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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
toujours au guet et faire sentinelle. Si le possesseur de ces champs Vient avecque son fils (comme il viendra) dit-elle, Eco
elle. Si le possesseur de ces champs Vient avecque son fils (comme il viendra ) dit-elle, Ecoutez bien ; selon ce qu’il dira, Ch
Si-tost que l’Aloüette eut quitté sa famille, Le possesseur du champ vient avecque son fils. Ces bleds sont mûrs, dit-il, al
allez chez nos amis Les prier que chacun apportant sa faucille, Nous vienne aider demain dés la pointe du jour. Nostre Aloüet
arme sa couvée. L’un commence. Il a dit que l’Aurore levée, L’on fist venir demain ses amis pour l’aider. S’il n’a dit que ce
rive ; et d’amis point du tout. L’Aloüette à l’essor, le Maistre s’en vient faire Sa ronde ainsi qu’à l’ordinaire. Ces bleds
Ne bougeons de nôtre demeure. L’Aloüette eut raison, car personne ne vint . Pour la troisiéme fois le Maistre se souvint De
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 36. Le lion et le renard » p. 142
grave fist sun lit ; mut fu malades a sun dit. Les bestes fist a sei venir , kar il voleit, ceo dist, choisir ki meuz purreit
a grave est arestez ; des noveles voleit oïr ainz qu’il vousist avant venir . Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li demanda
ir. Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li demanda pur quei ne volt venir avant, e li gupilz li respunt tant : « Sire », fe
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 253 » p. 262
r aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent au figuier : «  Viens régner sur nous. » Et le figuier lui aussi répond
ur aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent à l’épine : «  Viens régner sur nous. » Et l’épine répondit aux arbres
pondit aux arbres : « Si vraiment vous m’oignez pour régner sur vous, venez vous mettre à l’abri sous moi ; sinon, qu’il sort
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 99. L’homme et le navire » p. 690
vit que Deus ne feseit la preere qu’il requereit, quant a tere ne pot venir , dist qu’il li face sun pleisir. Aprés cel mot to
eu omnipotent que de lui face sun pleisir : de ceo li peot grant bien venir . Kar meuz seit Deu quei li estut que sis queors,
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
t à l’entrée du logis, qu’il avoit fermé sur luy, un des conviez s’en vint heurter à la porte, et soudain Esope luy fist cet
on Maistre : « Seigneur », dit-il, « voicy le seul Philosophe qui est venu à ton festin ». Ceste nouvelle mit grandement en
voit invitez, se mocquoient de luy. Le lendemain ses disciples estans venus aux Escoles, se mirent à le blasmer de ce qui s’e
e », luy dit Esope, « ne m’as-tu point commandé exprés, de ne laisser venir à ton Festin des gents du commun, et des ignorant
6 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
de cerf mangé nen at. Dunc assemblent lur parlement. Mandez i fu, n’i vient n[i]ent ; kar si parent e si ami l’en aveint deva
si ami l’en aveint devant garni. Un’ autre fez i fu mandez, e il [i] vient tut esfreez. Dunc li distrent qu[e]’il voleient s
la ; a grant peine lur eschapa. La terce fez le remanderent, e il [i] vient  ; dunc le tüerent. Einz qu’il par fust [bien] esc
e mal mun seignur eüsse fet tel deshonur. Ore en irum devant le rei ! Venez  ! Si seez ensemble od mei ! Jeo me derainerai [tr
7 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
l] de rien li mesfeseit ; kar bien e mal fere poeit. Li vilein, quant vient a meisun, a sa femme cunte la raisun qu’il ot oï
t mist devant la piere, puis [si] se traist un poi ariere. La serpent vint *, si voleit beivre [et li vilains la volt deçoivr
et li vilains la volt deçoivre ; la hache hauce por ferir]. Le cop oï venir aneire, en la piere se met dedenz, e li vileins s
mença a dire : « Femme », fet il, « cunseille mei ! Cist mal m’est [a] venu par tei : tu me donas cunseil de mal, fol e felon
buket prent de lait [tut] chaut ; devant la piere a la serpent en est venu dutusement. Sa cupe bat, merci cria, e la serpent
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IX. Le Rat de Ville, et le Rat des Champs. » p. 352
evons tout nôtre rost. 

C’est assez, dit le Rustique ; 
Demain vous viendrez chez moy :
 Ce n’est pas que je me pique 
De tous
’est pas que je me pique 
De tous vos festins de Roy.
 
Mais rien ne vient m’interrompre ;
 Je mange tout à loisir.
 Adieu d
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 89. Le loup et la chèvre » p. 572
pria e defendi qu[e]’il ne laissast pur murir ensemble od eus bestes venir pur parole ne pur preere deci ke ele revienge are
parole ne pur preere deci ke ele revienge arere. Quant ele fu al bois venue e li lus l’ot dedenz veüe, al cheverol vet, si li
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
n t’appelle le « profiteur ? » — Si tu en doutes, répondit le renard, viens chez moi, je t’offre à dîner. » Le lièvre le suiv
ui dit : « J’apprends pour mon malheur, mais enfin j’apprends d’où te vient ton nom : ce n’est pas de tes gains, mais de tes
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 204 » p. 338
n d’été, quand la chaleur fait naître la soif, un lion et un sanglier vinrent boire à une petite source. Ils se querellèrent à
ls se querellèrent à qui boirait le premier, et de la querelle ils en vinrent à une lutte à mort. Mais soudain s’étant retourné
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473
n’a jamais menti, Dit que le Liévre est reparti. Le pauvre malheureux vient mourir à son giste. La Perdrix le raille et luy d
i vîte : Qu’as-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient , on la trouve. Elle croit que ses aisles La sçaur
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 243 » pp. 112-112
ps. Sur le moment, la fourmi ne répondit rien ; mais plus tard, quand vint l’hiver et que la pluie détrempa les bouses, l’es
d vint l’hiver et que la pluie détrempa les bouses, l’escarbot affamé vint demander à la fourmi l’aumône de quelque aliment.
t pas de l’avenir, tombent dans une misère extrême, lorsque les temps viennent à changer. Chambry 243.2 Aliter — Autre ver
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
rappe-tu sans cause ce bon-homme, qui ne t’a fait aucun tort, et d’où vient encores qu’il ne se passe aucun jour que tu n’en
à soy-mesme en le salüant. Ce que son Maistre ayant reconnu ; « D’où vient  », luy dit-il, « que tu és si fort émeu, en t’app
ochant de moy ? » A ces mots Zenas s’estant un peu remis. « Ce que je viens icy », respondit-il, « c’est pour vous dire, Seig
« que tu ne fasses de moy ce qu’il te plaira ». Voila cependant qu’il vint à passer par là un certain marchand, qui tournoya
epter ». Le marchand l’ayant alors voulu voir, Zenas fist incontinent venir Esope. Mais l’autre ne l’eust pas plustost avisé,
t le moins dy moy quelle affaire t’ameine en ce lieu ». « Je n’y suis venu  », respondit le marchand, « que pour y achepter q
15 (1180) Fables « Marie de France, n° 22. Les lièvres et les grenouilles » p. 138
’en vodrent creire : tuz ensemble tiendrent lur eire. A une mare sunt venu . Gardent el tai, si unt veü u reines erent asembl
il ki se veulent remüer e lur ancïen liu guerpir que lur en put aprés venir . Jamés regne ne troverunt ne en cele tere ne vend
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — X. L’Asne chargé d’éponges, et l’Asne chargé de sel. » p. 180
l’embrassoit dans l’attente D’une prompte et certaine mort. Quelqu’un vint au secours : qui ce fut, il n’importe ; C’est ass
u par là qu’il ne faut point Agir chacun de mesme sorte. J’en voulois venir à ce point.
17 (1180) Fables « Marie de France, n° 61. Le renard et la colombe » p. 
be D’un columb cunte ke jadis sur une croiz s’esteit asis. Un gupil vient desuz, sil vit. En haut parla, si li [a] dit : « 
oise que par euls eie estrif ne noise. Il n’unt pas tuz le bref oï ki vient del rei, jol vus afi : ne m’estuvereit pas remüer
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
usage.) Celuy-cy fort surpris d’entendre ce langage, Comme il estoit venu s’en retourna chez soy. Où seroit le Biquet s’il
la mere appaisant sa chere geniture, Luy dit : Ne criez point ; s’il vient , nous le tuërons. Qu’est cecy ? s’écria le mangeu
arreste. Epieux et fourches fieres L’ajustent de toutes manieres. Que veniez -vous chercher en ce lieu, luy dit-on ? Aussi-tost
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
. La Besace. Jupiter dit un jour : Que tout ce qui respire S’en vienne comparoistre aux pieds de ma grandeur. Si dans so
dire,
 Il peut le declarer sans peur : Je mettray remede à la chose.
 Venez singe, parlez le premier, et pour cause.
 Voyez c
20 (1180) Fables « Marie de France, n° 15. L’âne qui veut jouer avec son maître » p. 91
chenet va juant. Ne pot li asnes plus suffrir vers le seignur prist a venir . Sur lui comence a rechaner que tut le fait espoë
ue l’asne unt tant batu qu’il le leissent tut estendu : a grant peine vient a sa stable. Saveir poüm par ceste fable la maner
21 (1180) Fables « Marie de France, n° 26. Le loup et le chien » p. 346
ur runger les os, dunt je me faz [e] gras e gros. Si vus volez od mei venir , e vus li voliez obeïr si cum jeo faz, asez avere
s respunt. Dunc s’acumpainent, si s’en vunt. Einz que a vile feussent venu , garda li lus, si ad veü cum le chien porta sun c
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 60. Le coq et le renard » p. 
D’un cok recunte ki estot sur un femer e si chantot ; par delez li vient un gupilz, si l’apela par muz beaus diz. « Sire »
tut entur : veit le gupil, ki le cok tient ; mar le guaina si par eus vient  ! « Va », fet li cocs, « si lur escrie que sui tu
23 (1180) Fables « Marie de France, n° 63. Le cheval et la haie » p. 673
savez : tant coveitent lur volentez ne veient pas queile aventure en vient aprés pesante e dure.
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 140 » pp. 105-105
urte existence. Mais l’homme, tirant parti de son intelligence, quand vint l’hiver, se bâtit une maison et y vécut. Or un jo
ent et la pluie s’étant mise à tomber, le cheval, ne pouvant y durer, vint en courant chez l’homme et lui demanda de l’abrit
œuf en donna une partie et fut admis. Enfin le chien mourant de froid vint aussi, et, en cédant une partie du temps qu’il av
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
Un peu apres Xanthus voulant donner à disner à ses escoliers, fist venir Esope, et luy commanda qu’il eust à tenir prest l
de voir une chose si honteuse ; « Paillard », dit-il à Esope, « d’où vient tout ce beau mesnage ? » « Seigneur », respondit
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
urd’huy, Il m’a toujours semblé d’une énergie extrême. Mais afin d’en venir au dessein que j’ay pris : Un Rat plein d’en-bon-
ayoit ses esprits. Une Grenoüille approche, et luy dit en sa langue : Venez me voir chez moy, je vous feray festin. Messire R
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
fraische et fourage, Comme l’on faisoit tous les jours. L’on va, l’on vient , les valets font cent tours ; L’Intendant mesme,
es-là pauvre Cerf, ne te vante de rien. Là-dessus le Maistre entre et vient faire sa ronde. Qu’est-ce-cy ? dit-il à son monde
28 (1180) Fables « Marie de France, n° 16. Le lion et la souris » p. 150
Grant poür a ke hum ne l’ocie, dedenz la fosse breit e crie. La suriz vient al cri tut dreit, mes ne saveit ki ceo esteit quë
tres] bien saudrez, que si pussez ça hors eissir ; e jeo ferai od mei venir autres suriz pur mei aider as cordes, que ci sunt
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 118 » p. 90
. Codd. Pa 86 Pb 91 Pf 45 Pg 57 Ph 47 Me 63 Mf 56 Mj 64. Une vipère venait régulièrement boire à une source. Une hydre qui l
es avaient fixé le jour, quand les grenouilles, par haine de l’hydre, vinrent trouver la vipère et l’enhardirent en lui promett
30 (1180) Fables « Marie de France, n° 68. Le lion et le renard » p. 258
ün mut se curuça ; le lu, sun provost, apela, demanda lui pur quei ne vient . Li lus respunt : « Rien nel detient fors l’engre
vindrent musches e taün, sil despuinstrent mut malement. Li gupilz i vient tut quointement, si li demanda quei la fesist que
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 88 » p. 246
imetière : « Qui frappe à la porte ? » dit l’ivrogne. « C’est moi qui viens apporter à manger aux morts », répondit la femme.
ntre qu’il ne faut pas s’invétérer dans la mauvaise conduite ; car il vient un moment où, bon gré, mal gré, l’habitude s’impo
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
eux était couché, malade, dans son antre, et tous les animaux étaient venus rendre visite à leur prince, à l’exception du ren
i était leur maître à tous, et c’est pour cela qu’il n’était même pas venu le visiter. » Sur ces entrefaites le renard arriv
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 356 » pp. 244-244
laisante. Une chatte, l’ayant vu, lui demanda qui il était et d’où il venait . Il répondit : « Le maître vient de m’acheter. – 
bête effrontée entre toutes, reprit la chatte, tu oses, tout nouveau venu , pousser de pareils cris, tandis qu’à moi, née à
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
arrive ». « Voila qui est bon, respondit le pot de terre, mais si je viens à me briser contre toy, ou par l’impetuosité de l
ue nous, veu le dommage qui nous en peut arriver, en cas que l’amitié vienne à se rompre. Or quand mesme elle ne se dissoudroi
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
lque coin.
 Voyez-vous cette main qui par les airs chemine ?
 Un jour viendra qui n’est pas loin,
 Que ce qu’elle répand sera v
que ceux qui sont les nôtres, 
Et ne croyons le mal que quand il est venu .
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
cavernes creuses
 Ne vous sauveront pas ; je vous en avertis ;
 Vous viendrez toutes au logis.
 Il prophetisoit vray ; nostre m
e huche ouverte :
 Ce fut à luy bien avisé : 
La gent trote-menu s’en vient chercher sa perte.
 Un Rat sans plus s’abstient d
37 (1180) Fables « Marie de France, n° 23. La chauve-souris » p. 566
en l’eir lamunt : bataille deivent od li tenir. Quant ensemble durent venir , [e] la chalve suriz les vit, en sun queor ad pen
a sun busuin li veut faillir e od autres se veut tenir ; si sis sires vient el desus, ne peot lesser sun mauveis us ; dunc vo
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
st à sçavoir, que pendant la contention de deux personnes, une tierce vient à jouyr du prix de leur contestation, et tire tou
. Mais il est mieux de ne les alleguer pas pour ceste heure, affin de venir aux modernes, et dire que la puissance du Turc en
urc en toutes les parties du monde, et particulierement en Europe, ne vient que de la discorde des Princes. Combien de fois s
39 (1180) Fables « Marie de France, n° 64. L’homme, le cheval et le bouc » p. 674
, aveit un cheval, que vendre voleit, e un sun buc tut a un pris. Pur vient souz ceo dist a ses amis [que] chescun d’eus vole
40 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
font d’un mal-heureux la peinture achevée. 
Il appelle la mort, elle vient sans tarder ;
 Luy demande ce qu’il faut faire.

de m’aider 
A recharger ce bois ; tu ne tarderas guéres.
 Le trépas vient tout guérir ;
 Mais ne bougeons d’où nous sommes.
41 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
motif de gloire ; Pour moy de tels pensers me seroient malseans. Mais venons à la Fable, ou plutost à l’Histoire De celuy qui
avec les consultans, Dans la succession entrent en mesme temps. On en vient au partage, on conteste, on chicane. Le Juge sur
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VIII. Le Vieillard et l’Asne. » p. 476
badant, chantant et broutant, Et faisant mainte place nette. L’ennemi vient sur l’entrefaite. Fuyons, dit alors le Vieillard.
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
ngratitude extrême ! On l’entend, on retourne, on le fait déloger, Il vient mourir en ce lieu mesme. J’ay mérité, dit-il, ce
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XII. Le Soleil et les Grenoüilles. » p. 314
de leur destinée Les Citoyennes des Etangs. Que ferons-nous, s’il lui vient des enfans ? Dirent-elles au Sort, un seul Soleil
45 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVI. Le Cheval et l’Asne. » p. 181
’Asne. En ce monde il se faut l’un l’autre secourir. Si ton voisin vient à mourir, C’est sur toy que le fardeau tombe. Un
46 (1180) Fables « Marie de France, n° 5. Le chien et le fromage » p. 133
un punt ; un fourmage en sa buche tient ; quant en mi le puncel [par] vient , en l’ewe vit l’umbre del furmage ; purpensa sei
47 (1180) Fables « Marie de France, n° 101. Le chat mîtré » p. 692
uriz li respuneient que asez voleient meuz murir que desuz ses ungles venir . Les suriz s’en turnent fuiant, e li chaz les vet
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — X. Le Chameau, et les Bastons flotans. » p. 195177
issoit terrible et singulier, S’apprivoise avec nostre veuë, Quand ce vient à la continuë. Et puisque nous voicy tombez sur c
49 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
re quë ert eissuz de sa tesniere ; od ses enfanz devant jua. Un egles vient , l’un en porta. Li gupilz vet aprés criant qu[e]’
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
gue de leur jeunesse, travaillent contre leur propre repos. Car de là viennent les dissolutions et les débauches, qui les perden
à supporter, celle-là neantmoins l’est plus que les autres, qui nous vient par nostre imprudence, pource qu’avec l’amertume
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
il l’avisoit, qu’il ne luy pouvoit faire plus grand plaisir que de le venir voir, et que sa presence seule luy seroit plus ag
y de judicieux. Le superbe Roy des animaux trouve mauvais qu’il ne le vienne point voir, et le convie à cela fort courtoisemen
52 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
us contenter par ce couple celeste.
 Je vous veux traiter cependant.
 Venez souper chez moy, nous ferons bonne vie.
 Les conv
re qu’il eut peur 
De perdre, outre son dû, le gré de sa loüange.
 Il vient , l’on festine, l’on mange.
 Chacun estant en bell
53 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
it qu’au Seigneur du Bourg nostre homme se plaignit. Ce maudit animal vient prendre sa goulée Soir et matin, dit-il, et des p
et dés demain, sans tarder plus long-temps. La partie ainsi faite, il vient avec ses gens : Çà déjeunons, dit-il, vos poulets
54 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IV. Les deux Taureaux et une Grenoüille. » p. 485
aux campagnes fleuries ? Il ne regnera plus sur l’herbe des prairies, Viendra dans nos marais regner sur les roseaux ; Et nous
55 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IX. Le Laboureur et ses enfans. » p. 42
ui manque le moins. Un riche Laboureur sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfans, leur parla sans témoins. Gardez-vous,
56 (1180) Fables « Marie de France, n° 24. Le cerf qui buvait à la source » p. 74
. Tant entendi a sei loër e a ses cornes esgarder qu[e]’il vit chiens venir curant e lur mestre aprés cornant. Aprés lui vien
57 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
dans les bois. Il l’aborda d’un air caressant, le salua et dit : « Je viens t’annoncer une bonne nouvelle. Tu sais que notre
rien. Mais, si tu veux bien écouter un vieillard, je te conseille de venir aussi et d’attendre sa mort près de lui. » Ainsi
renard, et le cœur du cerf se gonfla de vanité à ces discours, et il vint à l’antre sans se douter de ce qui allait arriver
e toi, et il veut créer roi le loup. Hélas ! le méchant maître ! Mais viens , ne crains rien et sois doux comme un mouton. Car
 ; ne le cherche plus ; car quel cœur pouvait avoir un animal qui est venu par deux fois dans le repaire et les pattes du li
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
page s’en estonnassent, et que ce leur fust un sujet de dire ; « D’où vient ceste abomination, qui obscurcit ainsi le lustre
ndant que le Philosophe Xanthus, qui faisoit sa demeure à Samos, s’en vint au marché, où voyant les deux jeunes Esclaves si
luy cousteroit mille oboles, l’excez du prix l’en degousta, et le fit venir au Grammairien. D’abord il l’interrogea de quel p
ais tu faire ? » continüa Xanthus. « Rien », respondit Esope ; « D’où vient cela ? », adjoûta le Philosophe ; « C’est », dit
« A ce que je vois », respondit le marchand, « tu sembles n’estre icy venu que pour dépriser ma marchandise. Car tu as laiss
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
sçavoir qu’on ne change pas de mœurs, pour changer de condition. Pour venir donc au permier poinct, je diray que c’est une ch
e bien, plus elles sont deffenduës, plus nous les aymons aussi. De là vient que les femmes des maris jaloux, et les filles de
superflus, puis que l’experience rend ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde partie de mon Discours, qui est
tre ; apres une fille il se rend esclave d’une femme mariée : puis il vient à cajoler la vefve, et il est à croire que s’il t
eroit pas de ses soins, pource seulement qu’elle seroit à demy femme. Venons maintenant à la troisiesme partie de nostre Disco
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
outils de lui faire une aumône. Après l’avoir reçue des autres, elle vint à la lime et la pria de lui donner quelque chose.
61 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
n Cerf se trouva pris. Vers ses associez aussi-tost elle envoye.
 Eux venus , le Lion par ses ongles conta,
 Et dit : Nous som
62 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
e regrette. Pour tirer d’eux ce qu’on leur prête, Il faut que l’on en vienne aux coups ; Il faut plaider, il faut combattre. L
63 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
e encore un coup de toy. Sa plainte fut de l’Olimpe entenduë. Mercure vient . Elle n’est pas perduë, Luy dit ce Dieu, la conno
Roi des Dieux ne sçait auquel entendre. Son fils Mercure aux criards vient encor, A chacun d’eux il en montre une d’or. Chac
64 (1180) Fables « Marie de France, n° 3. La souris et la grenouille » p. 384
asez averez ferine e greins del blé que remeint as vileins. La reine vient par sa priere, amdeus s’asient sur la piere ; mut
La suriz pipe en aut e crie, que quida tut’ estre perie. Un escufle i vient roant, vit la suriz ki veit pipant, les eles clot
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
urs foiblesses, comme indignes de la censure d’un honneste homme ; et venons à faire une plus haute application de ce sujet, à
outrepasser les bornes qu’elle s’est prescripte ? Que si nous voulons venir des ouvrages des Roys, à ceux des Particuliers, n
en a-t’on de la perpetuer ? le temps, à qui rien ne peut resister, ne vient -il pas à bout de tout ce que nous faisons, tant p
66 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XV. Philomele et Progné. » p. 277
quelque rustique ? 
Le desert est-il fait pour des talens si beaux ?
 Venez faire aux citez éclater leurs merveilles.
 Aussi-
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274
llent sans interruption, tandis que les Biens, descendant du ciel, ne viennent à eux qu’à de longs intervalles. L’apologue fait
68 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 149 » p. 195
Puis s’apercevant peu à peu que la bête n’avait pas de colère, ils en vinrent à la mépriser au point de lui mettre une bride et
69 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 191 » pp. 256-256
rent à leur secours les renards. Ceux-ci répondirent : « Nous serions venus à votre aide, si nous ne savions qui vous êtes, e
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 240 » pp. 167-167
à elle-même : « J’ai mangé, j’ai bu, j’ai pris un bain ; la mort peut venir  : il ne m’en chaut. » Cette fable montre que les
71 (1180) Fables « Marie de France, n° 42. Le riche qu’on saigne » p. 684
che humme ad mut esmaié, qu’il quidot bien aver enfant. Sa fille fist venir avant ; tant par destreit tant par amur li estut
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
il se mit fort en colere, et commanda qu’on l’appellast. Comme il fut venu  ; « Quoy ? » luy dit le Maistre, « meschant que t
a langue. Mais enfin comme il apperçeut que des paroles on en vouloit venir aux coups, se jettant aux pieds de son Maistre, i
73 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
e e fet obscure ; ne put parer, quant sur lui cure. Li mulez a la nue vient , [e] dit que si puissant la tient que sa fille vo
fort morter que ele ne puisse trespercer ; desuz me fuet, par mi mei vient nule chose ne la detient. » Li mulez dit : « Come
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
es aurions en horreur par nature. Que s’il est question maintenant de venir à l’impudicité, y a-t’il rien qui nous y porte av
e quelle extraordinaire vertu faut-il estre doüé pour s’en abstenir ? Viendrons -nous maintenant à l’orgueil ? Y a-t’il au monde u
? Et tout cela, qu’est-ce autre chose qu’Orgueil et que Vanité ? D’où vient la longue suitte des Pages et des Gentils-hommes 
clat des livrées, des habits pompeux, de l’or, de la pierrerie ? D’où vient , dis je, tout cela, si ce n’est de la richesse ?
us ne verrons guere qu’un homme extrémement riche, ou Ambitieux, soit venu jusques à une douce et paisible vieillesse. Mais
75 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 344 » p. 375
sa nature dès sa naissance, on ne saurait le garder : nus nous sommes venus , nus nous partirons.
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVI. De deux Hommes, et d’un Asne. »
rendre de mauvais offices, jusques là mesme, que de la langue ils en viennent souvent aux mains, et tout cela pour un advantage
77 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
Le Corbeau sert pour le présage ; La Corneille avertit des malheurs à venir  ; Tous sont contens de leur ramage. Cesse donc de
78 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
isé. Dans cette admirable pensée, Voyant son Maistre en joye, il s’en vient lourdement, Leve une corne toute usée ; La luy po
79 (1180) Fables « Marie de France, n° 17. L’hirondelle et le semeur de lin » p. 39
cunseil li set duner e de sun mal le volt oster, si damage l’en deit venir , dunc est trop tart del repentir.
80 (1180) Fables « Marie de France, n° 30. Le loup et le berger » p. 22
reit. Li pastre dist que si fera ; desuz sa faude le musça. Li venere vient [la] criant, d’ures en autres demandant si il ave
81 (1180) Fables « Marie de France, n° 51. Le singe et son enfant » p. 364
chose peot hum joïr que ne peot mie a tuz pleisir ; par descoverance vient grant mal, n’est pas li secles tut leals.
82 (1180) Fables « Marie de France, n° 56. Le paysan et le choucas » p. 
ovri, tant que li juges le choisi. L’autre vilein fist apeler quë ert venu a lui clamer ; de la caue li demanda quei ceo est
83 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [17.]. DEL CAVALLO E L’ASINO CARCHI. » p. 181
sgravarlo Fin ch’ei potesse sol riprender lena : Perché già si sentia venir a fine : E negando di farlo il suo compagno Caden
84 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [42.]. DEL LUPO, ET LE PECORE. » p. 451
iardo e di malitia pieno Rimaner suole a lungo andar, né puote Sempre venir al fin del suo pensiero Con la bugia del suo fall
85 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [79.]. DELL’ASINO, ET DELLA VOLPE. » p. 188
o spavento, Ch’egli porgeva a questa e quella fera, Vedendo di lontan venir la Volpe Far volea quello a lei, ch’a gli altri f
86 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 127 » pp. 313-313
fasse justice à chacun. Mais les coquilles s’entremêlent, et les unes viennent plus tôt, les autres plus tard entre les mains de
87 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XI. L’homme, et son Image. » p. 
si beau,
 Qu’il ne le quitte qu’avec peine.
 On voit bien où je veux venir .
 Je parle à tous ; et cette erreur extrême
 Est
88 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
utefois que la peur sans le mal.
 Jamais le corps de l’animal
 Ne pût venir vers moy, ni trouver d’ouverture.
 Je révais à ce
89 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
oix, Nous ne sommes plus en querelle : Paix generale à cette fois. Je viens te l’annoncer ; descends que je t’embrasse. Ne me
90 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2
es du Corbeau, Que le pauvre animal ne put faire retraite ; Le Berger vient , le prend, l’encage bien et beau ; Le donne à ses
91 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246
se en habit d’Alecton,
 Masquée, et de sa voix contrefaisant le ton,
 Vient au prétendu mort ; approche de sa biere ; 
Luy pr
92 (1180) Fables « Marie de France, n° 12. L’aigle et la corneille » p. 259
rie de France, n° 12 L’aigle et la corneille Ci dit que uns egles vient volant juste la mer peissun querant : une welke t
93 (1180) Fables « Marie de France, n° 13. Le corbeau et le renard » p. 124
e desur une cleie giseient ; un en ad pris, od tut s’en va. Un gupil vient qui l’encuntra ; del furmage ot grant desirer qu’
94 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [22.]. DEL TORO E DEL MONTONE. » p. 217
ossente Leon, ch’era lontano : E ’l vil Montone, che da lunge il vide Venir correndo e di paura pieno, Credendo fargli ancor
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
s une vie de fourmi ? Moi, au contraire, j’ai des biens en abondance. Viens avec moi, je les mets tous à ta disposition. » Il
mme ils revenaient pour prendre des figues sèches, une autre personne vint chercher quelque chose à l’intérieur de la chambr
96 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 250 » pp. 170-170
« Cela va bien aussi », dit le médecin. Une troisième fois le médecin vint le voir, et le questionna sur sa maladie. Il répo
en encore », dit le médecin, et il se retira. Un de ses parents étant venu le voir et lui demandant comment il allait : « Mo
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
ire ». « Quelle est donc ceste question », respondit Xanthus ; « D’où vient  », reprit le Jardinier, « qu’encore que je cultiv
et te permets d’en cueillir desormais toutes les fois que tu voudras venir en mon Jardin, où tu pourras entrer comme en ton
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
er un poisson hors d’une coquille qu’elle avoit trouvée, la Corneille vint là dessus, qui luy conseilla de voller bien haut,
é dont elle est pleine. Ce fût pour cela qu’un ancien Roy, à qui l’on vint rapporter qu’il avoit esté trompé d’une grande so
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
pres qu’elle s’en fust allée, le Loup qui l’avoit ouye de loing, s’en vint heurter à la porte, et contre-faisant la voix de
t à elle mesme ; Et voylà qu’un moment apres leur perfide ennemy s’en vient pour deçevoir le Chévreau, et luy persuader d’une
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
e rendirent sur le bord de l’eau, pour estre de la partie. Le Singe y vint le dernier, et d’aussi loing qu’il fût apperçeu,
les faire devenir tels qu’ils nous paroissent. De ceste coustume l’on vient à la fin à une espece de Loy, qui ne nous permet
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