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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VI. La Vieille et les deux Servantes. » p. 55
VI. La Vieille et les deux Servantes. Il estoit une Vieille a
VI. La Vieille et les deux Servantes. Il estoit une Vieille ayant deux Chambrieres. Elles filoient si bien, q
sœurs filandieres Ne faisoient que broüiller au prix de celles-cy. La Vieille n’avoit point de plus pressant soucy Que de distr
emontoit ; Un miserable Coq à point nommé chantoit. Aussi-tost nostre Vieille encor plus miserable S’affubloit d’un jupon crass
leur marché. Notre couple au contraire à peine estoit couché, Que la Vieille craignant de laisser passer l’heure, Couroit comm
, On s’enfonce encor plus avant : Témoin ce Couple et son salaire. La Vieille , au lieu du Coq, les fit tomber par là De Caribde
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
XVIII. Le Chat et un vieux Rat. J’ay lû chez un conteur de Fables,
 Qu’un
es.
 Nous en sçavons plus d’un, dit-il en les gobant :
 C’est tour de vieille guerre ; et vos cavernes creuses
 Ne vous sauvero
te.
 Un Rat sans plus s’abstient d’aller flairer autour. 
C’estoit un vieux routier ; il sçavoit plus d’un tour ;
 Mesme il a
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
oq et le Renard. Sur la branche d’un arbre estoit en sentinelle Un vieux Coq adroit et matois. Frere, dit un Renard adouci
ses gregues, gagne au haut, Mal-content de son stratagême ; Et nostre vieux Coq en soy-mesme Se mit à rire de sa peur : Car c
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 139 » pp. 318-318
Chambry 139 Chambry 139.1 Ἵππος γέρων — Le vieux cheval. Γέρων ἵππος ἐπράθη πρὸς τὸ ἀλήθειν. Ζ
ατόν· πολλοῖς γὰρ τὸ γῆρας ἐν κόποις ἀνηλώθη. Codd. Ba 22 Bb 14. Un vieux cheval fut vendu pour tourner la meule. Quand il
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
Chambry 224 Chambry 224.1 Λύκος καὶ γραῦς — Le loup et la vieille . Λύκος λιμώττων περιῄει ζητῶν ἑαυτῷ τροφήν. Ὡ
s un certain endroit, il entendit un petit enfant qui pleurait et une vieille femme qui lui disait : « Ne pleure plus, sinon je
sinon je te donne au loup à l’instant même. » Le loup pensant que la vieille disait vrai, s’arrêta et attendit longtemps. Quan
attendit longtemps. Quand le soir fut venu, il entendit de nouveau la vieille qui choyait le petit enfant et lui disait : « Si
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIV. Le Lion devenu vieux. » p. 481
XIV. Le Lion devenu vieux . Le Lion, terreur des forests,
 Chargé d’ans,
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VII. Le Mulet se vantant de sa Genealogie. » p. 315
l’Histoire. Il eust cru s’abaisser servant un Medecin. Estant devenu vieux , on le mit au moulin. Son pere l’Asne alors lui r
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57
Chambry 87 Chambry 87.1 Γραῦς καὶ ἰατρός — La vieille et le médecin. Γυνὴ πρεσϐῦτις τοὺς ὀφθαλμοὺς
ν τὸν ἔλεγχον ἐπισπώμενοι. Codd. Pa 57 Pb 57 Pg 34 Ph 29 Mb 29. Une vieille femme, qui avait les yeux malades, fit appeler, m
orté, la cure aussi étant terminée, il réclama le salaire convenu. La vieille se refusant à payer, il la traduisit devant les m
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 219 » p. 153
es faire périr. Les stupides moutons convinrent de le faire ; mais un vieux bélier s’écria : « Comment pourrais-je vous croir
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
V. Le Renard ayant la queuë coupée. Un vieux Renard, mais des plus fins, Grand croqueur de Pou
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
es de la chasse, reçoit des traictemens indignes de luy, et passe ses vieux jours avec des mespris fâcheux, et des injures co
prit une servitude perpetuelle. Mais de tous les maux qu’endurent les vieux serviteurs, le plus grand, et le plus déplorable,
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 187 » pp. 332-332
secouant sa sonnette, faisait le glorieux sur la place publique. Une vieille chienne lui dit : « Qu’as-tu à te pavaner ? Ce n’
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
alloient quelquefois testonnant,
 C’est-à-dire ajustant sa teste.
 La Vieille à tous momens de sa part emportoit
 Un peu du poi
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 17 » pp. 6-6
car si tu nous as mieux traitées, nous, tes hôtesses d’hier, que tes vieilles ouailles, il est évident que, si d’autres chèvres
ceux qui nous font passer, nous, les amis de fraîche date, avant les, vieux amis. Disons-nous que, quand notre amitié aura pr
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
presents du plus grand Monarque de la terre, il fût attrappé sur ses vieux jours d’une extrême necessité ; de sorte qu’il s’
ible et traversée. La pauvreté ne leur sembla point nouvelle en leurs vieux jours : ils se l’étoient renduë trop familiere, p
s garde, s’il est possible, de n’estre reduits à la mendicité sur nos vieux jours ; imitons plustost l’exemple de la sage Fou
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
voyez souvent ? Je pense. Tous les jours ; il est mon amy, C’est une vieille connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le n
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
venture Passent trois bons Marchands. Cet objet leur déplut. 
Le plus vieux au garçon s’écria tant qu’il put :
 Oh là oh, des
arger ainsi cette pauvre Bourique !
 N’ont-ils point de pitié de leur vieux domestique ?
 Sans doute qu’à la Foire ils vont v
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
ruict qu’elles faisoient, en se jettant dans l’eau. Alors un des plus vieux , et des plus éloquents de leur trouppe, les voula
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
Qui souvent s’en[g]eigne soy-mesme. J’ay regret que ce mot soit trop vieux aujourd’huy, Il m’a toujours semblé d’une énergie
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
. Je trouve bien peu d’herbe en tous ces rateliers. Cette litiere est vieille  ; allez vîte aux greniers. Je veux voir desormais
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 51 » pp. 33-31
b 31 Ma 24. Un grison avait deux maîtresses, l’une jeune et l’autre vieille . Or celle qui était avancée en âge ayant honte d’
ses poils noirs. La jeune, de son côté, reculant à l’idée d’avoir un vieux pour amant, lui enlevait ses poils blancs. Il arr
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
Lf 73 Lh 34 Md 127 Me 109 Mf 91 Mg 103 Mi 101 Mm 95. Le lion devenu vieux était couché, malade, dans son antre, et tous les
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
jeune. Comme ils demeuroient tous ensemble dans une mesme maison, la Vieille voulant attirer son mary à l’aymer, luy arrachoit
son ame demeurent cachées. D’ailleurs, sa grande jeunesse opposée aux vieilles années de son Mary, entretient l’opinion de tout
s’estre associez avec elles ? Quel divertissement peut donner à leurs vieux jours une personne qui ne leur est point agreable
mple de plusieurs grands personnages, qui ont esté amoureux sur leurs vieux jours, et sujets à ceste passion déreiglée, autan
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
ardant, et tout le demeurant de la personne de glace. Ainsi passa ses vieux jours le grand Tamberlan, oublieux des belles act
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
tilité de nos services, nous quittent là froidement quand nous sommes vieux , pource que nous ne pouvons plus rien contribuër
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
il n’y a point de doute que nous devons vivre tout autrement avec les Vieux , qu’avecque les Jeunes ; avec les Estrangers, qu’
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
es Cedres aux Buissons, les Europeans aux Affriquains, les jeunes aux vieux , les beaux aux laids, les stupides aux galants, b
simple, ils le nommeront les charmes de l’innocence. Si elle est trop vieille , ils loüeront l’assemblage du bon jugement avecqu
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 197 » pp. 142-142
δύνους ἐκφεύγουσιν. Codd. Pa 137 Pb 140 Ma 96 Ca 91. Un lion devenu vieux , et dès lors incapable de se procurer de la nourr
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
s’enorgueillir, et qu’ils s’enflerent au delà de leurs bornes sur les vieilles terres de l’Empire. Or les Gots mesmes se dissipe
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
ans son nid. Or un vent violent s’étant mis à souffler fit flamber un vieux fétu, et par suite les aiglons furent brûlés, car
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
cque les encensements et les sacrifices, comme ils sont décrits en la vieille Loy, il a bien encore l’effronterie de profaner l
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
onserver ce qu’ils ont gagné si peniblement. Il leur déplaist d’estre vieux , pource que cela leur oste le moyen de retourner
33 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
’a fait suspendre la continuation de mon entreprise. Mais, suivant un vieux proverbe, on finit toujours par tomber du côté où
s, ainsi que je l’établirai, régnait l’empereur Claude, et Phèdre, si vieux qu’il fût, ne pouvait l’être assez pour avoir exi
s les scènes de ses apologues ? Quel autre enfin, en nous révélant la vieille légende relative au Castor41, eût pu, comme lui,
raison même de son origine il était tout particulièrement initié aux vieilles traditions ésopiques. 7º Dates de la composition
par lui puisées dans les fables de l’auteur antique qu’il appelait le vieux Phrygien, ou simplement le vieillard ; c’est là c
s avaient cru que Pithou avait publié les fables de Phèdre d’après un vieux codex, qui, légué au collège de Troyes, serait en
ur la première fois les cinq livres de Phèdre, et par égard pour leur vieille amitié les lui eût envoyés à Rome à titre de cade
avait pas eu besoin de la traduire en vers ïambiques. Sans parler des vieux manuscrits de Pithou et de Reims dont le témoigna
ssent plus longtemps dérobées aux regards. Octogénaire, il était trop vieux pour pouvoir donner lui-même satisfaction à son d
n Panckoucke. Lorsque parut la publication de M. Berger de Xivrey, le vieux Schwabe existait encore ; il eut, avant sa mort,
œuvres pouvaient se dérober aux recherches d’un simple amateur, plus vieux que lui seulement de quelques années : la vanité
t pas l’œuvre originale de Phèdre. C’est une traduction presque aussi vieille que le texte grec ; mais c’est une traduction. Ma
Phèdre et Avianus, et ce n’est qu’à ce titre qu’il peut considérer le vieux Phrygien comme étant l’auteur des fables contenue
x, se venger par son silence des mauvais traitements par lesquels une vieille coquette l’a châtié de sa franchise, engager enfi
été. Quand la copie qu’on y trouve des Fabulæ antiquæ a été faite, le vieux manuscrit d’où elle a été tirée devait déjà appar
vait été pour les savants le principal élément de discussion. Dans la vieille édition d’Ulm, imprimée par Zeiner, elle commence
ræcus, etc. La copie que Gude avait sans doute soigneusement prise du vieux manuscrit de Dijon, porte également : Romulus Tyb
t leurs copies. Il ne faut donc tirer aucun argument du texte du plus vieux manuscrit. On le peut d’autant moins que, dans le
primitif, soit de la collection presque identique qui figure dans la vieille édition d’Ulm, ni les collections qui ont bien l’
ayant encore à la relater dans l’analyse que je ferai plus loin de la vieille édition d’Ulm, et devant enfin la publier dans ce
gardées par celui qui les paraphrasait comme une traduction latine du vieux fabuliste grec, et, sous le nom de Romulus, faisa
dge, il entre au collège de Caïus, et de là passe à celui du Roi dans Vieux Aberdeen. En 1781, il est reçu maître ès arts, et
er le désir de publier le manuscrit de Munich. Il avait donné du plus vieux manuscrit une édition diplomatique qui avait étab
le signale que pour ne rien omettre de ce qui intéresse les amis des vieux livres. Je n’ai plus, pour en finir avec la fameu
. Puisque j’ai été amené à analyser ici l’édition, peut-être la plus vieille , de la traduction latine, faite par Jean de Capou
tré des exemplaires qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les vieilles éditions publiées en Allemagne à la même époque,
n 1501. Gomme un cadre neuf destiné à faire ressortir la valeur d’une vieille toile, une œuvre nouvelle avait été ajoutée à l’a
ten | fabeln die man czuschreybet Esopo. Lisez : « Ici finissent les vieilles fables que l’on attribue à Ésope. » Fol. 102 a,
de Romulus. Fol. 87 (50) a. —  die mitlauffenden alten fabeln , ou «  vieilles fables courantes », qui se terminent au folio 109
atrième livre du célèbre fabuliste et maître Ésope, et commencent les vieilles fables courantes qu’on lui attribue. » Fol. 74 a
werdent. Esopo. Mit irem register. Traduction : « Ici finissent les vieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope, et co
s sont ajoutées. Il est vrai que, lorsque des manuscrits on passe aux vieilles éditions, on ne trouve plus l’Anonyme uni qu’au R
me incertitude relativement au nom de l’empereur se manifeste dans un vieux manuscrit des fables en vers élégiaques cité par
urait à bon droit trouvées sans doute fastidieuses. Je passe donc aux vieilles éditions de la seconde moitié du xve  siècle. Éta
qu’attestent non seulement des inscriptions anciennes, mais encore un vieux manuscrit de la vie d’Ésope, qui se trouve entre
mières notes sur les fables de Phèdre, remarqua, dans la librairie du vieux monastère, un manuscrit qui contenait les fables
s de huit syllabes. Ce distique n’a d’ailleurs rien de commun avec la vieille paraphrase du premier traducteur français de Walt
lle est suivie d’une traduction en vers allemands, qui est l’œuvre du vieux Boner, c’est-à-dire du prince des minnesingers. L
voir la veuve brisant les dents de son défunt mari et puis ceux de la vieille édition d’Ulm qui la montrent lui arrachant les c
e volume. Nous sommes ici encore en présence d’une réimpression de la vieille édition lyonnaise, mais d’une réimpression augmen
in-8 qui renferme cette édition est le cinquième d’une collection de vieux auteurs français qui porte ce titre général : Alt
e qui pourrait être rangée parmi elles : je veux parler des fables du vieux et fameux poète Boner, qui, en partie du moins, s
rit, dont les feuillets sont en papier et qui n’est que la copie d’un vieux codex faite au siècle dernier, commence ainsi :
me en vers élégiaques. « Ce fragment, dit M. E. du Méril, paraît plus vieux au moins d’un siècle, et le dernier feuillet très
manuscrit, les fables de Romulus telles qu’elles avaient paru dans la vieille édition d’Ulm. Schwabe, tirant du même point de v
Gude du manuscrit de Dijon et l’exemplaire qu’il croyait unique de la vieille édition d’Ulm et que pour cette fausse raison il
i fu foutue sur la fosse de son mari. 6º Du Prêtre crucifié. 7º De la Vieille qui oint la paume au Chevalier. Les fables de Ma
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