanglier. i, 29. 10. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. 11. L’Aigle et le Renar
iv a, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Rat de
Ville
et le Rat des Champs. I, 13. L’Aigle, la Tortu
manuscrit précieux n’entra jamais dans la bibliothèque publique de la
ville
. J’ai fait, pour m’en assurer, des recherches sér
’expression de mes sentiments distingués. « Le bibliothécaire de la
ville
de Dijon, Signé : « Guignard. » Le man
rit latin portant le nº 756 et appartenant à la bibliothèque de cette
ville
. J’ai transmis votre demande à M. le chargé d’aff
n. § 4. — Manuscrit du Mans. La bibliothèque publique de la
ville
du Mans possède un manuscrit, qui, malgré les nom
Corpus Christi d’Oxford ; Le troisième, au collège Merton de la même
ville
; Le quatrième, au fonds Harley du British Museum
i signifie : « Imprimé et terminé dans la très glorieuse et impériale
ville
d’Augsbourg par Antoine Sorg, le lundi après Sain
s de Rimicius et d’Avianus, se termine ici. Imprimé et achevé dans la
ville
impériale d’Augsbourg par Jean Schobsser, le merc
gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français : « Imprimé et terminé dans la
ville
impériale d’Augsbourg par Jean Schobsser, le merc
fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus. Imprimé et terminé dans ta
ville
impériale d’Augsbourg par Hannsen Schönsperger le
joutées de Rimicius et d’Avianus finit ici. Imprimé et achevé dans la
ville
impériale d’Augsbourg par Hannsen Schönsperger, l
ns un couvent de Lyon, il est à peu près certain que c’est dans cette
ville
que l’édition a paru. Quant à la date, si cette é
is, mais de ce qu’il passa sa vie dans le couvent dominicain de cette
ville
. Il arriva vers 1244 à l’apogée de sa réputation,
i college de Cambridge, édité par Jacob Nasmith et imprimé dans cette
ville
en 1777367, signale, sous la cote VIII, dans les
. Mais rien ne prouve qu’elle soit due à l’un des imprimeurs de cette
ville
, et cela fût-il établi, qu’il n’en résulterait pa
le catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford, publié dans cette
ville
, en 1852, par M. Henri O. Coxe. C’est un petit in
bas. I, 9. 9. Le Serpent mourant de froid. I, 10. 10. Le Rat de
Ville
et le Rat des Champs. I, 12. 11. L’Aigle et le
Parme en 1507. J’en ai trouvé dans la Bibliothèque palatine de cette
ville
un exemplaire, le seul peut-être qui en soit rest
e cette édition se trouvent, l’un dans la bibliothèque publique de la
ville
de Rouen sous la cote O. 638, l’autre dans la Gre
um commento , puis les armes des rois de France, ensuite celles de la
ville
et enfin tout au bas ce nom d’éditeur : J. le fo
xemplaire de cette édition se trouve à la bibliothèque publique de la
ville
de Rouen sous la cote O. 2261 (a)) ; 7º Une petit
t de froid. I, 10. 11. L’Âne et le Sanglier. I, 11. 12. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. I, 12. 13. L’Aigle et le
publicas exercuit scholas, etc. » L’abbaye avait été établie hors la
ville
. Par suite de son importance toujours croissante,
lage, neveu de M. de la Reynie, lieutenant-général de la police de la
ville
de Paris, deux sçavans des plus célèbres de leur
Serpent. 11. L’Asne qui salue le Sanglier. 12. De la Souris de bonne
ville
et de celle de vilaige. 13. De l’Aigle et de Rena
0. 9. 9. 11. L’Âne et le Sanglier. 11. 10. 11. 11. 12. Le Rat de
Ville
et le Rat des champs. 12. 11. 12. 12. 13. L’Aig
erpent. 7. De lasne qui salue le sanglier. 8. De la souriz de la bōne
ville
Et de celle des champs. 9. Du Regnart et de laigl
. 8 436. Orelli en avait conclu que la bibliothèque publique de cette
ville
possédait un manuscrit de Phèdre. C’était une err
connaît donc que deux manuscrits des fables d’Ugobard, et celui de la
ville
de Douai serait à la fois le plus ancien et le pl
is des Arts (deuxième division des bibliothèques municipales de cette
ville
), et il dépend du fonds de l’Académie des science
à la somme de 50,787 livres. À sa mort, il en donna la propriété à la
ville
, et la jouissance à l’Académie441. » Voici maint
nçaises, qu’à faire connaître celui que possède la Bibliothèque de la
ville
de Marseille sous la cote C. b. 37. Voici la desc
certain, c’est qu’il n’avait pas bien des années à rester dans cette
ville
. En 1622, les troupes bavaroises, l’ayant occupée
ée à Francfort en 1610 dans le format in-8º, et rééditée dans la même
ville
cinquante ans après. Schwabe et Dressler prétende
mourant de froid. 10. 10. L’Âne et le Sanglier. 11. 11. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. 12. 12. L’Aigle et le Ren
equel, ébloui des splendeurs de Paris, Alexandre Neckam fait de cette
ville
une description enthousiaste. Après avoir visité
e consacrer plus librement au travail, entrer dans le monastère de sa
ville
natale. Il paraît qu’il avait formulé à cet effet
9. 10. I, 11. L’Âne et le Sanglier. 11. 10. 11. I, 12. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. 12. 11. 12. I, 13. L’Aigl
uvre. I, 10. I, 11. L’Âne et le Sanglier. I, 11. I, 12. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. I, 12. I, 13. Le Renard e
Grue. I, 8. I, 10. La Chienne qui met bas. I, 9. I, 11. Le Bat de
ville
et le Rat des champs. I, 12. I, 12. L’Aigle et
n-fol. de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette
ville
par Pierre Vander Aa au commencement du siècle de
et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas. I, 9. 11. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le
pilogue de ses fables : Marie ai non, si sui de France. Quant à sa
ville
natale, on la trouve indiquée par Jehan Dupain, d
oup et la Grue. 9. 8. La Chienne qui met bas. 10. 9. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. 11. 10. L’Aigle et le Re
et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas. I, 9. 11. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le
ont les sept suivants : 1º Le manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la
ville
de Trèves ; 2º Le manuscrit 1107 de la même Bibl
mentionnées dans l’analyse du manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la
ville
de Trèves. Ces dix-sept fables ne sont séparées e
s un manuscrit du xve siècle, qui appartient à la bibliothèque de la
ville
de Magdebourg, qui, paraît-il544, a été analysé,
t que des six manuscrits que j’en ai rencontrés sur le continent, les
villes
de Güttingen et de Trèves en possèdent cinq. Alor
et la Grue. I, 9. 8. La Chienne qui met bas. I, 10. 9. Le Rat de
Ville
et le Rat des Champs. I, 11. 10. Le Renard et l
rue. I, 9. I, 10. La Chienne qui met bas. I, 10. I, 11. Le Rat de
ville
et le Rat des champs. I, 11. I, 12. L’Aigle et
uellement, que Guido a été moine à l’abbaye d’Auge, située près de la
ville
d’Eu en Normandie. « On se serait épargné cette f
graphe de la cour, puis revint à Venise qu’il préférait à toute autre
ville
, et y resta jusqu’à sa mort survenue le 11 novemb
breux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a publiés dans sa
ville
natale, il est convenable de citer ici les Codice
▲