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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
IX. Le Rat de Ville , et le Rat des Champs. Autrefois le Rat de vil
IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. Autrefois le Rat de ville 
 Invita le Rat des champs, D’une façon fort civil
rain.

 A la porte de la salle 
Ils entendirent du bruit.
 Le Rat de ville détale,
 Son camarade le suit.

 Le bruit cesse,
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
des Oyseaux ; « Que fais-tu là ? », luy demanda-t’il. « Je bastis une Ville  », luy respondit l’Oyseleur ; et en mesme temps s
ains ; « O homme », luy dit-il, « si tu bastis toûjours de semblables villes , tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ». Discour
cque franchise, plustost comme freres, que comme Citoyens d’une mesme Ville  ? D’ailleurs, selon la maxime des Philosophes, un
l’Oyseleur, qu’il n’auroit guere de Citoyens, s’il faisoit bastir une Ville pleine de pieges.  
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. Un jour que le Rat de V
X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. Un jour que le Rat de Ville s’estoit allé promener aux champs, le Rat de Vill
idement un si grand hoste. Mais quelque bonne chere que fit le Rat de Ville , il se refrognoit neantmoins, et se plaignoit de
noit de la pauvreté des villages, loüant au contraire l’abondance des villes . Or pour faire espreuver en effet à son compagnon
l s’estoit vanté de parole, il le ramena quant et soy tout droit à la Ville , où il luy fit un magnifique banquet de tout ce q
es, le Valet qui les avoit ainsi effrayez, s’estant retiré, le Rat de Ville se remit à manger, et appella son compagnon, qui
ter impatiemment le temps qu’il demeura dans ceste cave, où le Rat de ville luy avoit apresté à manger ? Cela fait bien voir
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 284 » pp. 193-193
de loin, lui demanda ce qu’il faisait. Il répondit qu’il fondait une ville , puis il s’éloigna et se cacha. L’alouette, se fi
L’oiseleur étant accouru, elle lui dit : « Hé ! l’homme, si c’est une ville comme celle-ci que tu fondes, tu n’y trouveras pa
abitants. » Cette fable montre que si l’on déserte les maisons et les villes , c’est surtout quand les maîtres y sont incommode
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
ris d’inquiétude, il partit pour la campagne. Arrivé aux portes de la ville , il aperçut un boiteux qui sortait et lui demanda
de question : « Après combien de temps reviens-tu d’habitude dans les villes  ? – Au bout de quarante ans, parfois même de tren
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
le reste de ses jours. Or apres qu’il eust bien voyagé par toutes les villes de Grece, et donné de merveilleuses preuves de so
ille. De ceste mesme façon, lors que j’estois bien esloigné de vostre ville , je vous admirois comme des personnes qui me semb
t d’abord qu’il ne se portast à mesdire d’eux, passant par les autres Villes  : Ce qui fut cause qu’ils conspirerent meschammen
re un flacon d’or dans le fameux Temple d’Apollon, qui estoit en leur Ville , et de le mettre secrettement dans la male ou la
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
. Le jour suivant, apres que le Maistre d’Esope fut de retour en la Ville , et qu’il l’eust laissé aux champs pour faire la
Jupiter l’Hospitalier, de leur monstrer par où il falloit aller à la Ville . Alors Esope les ayant premierement fait asseoir
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
. Chapitre XXIII. Il advint en ce temps-là une chose estrange en la ville de Samos, où comme on celebroit publicquement une
rtain lieu, et prierent Xanthus, pource qu’il estoit le premier de la ville , et avec cela Philosophe, de leur expliquer ce qu
oire, et ne faillist point le lendemain de se trouver en la Maison de Ville , ou, suivant le conseil de son serviteur, il se m
e ces paroles ; « Esope », s’escrierent-ils, « si tu peux assister la Ville de tes conseils, nous te prions de le faire ». S’
 ô Xanthus, affranchy Esope : obey aux Samiens, et fay ce bien à leur Ville  ! » Mais luy ne s’en esmouvoit en façon quelconqu
i Esope fût declaré affranchy par un cry public qu’un trompette de la ville fit en ces termes. « Le Philosophe Xanthus donne
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVI. Le Cheval et l’Asne. » p. 181
l de l’aider quelque peu : Autrement il mourroit devant qu’estre à la ville . La priere, dit-il, n’en est pas incivile : Moiti
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
l. « La Vérité », répondit-elle. « Et pour quel motif as-tu quitté la ville et habites-tu le désert ? » Elle répondit : « Par
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277
Autrefois Progné l’hirondelle
 De sa demeure s’écarta ;
 Et loin des Villes s’emporta Dans un Bois où chantoit la pauvre Phil
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
r le lieu où tu veux qu’on fasse les bastimens ». Le Roy sortit de la ville en mesme temps, et le mena dans une large campagn
qui l’ayants empoigné, l’allerent foüettant publiquement par toute la Ville . Alors les Egyptiens bien estonnez, et bien fâche
pour sa prudence : de maniere qu’un peu apres, ayant fait venir de la ville d’Eliopolis un bon nombre d’hommes sçavants, fort
à dire, « un grand Temple, dans lequel est un pilier contenant douze Villes chacune desquelles est soustenuë de trente poutre
endroient raison. Le Temple c’est le Monde, le pilier c’est l’An, les villes sont les Mois, les poutres les jours des Mois, et
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
goinfrerie : Dans un autre celuy de la coquetterie ; La maison de la Ville , et les meubles exquis, Les Eunuques, et les Coëf
chacune prit son inclination ; Le tout à l’estimation. Ce fut dans la ville d’Athenes, Que cette rencontre arriva. Petits et
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 230 » p. 234
qu’un ennemi aux aguets ; et comme il avait besoin de se rendre à la ville , il laissa ses moutons près du loup et partit. Le
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 267 » pp. 182-182
ayant mis une statue de dieu sur le dos d’un âne, le conduisait à la ville . Comme les passants se prosternaient devant la st
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
antost l’un en Theatre affronte l’Acheron : Et l’autre affiche par la Ville Qu’il est un Passe-Ciceron. Un des derniers se va
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
derniere l’on fist un massacre general, pour obliger tous ceux de la Ville à pleurer, en les interessant par leur propre per
blesse, mais aussi furent ils mis à une entiere destruction, quand la ville de Grenade fust saccagée ; tesmoin encore la fin
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
ce Barbier dont Plutarque raconte l’histoire, qui estant tenu dans la Ville d’Athenes pour un homme extrémement causeur et pe
esté entierement défaite. Ce qu’il courut annoncer à la haste dans la ville , avec aussi peu de jugement, que s’il eût apporté
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 22 » pp. 21-21
ta par mégarde dans leur barque. Ils le prirent et l’emportèrent à la ville , où ils le vendirent. Ainsi souvent ce que l’art
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 354 » pp. 228-228
urs corps, furent prises. Il en est ainsi chez les hommes : quand une ville est en proie à la guerre, les pauvres se déplacen
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 9. La souris des villes et la souris des bois » p. 352
Marie de France, n° 9 La souris des villes et la souris des bois Ci dit de une suriz vilai
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 178 » pp. 64-64
si je fais cela, je serai fatalement mordu par tous les chiens de la ville . » Pareillement, si vous flattez la méchanceté de
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
que dans les actions, fut de condition servile, et natif d’Ammorion, ville de Phrygie, que l’on surnommoit la grande. Ce qui
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelles viandes Esope traicta les Hostes de Xanthus. Chapitre XIV. »
auses : on paroist éloquent : on traicte les mariages : on bastit les villes  : on pourvoit à la seureté des hommes : Et pour l
25 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [25.]. DEL CANE, E ’L GALLO, E LA VOLPE. » p. 252
e e ’l Gallo un gran viaggio insieme Presero a far per varii boschi e ville Passando per dar fine al lor camino : Ma non giun
26 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [30.]. DELLA VOLPE, E DEL GALLO. » p. 671
tello ; O che felice nova Ho da contarti. Non molto lontano Da queste ville gli animali tutti Convenuti si son pur dianzi ins
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
éridique, lui vola ses bœufs à la campagne, puis vint le trouver à la ville , sous la figure d’un mortel, et descendit chez lu
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
Cassandre, qui ayant predit aux Troyens l’entiere destruction de leur Ville , s’ils ne faisoient rendre Heleine à Menelas, eus
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
45.1 Μῦς ἀρουραῖος καὶ μῦς ἀστικός — Le rat des champs et le rat de ville . Μῦς ἀρουραῖος τὸν ἐν οἴκῳ ἐφίλει. Ὁ δὲ τοῦ ο
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
temps, qui s’ayda le plus adroittement de cette ruze. Car voyant les Villes de la Grece en division, pour l’Empire et la libe
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
son propre frere, demeura jusqu’à l’âge de quarante-cinq ans hors la ville de Corinthe, à vacquer incessamment à l’Estude, e
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
sque toute divisée, et que chacun d’eux eust attiré une portion de la Ville au party où il estoit le plus enclin ; Tesmoin en
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
qui ayant vescu jusqu’à soixante ans sans sortir des fauxbourgs de sa ville , reçeut un commandement de l’Empereur Charles V.
tion des voyages, puis qu’il avoit passé tant d’années dans une seule Ville , mais à une certaine humeur libertine, qui estant
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
qu’on nous en ait fait les dispensateurs, comme des forteresses, des villes , et des possessions destinées au service de Dieu
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
onna moyen à Hippomene de l’espouser ; Elle qui a tant fait perdre de Villes imprenables, et tant fait changer de Maistres aux
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
, qui luy sembla le plus aymable, et le mieux conditionné de toute la Ville , auquel il donna une entiere esperance de ses bie
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
ents de guerre, en suitte dequoy ils se fussent rendus maistres de la Ville , comme ils firent, la leur aurois-tu civilement e
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
is hors de charge ». Ceste resolution prise, il s’en alla droict à la Ville trouver son Maistre. Comme il l’eust abordé, il s
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
de douleur, et l’emporta dans une forest, à quelques mille hors de la Ville . Il arriva depuis, que passant en ceste mesme for
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
imprudence, quand par ses horribles cruautez il faillist à rendre sa Ville deserte de gents de bien, et la peupla presque to
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
bon droict le tiltre de Pere des Lettres, et à bon droict aussi sept Villes fameuses débatirent entr’elles apres sa mort, l’h
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
qui devenu vieil aux champs, pria ceux de son logis de le mener à la Ville , à quoy sa curiosité le portoit pour n’y avoir ja
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
st derechef vendu. Chapitre VII. Quand le marchand fut arrivé en la ville d’Ephese, il y vendit plusieurs autres Esclaves,
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
i voyageants ensemble par toute la Grece, arriverent de hazard en une Ville , où ils furent contraints de se separer, à cause
s batailles à Atabaliba, et pillé le Temple de Cusco, avec toutes les Villes qui estoient en ces Royaumes. Pour se contenter e
45 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ère, qui était un des avocats les plus distingués du barreau de cette ville , avait tenu à ce que son éducation fût bien comme
le quitta, vint à Troyes, et demanda son inscription au barreau de sa ville natale. Mais la lutte était ouvertement engagée e
s-signé certifie auoir baillé à Jean Oudot, Imprimeur du Roy en ceste ville , Phædri Augusti liberti fabularum Aesopiarum libr
troyen, très initié à tout ce qui touche l’histoire littéraire de sa ville natale, m’a exprimé l’idée que ces notes étaient
vint se fixer à Berne, et fit cadeau de toute cette bibliothèque à la ville de Berne, qui l’obtint en 1632. Les Gravisette n’
assurance de ma considération distinguée.   « Le bibliothécaire de la ville de Berne, « Charles-Louis de Steiger. »         
se, je passai par Berne, et, m’étant rendu à la bibliothèque de cette ville , j’y trouvai M. de Steiger, qui, avec une extrême
aux obsèques de Pierre Pithou, et le luminaire était aux armes de la ville . » Après sa mort, les apologistes ne lui ont pas
un silence qu’ils lui gardèrent fidèlement81. » Avocat à Orléans, sa ville natale, Daniel avait été appelé par le cardinal O
e Pierre Pithou converti, l’absolution pontificale. Arrivé dans cette ville en 1590, il y remplissait auprès du Père Aquaviva
Loire était Floriacum, en français Fleury. L’abbaye fondée dans cette ville par les Bénédictins, pour se distinguer des autre
ce qu’il a été. Il était né à Orléans, en 1568, c’est-à-dire dans la ville et dans le temps où le manuscrit qui devait plus
ection qui me souriait le plus. Le 11 octobre 1869, je partis pour la ville éternelle. Le jour même de mon arrivée, je me ren
croire qu’il ne devait pas être originaire d’Arezzo et que la petite ville d’Eu pouvait revendiquer l’honneur de lui avoir d
par ce dernier sont aujourd’hui conservés dans la bibliothèque de la ville de Berne et comment, par suite, la plupart des ma
lle, complètement désintéressée, et par le temps où il écrivait et la ville qu’il habitait, par son opulence et l’éclat de sa
crire, il ne découvre pas d’autres exemples à citer que l’Éloge de la ville de Gênes, la Description de la vie champêtre, et
froid. iv a, 19. 12. L’Âne et le Sanglier. i, 29. 13. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. 14. L’Aigle et le Renard
des, au monastère de Saint-Cibard établi dans la première de ces deux villes , puis devint moine de l’abbaye de Saint-Martial é
-folio de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa, fait mention d’un manuscrit
ssant en revue les livres de la bibliothèque de l’Université de cette ville , le savant Jacob Gronovius, au commencement du si
laircir ce que son devancier avait laissé dans l’ombre. De toutes les villes du nom de Wissembourg il était certain que celle
olution, avaient pu être transportés dans une des bibliothèques de la ville . Supposant que ces bibliothèques plus ou moins im
oins imaginaires avaient des conservateurs, il écrivit au maire de la ville pour le prier de lui faire faire par eux une copi
répondit « qu’il ne s’était point retrouvé dans la bibliothèque de la ville , ni dans celles des autres établissements publics
r aucun manuscrit, et dans le riche dépôt de notre bibliothèque de la ville de Strasbourg je ne connais aucun volume qui répo
r de mettre ces recueils à votre disposition. « La bibliothèque de la ville est ouverte au public les lundi, mercredi, jeudi
ver la dissertation de Tross à la mairie du XVIe arrondissement de la ville de Paris. Mais, quand je demandai au maire l’auto
i, 16. I, 14. Le Chauve et la Mouche. iv b, 4. II, 1. Le Rat de ville et le Rat des champs. II, 2. L’Aigle et le Ren
c. Dans le manuscrit du xiiie  siècle qui, dans la bibliothèque de la ville du Mans, porte la cote 84, c’est encore la même p
à Athènes traduit en latin le texte grec d’Ésope, envoyant, de cette ville où il se trouvait encore, sa traduction à son fil
iv a, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Rat de ville et le Rat des Champs. I, 13. L’Aigle et le Ren
froid. iv a, 19. 9. L’Âne et le Sanglier. i, 29. 10. Le Rat de ville et le Rat des champs. 11. L’Aigle et le Renar
iv a, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29. I, 12. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 13. L’Aigle, la Tortu
manuscrit précieux n’entra jamais dans la bibliothèque publique de la ville . J’ai fait, pour m’en assurer, des recherches sér
’expression de mes sentiments distingués.   « Le bibliothécaire de la ville de Dijon, Signé : « Guignard. »          Le man
rit latin portant le nº 756 et appartenant à la bibliothèque de cette ville . J’ai transmis votre demande à M. le chargé d’aff
n. § 4. — Manuscrit du Mans.     La bibliothèque publique de la ville du Mans possède un manuscrit, qui, malgré les nom
Corpus Christi d’Oxford ; Le troisième, au collège Merton de la même ville  ; Le quatrième, au fonds Harley du British Museum
i signifie : « Imprimé et terminé dans la très glorieuse et impériale ville d’Augsbourg par Antoine Sorg, le lundi après Sain
s de Rimicius et d’Avianus, se termine ici. Imprimé et achevé dans la ville impériale d’Augsbourg par Jean Schobsser, le merc
gepurd M.CCCC.Lxxxvij 344. En français : « Imprimé et terminé dans la ville impériale d’Augsbourg par Jean Schobsser, le merc
fables ajoutées de Rimicius et d’Avianus. Imprimé et terminé dans ta ville impériale d’Augsbourg par Hannsen Schönsperger le
joutées de Rimicius et d’Avianus finit ici. Imprimé et achevé dans la ville impériale d’Augsbourg par Hannsen Schönsperger, l
ns un couvent de Lyon, il est à peu près certain que c’est dans cette ville que l’édition a paru. Quant à la date, si cette é
is, mais de ce qu’il passa sa vie dans le couvent dominicain de cette ville . Il arriva vers 1244 à l’apogée de sa réputation,
i college de Cambridge, édité par Jacob Nasmith et imprimé dans cette ville en 1777367, signale, sous la cote VIII, dans les
. Mais rien ne prouve qu’elle soit due à l’un des imprimeurs de cette ville , et cela fût-il établi, qu’il n’en résulterait pa
le catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford, publié dans cette ville , en 1852, par M. Henri O. Coxe. C’est un petit in
bas. I, 9. 9. Le Serpent mourant de froid. I, 10. 10. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 12. 11. L’Aigle et le
Parme en 1507. J’en ai trouvé dans la Bibliothèque palatine de cette ville un exemplaire, le seul peut-être qui en soit rest
e cette édition se trouvent, l’un dans la bibliothèque publique de la ville de Rouen sous la cote O. 638, l’autre dans la Gre
um commento , puis les armes des rois de France, ensuite celles de la ville et enfin tout au bas ce nom d’éditeur : J. le fo
xemplaire de cette édition se trouve à la bibliothèque publique de la ville de Rouen sous la cote O. 2261 (a)) ; 7º Une petit
t de froid. I, 10. 11. L’Âne et le Sanglier. I, 11. 12. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 13. L’Aigle et le
publicas exercuit scholas, etc. » L’abbaye avait été établie hors la ville . Par suite de son importance toujours croissante,
lage, neveu de M. de la Reynie, lieutenant-général de la police de la ville de Paris, deux sçavans des plus célèbres de leur
Serpent. 11. L’Asne qui salue le Sanglier. 12. De la Souris de bonne ville et de celle de vilaige. 13. De l’Aigle et de Rena
0. 9. 9. 11. L’Âne et le Sanglier. 11. 10. 11. 11. 12. Le Rat de Ville et le Rat des champs. 12. 11. 12. 12. 13. L’Aig
erpent. 7. De lasne qui salue le sanglier. 8. De la souriz de la bōne ville Et de celle des champs. 9. Du Regnart et de laigl
. 8 436. Orelli en avait conclu que la bibliothèque publique de cette ville possédait un manuscrit de Phèdre. C’était une err
connaît donc que deux manuscrits des fables d’Ugobard, et celui de la ville de Douai serait à la fois le plus ancien et le pl
is des Arts (deuxième division des bibliothèques municipales de cette ville ), et il dépend du fonds de l’Académie des science
à la somme de 50,787 livres. À sa mort, il en donna la propriété à la ville , et la jouissance à l’Académie441. » Voici maint
nçaises, qu’à faire connaître celui que possède la Bibliothèque de la ville de Marseille sous la cote C. b. 37. Voici la desc
certain, c’est qu’il n’avait pas bien des années à rester dans cette ville . En 1622, les troupes bavaroises, l’ayant occupée
ée à Francfort en 1610 dans le format in-8º, et rééditée dans la même ville cinquante ans après. Schwabe et Dressler prétende
mourant de froid. 10. 10. L’Âne et le Sanglier. 11. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. 12. 12. L’Aigle et le Ren
equel, ébloui des splendeurs de Paris, Alexandre Neckam fait de cette ville une description enthousiaste. Après avoir visité
e consacrer plus librement au travail, entrer dans le monastère de sa ville natale. Il paraît qu’il avait formulé à cet effet
9. 10. I, 11. L’Âne et le Sanglier. 11. 10. 11. I, 12. Le Rat de ville et le Rat des champs. 12. 11. 12. I, 13. L’Aigl
uvre. I, 10. I, 11. L’Âne et le Sanglier. I, 11. I, 12. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. I, 13. Le Renard e
Grue. I, 8. I, 10. La Chienne qui met bas. I, 9. I, 11. Le Bat de ville et le Rat des champs. I, 12. I, 12. L’Aigle et
n-fol. de la Bibliothèque de l’Université de Leyde, publié dans cette ville par Pierre Vander Aa au commencement du siècle de
et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le
pilogue de ses fables : Marie ai non, si sui de France. Quant à sa ville natale, on la trouve indiquée par Jehan Dupain, d
oup et la Grue. 9. 8. La Chienne qui met bas. 10. 9. Le Rat de ville et le Rat des champs. 11. 10. L’Aigle et le Re
et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le
ont les sept suivants : 1º Le manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la ville de Trèves ; 2º Le manuscrit 1107 de la même Bibl
mentionnées dans l’analyse du manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la ville de Trèves. Ces dix-sept fables ne sont séparées e
s un manuscrit du xve  siècle, qui appartient à la bibliothèque de la ville de Magdebourg, qui, paraît-il544, a été analysé,
t que des six manuscrits que j’en ai rencontrés sur le continent, les villes de Güttingen et de Trèves en possèdent cinq. Alor
et la Grue. I, 9. 8. La Chienne qui met bas. I, 10. 9. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 11. 10. Le Renard et l
rue. I, 9. I, 10. La Chienne qui met bas. I, 10. I, 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 11. I, 12. L’Aigle et
uellement, que Guido a été moine à l’abbaye d’Auge, située près de la ville d’Eu en Normandie. « On se serait épargné cette f
graphe de la cour, puis revint à Venise qu’il préférait à toute autre ville , et y resta jusqu’à sa mort survenue le 11 novemb
breux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a publiés dans sa ville natale, il est convenable de citer ici les Codice
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