toujours au guet et faire sentinelle. Si le possesseur de ces champs
Vient
avecque son fils (comme il viendra) dit-elle, Eco
elle. Si le possesseur de ces champs Vient avecque son fils (comme il
viendra
) dit-elle, Ecoutez bien ; selon ce qu’il dira, Ch
Si-tost que l’Aloüette eut quitté sa famille, Le possesseur du champ
vient
avecque son fils. Ces bleds sont mûrs, dit-il, al
allez chez nos amis Les prier que chacun apportant sa faucille, Nous
vienne
aider demain dés la pointe du jour. Nostre Aloüet
arme sa couvée. L’un commence. Il a dit que l’Aurore levée, L’on fist
venir
demain ses amis pour l’aider. S’il n’a dit que ce
rive ; et d’amis point du tout. L’Aloüette à l’essor, le Maistre s’en
vient
faire Sa ronde ainsi qu’à l’ordinaire. Ces bleds
Ne bougeons de nôtre demeure. L’Aloüette eut raison, car personne ne
vint
. Pour la troisiéme fois le Maistre se souvint De
grave fist sun lit ; mut fu malades a sun dit. Les bestes fist a sei
venir
, kar il voleit, ceo dist, choisir ki meuz purreit
a grave est arestez ; des noveles voleit oïr ainz qu’il vousist avant
venir
. Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li demanda
ir. Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li demanda pur quei ne volt
venir
avant, e li gupilz li respunt tant : « Sire », fe
r aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent au figuier : «
Viens
régner sur nous. » Et le figuier lui aussi répond
ur aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent à l’épine : «
Viens
régner sur nous. » Et l’épine répondit aux arbres
pondit aux arbres : « Si vraiment vous m’oignez pour régner sur vous,
venez
vous mettre à l’abri sous moi ; sinon, qu’il sort
vit que Deus ne feseit la preere qu’il requereit, quant a tere ne pot
venir
, dist qu’il li face sun pleisir. Aprés cel mot to
eu omnipotent que de lui face sun pleisir : de ceo li peot grant bien
venir
. Kar meuz seit Deu quei li estut que sis queors,
t à l’entrée du logis, qu’il avoit fermé sur luy, un des conviez s’en
vint
heurter à la porte, et soudain Esope luy fist cet
on Maistre : « Seigneur », dit-il, « voicy le seul Philosophe qui est
venu
à ton festin ». Ceste nouvelle mit grandement en
voit invitez, se mocquoient de luy. Le lendemain ses disciples estans
venus
aux Escoles, se mirent à le blasmer de ce qui s’e
e », luy dit Esope, « ne m’as-tu point commandé exprés, de ne laisser
venir
à ton Festin des gents du commun, et des ignorant
de cerf mangé nen at. Dunc assemblent lur parlement. Mandez i fu, n’i
vient
n[i]ent ; kar si parent e si ami l’en aveint deva
si ami l’en aveint devant garni. Un’ autre fez i fu mandez, e il [i]
vient
tut esfreez. Dunc li distrent qu[e]’il voleient s
la ; a grant peine lur eschapa. La terce fez le remanderent, e il [i]
vient
; dunc le tüerent. Einz qu’il par fust [bien] esc
e mal mun seignur eüsse fet tel deshonur. Ore en irum devant le rei !
Venez
! Si seez ensemble od mei ! Jeo me derainerai [tr
l] de rien li mesfeseit ; kar bien e mal fere poeit. Li vilein, quant
vient
a meisun, a sa femme cunte la raisun qu’il ot oï
t mist devant la piere, puis [si] se traist un poi ariere. La serpent
vint
*, si voleit beivre [et li vilains la volt deçoivr
et li vilains la volt deçoivre ; la hache hauce por ferir]. Le cop oï
venir
aneire, en la piere se met dedenz, e li vileins s
mença a dire : « Femme », fet il, « cunseille mei ! Cist mal m’est [a]
venu
par tei : tu me donas cunseil de mal, fol e felon
buket prent de lait [tut] chaut ; devant la piere a la serpent en est
venu
dutusement. Sa cupe bat, merci cria, e la serpent
evons tout nôtre rost.
C’est assez, dit le Rustique ;
Demain vous
viendrez
chez moy :
Ce n’est pas que je me pique
De tous
’est pas que je me pique
De tous vos festins de Roy.
Mais rien ne
vient
m’interrompre ;
Je mange tout à loisir.
Adieu d
pria e defendi qu[e]’il ne laissast pur murir ensemble od eus bestes
venir
pur parole ne pur preere deci ke ele revienge are
parole ne pur preere deci ke ele revienge arere. Quant ele fu al bois
venue
e li lus l’ot dedenz veüe, al cheverol vet, si li
n t’appelle le « profiteur ? » — Si tu en doutes, répondit le renard,
viens
chez moi, je t’offre à dîner. » Le lièvre le suiv
ui dit : « J’apprends pour mon malheur, mais enfin j’apprends d’où te
vient
ton nom : ce n’est pas de tes gains, mais de tes
n d’été, quand la chaleur fait naître la soif, un lion et un sanglier
vinrent
boire à une petite source. Ils se querellèrent à
ls se querellèrent à qui boirait le premier, et de la querelle ils en
vinrent
à une lutte à mort. Mais soudain s’étant retourné
n’a jamais menti, Dit que le Liévre est reparti. Le pauvre malheureux
vient
mourir à son giste. La Perdrix le raille et luy d
i vîte : Qu’as-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour
vient
, on la trouve. Elle croit que ses aisles La sçaur
ps. Sur le moment, la fourmi ne répondit rien ; mais plus tard, quand
vint
l’hiver et que la pluie détrempa les bouses, l’es
d vint l’hiver et que la pluie détrempa les bouses, l’escarbot affamé
vint
demander à la fourmi l’aumône de quelque aliment.
t pas de l’avenir, tombent dans une misère extrême, lorsque les temps
viennent
à changer. Chambry 243.2 Aliter — Autre ver
rappe-tu sans cause ce bon-homme, qui ne t’a fait aucun tort, et d’où
vient
encores qu’il ne se passe aucun jour que tu n’en
à soy-mesme en le salüant. Ce que son Maistre ayant reconnu ; « D’où
vient
», luy dit-il, « que tu és si fort émeu, en t’app
ochant de moy ? » A ces mots Zenas s’estant un peu remis. « Ce que je
viens
icy », respondit-il, « c’est pour vous dire, Seig
« que tu ne fasses de moy ce qu’il te plaira ». Voila cependant qu’il
vint
à passer par là un certain marchand, qui tournoya
epter ». Le marchand l’ayant alors voulu voir, Zenas fist incontinent
venir
Esope. Mais l’autre ne l’eust pas plustost avisé,
t le moins dy moy quelle affaire t’ameine en ce lieu ». « Je n’y suis
venu
», respondit le marchand, « que pour y achepter q
’en vodrent creire : tuz ensemble tiendrent lur eire. A une mare sunt
venu
. Gardent el tai, si unt veü u reines erent asembl
il ki se veulent remüer e lur ancïen liu guerpir que lur en put aprés
venir
. Jamés regne ne troverunt ne en cele tere ne vend
l’embrassoit dans l’attente D’une prompte et certaine mort. Quelqu’un
vint
au secours : qui ce fut, il n’importe ; C’est ass
u par là qu’il ne faut point Agir chacun de mesme sorte. J’en voulois
venir
à ce point.
be D’un columb cunte ke jadis sur une croiz s’esteit asis. Un gupil
vient
desuz, sil vit. En haut parla, si li [a] dit : «
oise que par euls eie estrif ne noise. Il n’unt pas tuz le bref oï ki
vient
del rei, jol vus afi : ne m’estuvereit pas remüer
usage.) Celuy-cy fort surpris d’entendre ce langage, Comme il estoit
venu
s’en retourna chez soy. Où seroit le Biquet s’il
la mere appaisant sa chere geniture, Luy dit : Ne criez point ; s’il
vient
, nous le tuërons. Qu’est cecy ? s’écria le mangeu
arreste. Epieux et fourches fieres L’ajustent de toutes manieres. Que
veniez
-vous chercher en ce lieu, luy dit-on ? Aussi-tost
. La Besace. Jupiter dit un jour : Que tout ce qui respire S’en
vienne
comparoistre aux pieds de ma grandeur. Si dans so
dire,
Il peut le declarer sans peur : Je mettray remede à la chose.
Venez
singe, parlez le premier, et pour cause.
Voyez c
chenet va juant. Ne pot li asnes plus suffrir vers le seignur prist a
venir
. Sur lui comence a rechaner que tut le fait espoë
ue l’asne unt tant batu qu’il le leissent tut estendu : a grant peine
vient
a sa stable. Saveir poüm par ceste fable la maner
ur runger les os, dunt je me faz [e] gras e gros. Si vus volez od mei
venir
, e vus li voliez obeïr si cum jeo faz, asez avere
s respunt. Dunc s’acumpainent, si s’en vunt. Einz que a vile feussent
venu
, garda li lus, si ad veü cum le chien porta sun c
D’un cok recunte ki estot sur un femer e si chantot ; par delez li
vient
un gupilz, si l’apela par muz beaus diz. « Sire »
tut entur : veit le gupil, ki le cok tient ; mar le guaina si par eus
vient
! « Va », fet li cocs, « si lur escrie que sui tu
savez : tant coveitent lur volentez ne veient pas queile aventure en
vient
aprés pesante e dure.
urte existence. Mais l’homme, tirant parti de son intelligence, quand
vint
l’hiver, se bâtit une maison et y vécut. Or un jo
ent et la pluie s’étant mise à tomber, le cheval, ne pouvant y durer,
vint
en courant chez l’homme et lui demanda de l’abrit
œuf en donna une partie et fut admis. Enfin le chien mourant de froid
vint
aussi, et, en cédant une partie du temps qu’il av
Un peu apres Xanthus voulant donner à disner à ses escoliers, fist
venir
Esope, et luy commanda qu’il eust à tenir prest l
de voir une chose si honteuse ; « Paillard », dit-il à Esope, « d’où
vient
tout ce beau mesnage ? » « Seigneur », respondit
urd’huy, Il m’a toujours semblé d’une énergie extrême. Mais afin d’en
venir
au dessein que j’ay pris : Un Rat plein d’en-bon-
ayoit ses esprits. Une Grenoüille approche, et luy dit en sa langue :
Venez
me voir chez moy, je vous feray festin. Messire R
fraische et fourage, Comme l’on faisoit tous les jours. L’on va, l’on
vient
, les valets font cent tours ; L’Intendant mesme,
es-là pauvre Cerf, ne te vante de rien. Là-dessus le Maistre entre et
vient
faire sa ronde. Qu’est-ce-cy ? dit-il à son monde
Grant poür a ke hum ne l’ocie, dedenz la fosse breit e crie. La suriz
vient
al cri tut dreit, mes ne saveit ki ceo esteit quë
tres] bien saudrez, que si pussez ça hors eissir ; e jeo ferai od mei
venir
autres suriz pur mei aider as cordes, que ci sunt
. Codd. Pa 86 Pb 91 Pf 45 Pg 57 Ph 47 Me 63 Mf 56 Mj 64. Une vipère
venait
régulièrement boire à une source. Une hydre qui l
es avaient fixé le jour, quand les grenouilles, par haine de l’hydre,
vinrent
trouver la vipère et l’enhardirent en lui promett
ün mut se curuça ; le lu, sun provost, apela, demanda lui pur quei ne
vient
. Li lus respunt : « Rien nel detient fors l’engre
vindrent musches e taün, sil despuinstrent mut malement. Li gupilz i
vient
tut quointement, si li demanda quei la fesist que
imetière : « Qui frappe à la porte ? » dit l’ivrogne. « C’est moi qui
viens
apporter à manger aux morts », répondit la femme.
ntre qu’il ne faut pas s’invétérer dans la mauvaise conduite ; car il
vient
un moment où, bon gré, mal gré, l’habitude s’impo
eux était couché, malade, dans son antre, et tous les animaux étaient
venus
rendre visite à leur prince, à l’exception du ren
i était leur maître à tous, et c’est pour cela qu’il n’était même pas
venu
le visiter. » Sur ces entrefaites le renard arriv
laisante. Une chatte, l’ayant vu, lui demanda qui il était et d’où il
venait
. Il répondit : « Le maître vient de m’acheter. –
bête effrontée entre toutes, reprit la chatte, tu oses, tout nouveau
venu
, pousser de pareils cris, tandis qu’à moi, née à
arrive ». « Voila qui est bon, respondit le pot de terre, mais si je
viens
à me briser contre toy, ou par l’impetuosité de l
ue nous, veu le dommage qui nous en peut arriver, en cas que l’amitié
vienne
à se rompre. Or quand mesme elle ne se dissoudroi
lque coin.
Voyez-vous cette main qui par les airs chemine ?
Un jour
viendra
qui n’est pas loin,
Que ce qu’elle répand sera v
que ceux qui sont les nôtres,
Et ne croyons le mal que quand il est
venu
.
cavernes creuses
Ne vous sauveront pas ; je vous en avertis ;
Vous
viendrez
toutes au logis.
Il prophetisoit vray ; nostre m
e huche ouverte :
Ce fut à luy bien avisé :
La gent trote-menu s’en
vient
chercher sa perte.
Un Rat sans plus s’abstient d
en l’eir lamunt : bataille deivent od li tenir. Quant ensemble durent
venir
, [e] la chalve suriz les vit, en sun queor ad pen
a sun busuin li veut faillir e od autres se veut tenir ; si sis sires
vient
el desus, ne peot lesser sun mauveis us ; dunc vo
st à sçavoir, que pendant la contention de deux personnes, une tierce
vient
à jouyr du prix de leur contestation, et tire tou
. Mais il est mieux de ne les alleguer pas pour ceste heure, affin de
venir
aux modernes, et dire que la puissance du Turc en
urc en toutes les parties du monde, et particulierement en Europe, ne
vient
que de la discorde des Princes. Combien de fois s
, aveit un cheval, que vendre voleit, e un sun buc tut a un pris. Pur
vient
souz ceo dist a ses amis [que] chescun d’eus vole
font d’un mal-heureux la peinture achevée.
Il appelle la mort, elle
vient
sans tarder ;
Luy demande ce qu’il faut faire.
de m’aider
A recharger ce bois ; tu ne tarderas guéres.
Le trépas
vient
tout guérir ;
Mais ne bougeons d’où nous sommes.
motif de gloire ; Pour moy de tels pensers me seroient malseans. Mais
venons
à la Fable, ou plutost à l’Histoire De celuy qui
avec les consultans, Dans la succession entrent en mesme temps. On en
vient
au partage, on conteste, on chicane. Le Juge sur
badant, chantant et broutant, Et faisant mainte place nette. L’ennemi
vient
sur l’entrefaite. Fuyons, dit alors le Vieillard.
ngratitude extrême ! On l’entend, on retourne, on le fait déloger, Il
vient
mourir en ce lieu mesme. J’ay mérité, dit-il, ce
de leur destinée Les Citoyennes des Etangs. Que ferons-nous, s’il lui
vient
des enfans ? Dirent-elles au Sort, un seul Soleil
’Asne. En ce monde il se faut l’un l’autre secourir. Si ton voisin
vient
à mourir, C’est sur toy que le fardeau tombe. Un
un punt ; un fourmage en sa buche tient ; quant en mi le puncel [par]
vient
, en l’ewe vit l’umbre del furmage ; purpensa sei
uriz li respuneient que asez voleient meuz murir que desuz ses ungles
venir
. Les suriz s’en turnent fuiant, e li chaz les vet
issoit terrible et singulier, S’apprivoise avec nostre veuë, Quand ce
vient
à la continuë. Et puisque nous voicy tombez sur c
re quë ert eissuz de sa tesniere ; od ses enfanz devant jua. Un egles
vient
, l’un en porta. Li gupilz vet aprés criant qu[e]’
gue de leur jeunesse, travaillent contre leur propre repos. Car de là
viennent
les dissolutions et les débauches, qui les perden
à supporter, celle-là neantmoins l’est plus que les autres, qui nous
vient
par nostre imprudence, pource qu’avec l’amertume
il l’avisoit, qu’il ne luy pouvoit faire plus grand plaisir que de le
venir
voir, et que sa presence seule luy seroit plus ag
y de judicieux. Le superbe Roy des animaux trouve mauvais qu’il ne le
vienne
point voir, et le convie à cela fort courtoisemen
us contenter par ce couple celeste.
Je vous veux traiter cependant.
Venez
souper chez moy, nous ferons bonne vie.
Les conv
re qu’il eut peur
De perdre, outre son dû, le gré de sa loüange.
Il
vient
, l’on festine, l’on mange.
Chacun estant en bell
it qu’au Seigneur du Bourg nostre homme se plaignit. Ce maudit animal
vient
prendre sa goulée Soir et matin, dit-il, et des p
et dés demain, sans tarder plus long-temps. La partie ainsi faite, il
vient
avec ses gens : Çà déjeunons, dit-il, vos poulets
aux campagnes fleuries ? Il ne regnera plus sur l’herbe des prairies,
Viendra
dans nos marais regner sur les roseaux ; Et nous
ui manque le moins. Un riche Laboureur sentant sa mort prochaine, Fit
venir
ses enfans, leur parla sans témoins. Gardez-vous,
. Tant entendi a sei loër e a ses cornes esgarder qu[e]’il vit chiens
venir
curant e lur mestre aprés cornant. Aprés lui vien
dans les bois. Il l’aborda d’un air caressant, le salua et dit : « Je
viens
t’annoncer une bonne nouvelle. Tu sais que notre
rien. Mais, si tu veux bien écouter un vieillard, je te conseille de
venir
aussi et d’attendre sa mort près de lui. » Ainsi
renard, et le cœur du cerf se gonfla de vanité à ces discours, et il
vint
à l’antre sans se douter de ce qui allait arriver
e toi, et il veut créer roi le loup. Hélas ! le méchant maître ! Mais
viens
, ne crains rien et sois doux comme un mouton. Car
; ne le cherche plus ; car quel cœur pouvait avoir un animal qui est
venu
par deux fois dans le repaire et les pattes du li
page s’en estonnassent, et que ce leur fust un sujet de dire ; « D’où
vient
ceste abomination, qui obscurcit ainsi le lustre
ndant que le Philosophe Xanthus, qui faisoit sa demeure à Samos, s’en
vint
au marché, où voyant les deux jeunes Esclaves si
luy cousteroit mille oboles, l’excez du prix l’en degousta, et le fit
venir
au Grammairien. D’abord il l’interrogea de quel p
ais tu faire ? » continüa Xanthus. « Rien », respondit Esope ; « D’où
vient
cela ? », adjoûta le Philosophe ; « C’est », dit
« A ce que je vois », respondit le marchand, « tu sembles n’estre icy
venu
que pour dépriser ma marchandise. Car tu as laiss
sçavoir qu’on ne change pas de mœurs, pour changer de condition. Pour
venir
donc au permier poinct, je diray que c’est une ch
e bien, plus elles sont deffenduës, plus nous les aymons aussi. De là
vient
que les femmes des maris jaloux, et les filles de
superflus, puis que l’experience rend ceste verité trop manifeste. Je
viens
donc à la seconde partie de mon Discours, qui est
tre ; apres une fille il se rend esclave d’une femme mariée : puis il
vient
à cajoler la vefve, et il est à croire que s’il t
eroit pas de ses soins, pource seulement qu’elle seroit à demy femme.
Venons
maintenant à la troisiesme partie de nostre Disco
outils de lui faire une aumône. Après l’avoir reçue des autres, elle
vint
à la lime et la pria de lui donner quelque chose.
n Cerf se trouva pris. Vers ses associez aussi-tost elle envoye.
Eux
venus
, le Lion par ses ongles conta,
Et dit : Nous som
e regrette. Pour tirer d’eux ce qu’on leur prête, Il faut que l’on en
vienne
aux coups ; Il faut plaider, il faut combattre. L
e encore un coup de toy. Sa plainte fut de l’Olimpe entenduë. Mercure
vient
. Elle n’est pas perduë, Luy dit ce Dieu, la conno
Roi des Dieux ne sçait auquel entendre. Son fils Mercure aux criards
vient
encor, A chacun d’eux il en montre une d’or. Chac
asez averez ferine e greins del blé que remeint as vileins. La reine
vient
par sa priere, amdeus s’asient sur la piere ; mut
La suriz pipe en aut e crie, que quida tut’ estre perie. Un escufle i
vient
roant, vit la suriz ki veit pipant, les eles clot
urs foiblesses, comme indignes de la censure d’un honneste homme ; et
venons
à faire une plus haute application de ce sujet, à
outrepasser les bornes qu’elle s’est prescripte ? Que si nous voulons
venir
des ouvrages des Roys, à ceux des Particuliers, n
en a-t’on de la perpetuer ? le temps, à qui rien ne peut resister, ne
vient
-il pas à bout de tout ce que nous faisons, tant p
quelque rustique ?
Le desert est-il fait pour des talens si beaux ?
Venez
faire aux citez éclater leurs merveilles.
Aussi-
llent sans interruption, tandis que les Biens, descendant du ciel, ne
viennent
à eux qu’à de longs intervalles. L’apologue fait
Puis s’apercevant peu à peu que la bête n’avait pas de colère, ils en
vinrent
à la mépriser au point de lui mettre une bride et
rent à leur secours les renards. Ceux-ci répondirent : « Nous serions
venus
à votre aide, si nous ne savions qui vous êtes, e
à elle-même : « J’ai mangé, j’ai bu, j’ai pris un bain ; la mort peut
venir
: il ne m’en chaut. » Cette fable montre que les
che humme ad mut esmaié, qu’il quidot bien aver enfant. Sa fille fist
venir
avant ; tant par destreit tant par amur li estut
il se mit fort en colere, et commanda qu’on l’appellast. Comme il fut
venu
; « Quoy ? » luy dit le Maistre, « meschant que t
a langue. Mais enfin comme il apperçeut que des paroles on en vouloit
venir
aux coups, se jettant aux pieds de son Maistre, i
e e fet obscure ; ne put parer, quant sur lui cure. Li mulez a la nue
vient
, [e] dit que si puissant la tient que sa fille vo
fort morter que ele ne puisse trespercer ; desuz me fuet, par mi mei
vient
nule chose ne la detient. » Li mulez dit : « Come
es aurions en horreur par nature. Que s’il est question maintenant de
venir
à l’impudicité, y a-t’il rien qui nous y porte av
e quelle extraordinaire vertu faut-il estre doüé pour s’en abstenir ?
Viendrons
-nous maintenant à l’orgueil ? Y a-t’il au monde u
? Et tout cela, qu’est-ce autre chose qu’Orgueil et que Vanité ? D’où
vient
la longue suitte des Pages et des Gentils-hommes
clat des livrées, des habits pompeux, de l’or, de la pierrerie ? D’où
vient
, dis je, tout cela, si ce n’est de la richesse ?
us ne verrons guere qu’un homme extrémement riche, ou Ambitieux, soit
venu
jusques à une douce et paisible vieillesse. Mais
sa nature dès sa naissance, on ne saurait le garder : nus nous sommes
venus
, nus nous partirons.
rendre de mauvais offices, jusques là mesme, que de la langue ils en
viennent
souvent aux mains, et tout cela pour un advantage
Le Corbeau sert pour le présage ; La Corneille avertit des malheurs à
venir
; Tous sont contens de leur ramage. Cesse donc de
isé. Dans cette admirable pensée, Voyant son Maistre en joye, il s’en
vient
lourdement, Leve une corne toute usée ; La luy po
cunseil li set duner e de sun mal le volt oster, si damage l’en deit
venir
, dunc est trop tart del repentir.
reit. Li pastre dist que si fera ; desuz sa faude le musça. Li venere
vient
[la] criant, d’ures en autres demandant si il ave
chose peot hum joïr que ne peot mie a tuz pleisir ; par descoverance
vient
grant mal, n’est pas li secles tut leals.
ovri, tant que li juges le choisi. L’autre vilein fist apeler quë ert
venu
a lui clamer ; de la caue li demanda quei ceo est
sgravarlo Fin ch’ei potesse sol riprender lena : Perché già si sentia
venir
a fine : E negando di farlo il suo compagno Caden
iardo e di malitia pieno Rimaner suole a lungo andar, né puote Sempre
venir
al fin del suo pensiero Con la bugia del suo fall
o spavento, Ch’egli porgeva a questa e quella fera, Vedendo di lontan
venir
la Volpe Far volea quello a lei, ch’a gli altri f
fasse justice à chacun. Mais les coquilles s’entremêlent, et les unes
viennent
plus tôt, les autres plus tard entre les mains de
si beau,
Qu’il ne le quitte qu’avec peine.
On voit bien où je veux
venir
.
Je parle à tous ; et cette erreur extrême
Est
utefois que la peur sans le mal.
Jamais le corps de l’animal
Ne pût
venir
vers moy, ni trouver d’ouverture.
Je révais à ce
oix, Nous ne sommes plus en querelle : Paix generale à cette fois. Je
viens
te l’annoncer ; descends que je t’embrasse. Ne me
es du Corbeau, Que le pauvre animal ne put faire retraite ; Le Berger
vient
, le prend, l’encage bien et beau ; Le donne à ses
se en habit d’Alecton,
Masquée, et de sa voix contrefaisant le ton,
Vient
au prétendu mort ; approche de sa biere ;
Luy pr
rie de France, n° 12 L’aigle et la corneille Ci dit que uns egles
vient
volant juste la mer peissun querant : une welke t
e desur une cleie giseient ; un en ad pris, od tut s’en va. Un gupil
vient
qui l’encuntra ; del furmage ot grant desirer qu’
ossente Leon, ch’era lontano : E ’l vil Montone, che da lunge il vide
Venir
correndo e di paura pieno, Credendo fargli ancor
s une vie de fourmi ? Moi, au contraire, j’ai des biens en abondance.
Viens
avec moi, je les mets tous à ta disposition. » Il
mme ils revenaient pour prendre des figues sèches, une autre personne
vint
chercher quelque chose à l’intérieur de la chambr
« Cela va bien aussi », dit le médecin. Une troisième fois le médecin
vint
le voir, et le questionna sur sa maladie. Il répo
en encore », dit le médecin, et il se retira. Un de ses parents étant
venu
le voir et lui demandant comment il allait : « Mo
ire ». « Quelle est donc ceste question », respondit Xanthus ; « D’où
vient
», reprit le Jardinier, « qu’encore que je cultiv
et te permets d’en cueillir desormais toutes les fois que tu voudras
venir
en mon Jardin, où tu pourras entrer comme en ton
er un poisson hors d’une coquille qu’elle avoit trouvée, la Corneille
vint
là dessus, qui luy conseilla de voller bien haut,
é dont elle est pleine. Ce fût pour cela qu’un ancien Roy, à qui l’on
vint
rapporter qu’il avoit esté trompé d’une grande so
pres qu’elle s’en fust allée, le Loup qui l’avoit ouye de loing, s’en
vint
heurter à la porte, et contre-faisant la voix de
t à elle mesme ; Et voylà qu’un moment apres leur perfide ennemy s’en
vient
pour deçevoir le Chévreau, et luy persuader d’une
e rendirent sur le bord de l’eau, pour estre de la partie. Le Singe y
vint
le dernier, et d’aussi loing qu’il fût apperçeu,
les faire devenir tels qu’ils nous paroissent. De ceste coustume l’on
vient
à la fin à une espece de Loy, qui ne nous permet
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